Cnep Banque

clients l l l l l Particuliers professionnels Entreprises Organisations et autres groupement État et collectivit és L objectif est de regrouper les consommateurs qui ont les mêmes comportements d achat et de consommation Exemple : portefeuille Banque vu sur la rentabilit é l l l l Particuliers : l ensemble des clients qui ont un compte bancaire Clients Particuliers VIP : l ensemble des clients qui ont toujours un solde de 200 000F sur leur compte Client entreprises : l ensemble des clients

L’approche de Bâle I est d’exiger des banques que leurs fonds propres correspondent au moins à 8 % des actifs engagés. Ce principe a été décidé pour réduire les chances aux une banque de se trouver en position de difficulté, elles ont autrement été conçues afin de protéger les épargnants et les investisseurs d’une éventuelle faillite. La mise en place d’une telle réglementation préventive a malheureusement eu un effet pervers sur le moyen/long terme puisque les banques ont par la suite choisi de contourner

pas uniquement des documents de synthèse. Il existe des matériaux non financiers : - Ensemble des informations que l’on obtient auprès du tribunal de commerce (extrait K-bis, garanties données, incidents de paiement), - Études sectorielles de la Banque de France, - Plaquettes commerciales. LE BILAN Définition : photographie du patrimoine de l’entreprise à un moment donnée, depuis la création (définition juridique). |Actif (ce qu’elle possède) |Passif

instruments d’ordre quantitatif : ' Le plafond de réescompte qui limitait les possibilités d’accès au refinancement des banques. ' La réserve obligatoire qui obligeait les banque de bloquer une partie de leurs exigibilités dans un compte au niveau de BAM. ' L’encadrement du crédit qui limitait le volume de crédit que pouvait accorder chaque banque. ▪ Les instruments d’ordre qualitatif : ' Le soutien des crédits octroyés aux secteurs prioritaires en les

MAIS QUI DONC A RUINÉ LA BANQUE BARING ? RETOUR SUR UNE FAILLITE EXEMPLAIRE Par : Yves-Marie Abraham HEC Montréal Cahier de recherche n° 07-01 Janvier 2007 ISSN : 0846-0647 Copyright © 2007. HEC Montréal Tous droits réservés pour tous pays. Toute traduction ou toute reproduction sous quelque forme que ce soit est interdite. Les textes publiés dans la série des Cahiers de recherche HEC Montréal n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs. La publication de ce Cahier de recherche a

permettent plus au Mexique d'emprunter à bon compte pour rembourser les dettes antérieuses. L'Etat mexicain décrète donc un moratoire: une suspension temporaire du remboursement de la dette. Le risque est un effet domino: pour éviter cela, les banques américaines qui détiennent 80% de la dette extérieure du Mexique vont obtenir de Paul Volcker un assouplissement de sa politique monétaire et une aide pour les pays d'América Latina (les plus endettés du globe). Ceci débouche en septembre 1989 sur

Equipements informatiques : Les banques encore largement distancées                   A l'heure où les applications informatiques se multiplient, les banques marocaines en sont encore à leurs débuts. A partir des ordinateurs standards, les firmes spécialisées en informatique ont développé une série d'outils complémentaires, orientés vers la gestion des documents de conseil pour la clientèle des banques. Ces outils permettent de construire des applications de conseil d'une façon rapide et simple

[pic] [pic] [pic] [pic] Sommaire : - Comptable p 4 - Directeur d’agence de banque p 6 - Chargé(e) de clientèle p 9 - Gestionnaire de portefeuille p - Sources p [pic] [pic] I Nature du travail : Le métier peut être très différent selon la taille, l'organisation de l'entreprise et l'importance de l'équipe encadrée. Un comptable est polyvalent dans les petites ou moyennes entreprises. Dans certaines petites et moyennes entreprises il peut aussi être chargé des commandes

les mois, l'entreprise doit régulariser sa situation en restituant à l'État la TVA à décaisser: TVA à décaisser = TVA collectée – TVA déd / ABS – TVA déd / immobilisations. État de rapprochement: Les comptes « Banque » tenu par l'entreprise et « Entreprise » tenu par la banque sont des comptes réciproques. Leurs soldes devraient avoir le même montant, l'un étant débiteur, l'autre étant créditeur. Or, les soldes sont souvent différents et ce pour plusieurs raisons: une erreur dans la saisie

la valeur d’un patrimoine, qui débouche nécessairement à une crise. L’alarme n’a pas été donnée parce que l’élément de calcul du rapport crédit/richesse a changé (nouvelles normes comptables IFRS).Ainsi la juste valeur des actifs possédés par une banque est établie par l’estimation de leur valeur de marché. Dans cette optique, comme la valeur des actifs croît plus rapidement que le crédit, « la dette des acquéreurs d’actifs va paraitre faible, puisqu’elle est garantie par les actifs dont la valeur