Code de déontologie médicale

Déontologie : Synthèse Fondation des écoles : 1887 : le docteur César De Paepe fonde la première école d’infirmière de la ville de Bruxelles 1902 : création d’une véritable formation professionnelle * Edith Cavell, infirmière formé par Florence Nightingale vient en Belgique pour donner des soins à un enfant * Le docteur Depage créer une école infirmière et demande à Edith Cavell d’en assumer la direction * 1908 : création du certificat de capacité pour infirmière obtenu après un

témoignages autour des concepts de confort, bien-être, dignité, respect, intimité, pudeur, autonomie et dépendance acquis durant les cours de l’UE 4.1 « Soins de confort et de bien-être » et selon la déontologie et les règles infirmière acquis durant les cours de l’UE 1.3 « Législation, éthique et déontologie ». Ce sont deux témoignages de patients extraits de l’ouvrage : «  L’intimité menacée ? Enjeux éthiques dans la pratique du soin et de l’accompagnement » , sous

La Bioéthique Définition: Etude des problèmes moraux soulevés par la recherche biologique, médicale ou génétique ainsi que par certaines de ses applications. C'est donc un réflexion sur la santé, la maladie et la mort. Ont précédes 4 autres éthiques ... 1.Ethique médicale: Médecins: Elle est rêglée par le serment d'Hippocrate ( code de déontologie) qui demande de travailler à l'avantage des patients et donc éviter tout mal ou injustices... Ne pas avorter, empoisoner, avoir de relations

------------------------------------------------- Violation de la volonté du patient et référé liberté ------------------------------------------------- Sommaire I] Le référé-liberté : l’ultime recours du patient face au « pouvoir médical » A- L’entrée en scène du référé-liberté en droit médical 1) Le refus de soins analysé sous l’angle des libertés publiques 2) Un mécanisme d’extrême urgence opportun et prometteur B- Le consentement aux soins, liberté fondamentale 1) Le statut

Visée normative Le légal ETHIQUE Visée téléologique Le bon MORALE Visée déontologique Le bien Relation entre éthique, morale et droit, Philippe SVANDRA ETHIQUE Elle commence quand le soignant n’a pas de réponse ni dans la morale, ni dans la déontologie DROIT Il guide et encadre les actes du soignant ( lois, sur lesquelles reposent des codes, des charte…..) DROIT ETHIQUE Visée téléologique Visée normative Le légal Le bon MORALE Visée déontologique Le bien MORALE Elle gouverne nos actes et nous

orthopédie. L'arrêté du 15 juin 1959 crée le Brevet de Technicien pédicure orthopédiste et prothésiste en podologie (1 an d'étude après le Diplôme d'Etat). En 1971 la Fédération nationale des podologues est issue de la Fédération nationale des pédicures médicaux. En 1974 le brevet de technicien est supprimé et l'enseignement des semelles orthopédiques et de l'examen clinique est intégré au programme du diplôme d'Etat. En 1982 un second syndicat professionnel est créé : le Syndicat national des podologues

exerçant sa profession dans des circonstances susceptibles de compromettre la qualité de ses services ou la dignité de la profession, en prescrivant ou contresignant des prescriptions, intempestivement, par la remise à ladite compagnie de formulaires médicaux signés de sa main, portant son numéro de permis de pratique et ayant notamment pour effet d'émettre ou de reconduire, au bénéfice de patients qu'il n'avait pas rencontrés, environ 29 ordonnances médicamenteuses, entre le 25 juillet 2002 et le 27

partir de quel moment peut on considérer qu'un individu est mourant ? La loi parle d'affectation grave et incurable, et de phase avancée ou terminale. Il s'agit de déterminer le moment à partir duquel la proximité du décès est telle que l'obstination médicale est déraisonnable. Enfin, il faut se pencher sur la signification du terme “dignité”, et les moyens qui sont mis en oeuvre pour pour répondre à ce désir des patients. À l'heure à laquelle la question de l'euthanasie reste posée et fait polémique

e refuseÉ T H I Q U E Refus de soins : ce qu’il faut savoir Ces dernières années, l’évolution des mentalités, des lois (en particulier la loi Kouchner de mars 2002) et de la jurisprudence en matière de responsabilité médicale a conduit à des évolutions importantes en matière de refus de soins. Mise au point et conseils d’un confrère pneumologue sur cette délicate question. L es limites, d’une part, entre le refus de soins dans le cadre du respect de la liberté individuelle et la nonassistance

Prestations / actes médicaux : professionnels de santé • Lieux : établissements de santé, ets médico-sociaux, soins ambulatoires, réseaux de soins • Biens médicaux, médicaments, produits de santé : pharmacie LSI 1 Professions de santé (1,7 millions d’emplois) médicales paramédicales Réglementées (Code SP) Non Réglementées LSI 1 Professions de santé professions médicales • • • • Médecins Chirurgiens-dentistes (odontologistes) Pharmaciens Sages-femmes : professions médicales à compétence