Codon-stop

redondance du code génétique qui permet l’existence de telles mutations, sans répercussion sur le phénotype. • Dans le cas contraire, la mutation peut engendrer un changement d’acide aminé dans la protéine codée (mutation faux-sens) ou créer un codon stop prématuré (mutation non-sens). 2) Les additions et les délétions • Les conséquences phénotypiques des substitutions varient en fonction de leur localisation : une protéine très raccourcie est rarement fonctionnelle, un changement

orientée de 5’ à gauche vers 3’ à droite et la correspondance en acide aminé pour les trois phases de lecture possibles est indiquée sous la séquence de l’ADN. a- Indiquer sur la séquence de l’ADNc où se trouvent situées les bornes (codon de démarrage et codon STOP) du cadre ouvert de lecture de la Stathmine, en précisant comment vous les avez identifiées. b- Quels sont les quatre résidus d’acides aminés N-terminaux et les quatre résidus d’acides aminés C-terminaux de la Stathmine ? c- Quel

molécule d'ADN en amont du gène à transcrire. La double hélice d'ADN est ouverte et la synthèse du brin d'ARN complémentaire se fait dans le sens 5'-3', comme lors de la synthèse du brin précoce lors de la réplication de l'ADN, jusqu'à un signal "stop". Le brin d'ARN synthétisé a donc la même séquence (avec des U à la place des T) que le brin d'ADN 5'-3' dont la séquence code pour le gène, puisque la matrice d'ADN 3'-5' servant à la synthèse de l'ARN en est la séquence complémentaire.

la séquence complémentaire de 3 bases sur l’ARNm appelé codon (cf à côté) V. LES ACIDES AMINÉS SONT CODÉS PAR DES GROUPES DE 3 BASES À PARTIR D’UN POINT FIXE Le code génétique est la relation entre la séquence de bases dans l’ADN (ou son transcrit en ARN) et la séquence des acides aminés dans les protéines. 3 nucléotides codent pour un acide aminé. Le code est nonchevauchant et dégénéré. Quelques acides aminés sont codés par plus d’un codon. 64 triplets des 4 bases possibles. 20 acides aminés. 61

messager. Pour toute microlésion, il faut donc prendre en compte l’impact fonctionnel éventuel au niveau de l’ARN messager et/ou de la protéine codée. III.4.1 Conséquence des substitutions en séquence codante - Mutation de type « faux-sens »: le codon muté code un autre acide aminé* La modification d’acide-aminé au niveau de la protéine peux être tolérée par la cellule sans conséquence délétère, ce qui explique que de nombreuses variations de séquence de type « faux-sens » n’ont pas d’effet pathogène

génétique, qui établit une relation entre les codons de trois bases nucléiques et chacun de ces acides aminés e. les acides aminés nécessaires à la synthèse des protéines sont au nombre de 21 chez les eucaryotes et la plupart des procaryotes, et de 22 chez certaines archées méthanogènes. Parmi ceux-ci, 20 acides aminés sont directement spécifiés par un codon d'ADN ou d'ARN, et deux — la sélénocystéine et la pyrrolysine — sont insérés lorsqu'un codon STOP particulier est associé à une séquence d'insertion

complémentaire à chaque base du brin codant. ARN messager car messager de l'information du brin codant de l'ADN. Différents types d'ARN : ARN messager (ARNm) → 1% Groupe de trois bases azotées = codon. Codon 1 = initiateur (AUG) grâce auquel l'enzyme va pouvoir lire l'ARN messager jusqu'à un codon stop. ARN ribosomal (ARNr) → 80 à 85% Synthétisé par l'ADN nucléolaire (contenu en gde quantité dans nucléoles). Dans le sillon du ribosome vient s'intercaler un ARNm. ARN de transfert (ARNt) →

se fixent sur le codon initiateur (AUG) de l'ARNm. Une molécule d'ARNt portant l'acide aminé méthionine (notation : ARNtMet) se lie temporairement sur le codon initiateur de l’ARNm, grâce à son anticodon complémentaire (UAC), au niveau du site P du ribosome. (2) Lors de l’élongation : (synthèse des polypeptides ou chaîne d'acides aminés) a) Un nouvel ARNt portant un acide aminé se place dans le site A du ribosome et selie au 2e codon de l'ARNm par complémentarité avec son anti-codon. b) Le ribosome

correspondance entre les 64 triplets de nucléotides possibles ou codons, et les 20 acides aminés existants. Le code génétique est non-ambigu : un triplet de nucléotide code pour un seul et un même acide aminé, toujours le même. Il est aussi redondant : un acide aminé peut être codé par plusieurs triplet car ils sont beaucoup plus nombreux. Il existe trois codons qui ne codent pour aucun acide aminé : on les désigne sous le nom de codons-stop. Une mutation est une modification accidentelle de la séquence

(qui sont toujours AUG). Il fixe alors l’acide aminé correspondant à ce codon. Ici la méthionine. C’est 95l’initiation. Ensuite, il se déplace sur l’ARNm et reconnaît le codon suivant. Ce codon dépend de la protéine à synthétiser. Il fixe alors l’acide aminé correspondant au codon lu (selon le tableau du code génétique). Une liaison peptidique se créer 100alors entre les deux acides aminés. Le ribosome se déplace sur le codon suivant et, par le même principe allonge donc la chaîne polypeptidique amorcée