Club des Feuillants

par le comité de la future DDHC. REFUS : trop favorable à la monarchie Nuit du 4 août 1789 : abolition des privilèges pour mettre fin à la Terreur dans les campagnes qui s’évie depuis le mois de juillet. Décrets des 4 et 11 Août. Cf. importance du club breton. Fin des servitudes personnelles ms les droits seigneuriaux st supprimés à charge de rachat (faut attendre 1793 avec la convention). Fin dîmes+vénalité des offices+exemptions fiscales. Égalité d’accès aux offices publics 12 Août 1789 : un

député de la noblesse d'Auvergne aux États Généraux. 26 avril Maximilien de Robespierre est élu député du Tiers-état d'Artois. 27-28 avril Émeute des ouvriers de la manufacture royale de papiers-peints Réveillon. 30 avril Première réunion du Club breton à Versailles. 30 avril La foule s'empare de trois forts à Marseille. 2 mai Les députés des États généraux sont présentés au roi. 4 mai "Procession des États" à Versailles. 5 mai Ouverture des États Généraux à Versailles. 6 mai Les

plus actif et le plus influent est le club des Jacobins. Ce club est le club des révolutionnaires durs, assez marqués à gauche. Ce sont des révolutionnaires qui veulent la fin de la monarchie et qui souhaitent ouvertement l’avènement d’une République. Ce club a joué le rôle de groupe de pression qui va essayer de faire passer des réformes mais sa véritable ambition est de propager partout le patriotisme. Autre club de moindre influence, le club des Feuillants. Il rassemble des révolutionnaires moins

aristocrates avaient "le Salon Français". Les monarchiens se regroupaient au "Club des Impartiaux" qui deviendra "le Club des Amis de la Constitution Monarchique". Les patriotes qui avaient fondé à Versailles "le Club Breton" se réunissaient maintenant au couvent des Jacobins; ils prirent donc le nom de "Club des Jacobins" dans lequel se regroupaient les constitutionnels et toute la gauche de l'Assemblée. En 1790 ce club aura plus de 1100 adhérents sur Paris et essaimera en province: début 1791, 227

des journaux dans des clubs politiques, surtout à Paris mais aussi en province. Le plus important est celui des clubs des jacobins ou « société des amis de la constitution ». Ce club est fondé dès l’ouverture des EG par quelques députés bretons. Il aura des ramifications dans toutes les provinces du pays. Il y a aussi le club des cordeliers qui affiche clairement la volonté d’un régime démocratique et républicain. B) La méfiance réciproque du roi et de l’Assemblée Nationale Constituante. Les

la mise en accusation du roi et l’instauration d’une républiqueNote 8 en déposant une pétition au Champ-de-Mars. Cette pétition antilégaliste fournit, le 16 juillet 1791, un prétexte aux bourgeois libéraux pour rompre avec le club des Jacobins et fonder celui des Feuillants dont ils prennent le nom39. Le lendemain 17 juillet, à la suite d’incidents, la loi martiale est décrétée par la municipalité, néanmoins, les patriotes manifestant malgré tout, la tentative de maintien de l’ordre commandée

prises avec des mouvements politiques agités sur l'on appelle les clubs (Jacobins, Cordelliers). Apr_s cette thèse de l'enlèvement , une scission s'opère entre les Réolutionnaires modérés et les Révolutionnaires audacieux. Les modérés créent le club des Feuillants mené par Barnave. Ils vont défendre le vote del aconstitution malgré la fuite du roi et la mise en place d'une monarchie constitutionnelle. Il va dans un premier temps tenir l'assemblée et faire voter le texte de l'assemblée. Le contenu

Danton, Maximilien Robespierre et Jean-Paul Marat. Certains comme Condorcet demandent même l'instauration d'une République. Par méfiance envers le peuple, Bailly et La Fayette, suivis par la majorité des députés, quittent le club des Jacobins pour fonder le club des Feuillants. Pour eux la Révolution est finie et il convient de stabiliser le régime en soutenant la monarchie constitutionnelle. La Fayette Dans une partie de l'opinion publique, le roi a perdu toute estime. De nombreux journaux révolutionnaires

arrêté et reconduit à Paris. Cette fuite discrédite la Monarchie, de plus en plus de Parisiens regroupés dans le club des Jacobins se tournent vers l’idée d’un régime sans roi. Ils organisent le 17 juillet une manifestation au Champ de Mars réprimée dans le sang par La Fayette, ancien héros de la guerre d’Amérique, partisan d’une monarchie constitutionnelle (le parti des Feuillants). La rupture est nette entre les partisans de la République et ceux d’une monarchie Constitutionnelle alors même que

sur le modèle des clubs parisiens (le club des Jacobins, le club des Cordeliers…). Les journaux se multiplient et les citoyens français se passionnent pour la politique. À Paris, les sans-culottes (artisans, petits commerçants) sont les plus révolutionnaires. • L'affaiblissement des pouvoirs du roi et le contrôle du clergé divisent les Français : les monarchistes pensent que la Révolution va trop loin, que le roi doit garder plus de pouvoirs ; les Feuillants, sont modérés ; les Jacobins pensent