Codon-stop

étant appelé codon, en effet on peut avoir  combinaisons possible soit 64 ce qui est largement au dessus des 21 acides aminés alors que s’il était codé par 2 bases on aurait que 16 combinaisons possible.  Ainsi un même acide aminé peut être codé par différentes combinaisons, c’est la redondance. Exemple : la serine est codé par AGC ou AGU ou UCA ou UCC ou UCG ou UCU D’autre codon ne code pour aucun acide aminé mais ont pour but indiquer la fin de la traduction, ils sont appelés codon stop. Il existe

et à la fonction de la protéine, la conséquence sera plus ou moins importante. Une mutation non-sens : Apparition d’un codon-stop et formation d’une protéine écourtée, souvent non fonctionnelle. Les mutations par addition ou délétion : Elles sont décalantes et modifient ainsi profondément la séquence des acides aminés issus de la traduction. Souvent un codon-stop apparait. Les conséquences des mutations sont variables les mutations vont avoir une conséquence sur le phénotype, car

lettres.L’ARN est traduit en protéine dans le cytoplasme.Le code génétique est le système de correspondance mis en jeu lors de la traduction de cette information : un triplet de nucléotide de l’ARN ou codon code pour un acide aminé.Plusieurs codons peuvent correspondre à un même AA, 3 codons sont des codons stop UAA, UAG, UGA.A quelques exception près, il est commun à tous les êtres vivants ce qui rend possible les exp de transgène entre les espèces différentes.Val – Arg – Val -Leu - Tyr 2.2

nucléotides ou codon de l’ARNm et les acides aminés de la protéine. Le code génétique est souvent représenté sous forme d’un tableau. Chaque codon de l’ARNm (43 = 64 codons) code un acide aminé (20 différents) de la protéine. Propriété : La signification des codons est la même chez tous les être vivant : on dit que le code génétique est universel. Sur les 64 codons, plusieurs codons correspondent à un même acide aminé : on dit que le code génétique est redondant (=dégénéré). Un même codon code toujours

code génétique. Ce système de codage fait correspondre à chaque triplet de nucléotides, appelé codon, un acide aminé déterminé. C'est ainsi qu'un gène peut être traduit en protéine. • Dans le cytoplasme, les ribosomes assemblent les acides aminés − issus de la digestion des aliments protidiques − dans l'ordre imposé par les codons. Ils arrêtent l'élongation de la chaîne lorsqu'ils rencontrent un codon-stop, qui ne correspond à aucun acide aminé. 2. Quel rôle les protéines jouent-elles dans l'élaboration

Implication du phénotype moléculaire sur le phénotype cellulaire, puis sur le phénotype macroscopique, avec 1 exemple • Système de correspondance entre ADN et protéine : le code génétique, les caractéristiques du CG (1 codon correspond à 3 AA, quasi-universel, redondant ), codon stop Complexité des relations génotype-phénotype : • Existence de plusieurs gènes (chaînes de biosynthèse) • Mutation de l’un de ces gènes modifie le phénotype Influence de l’environnement : Sur l’expression de gènes

les ribosomes C. l’ADN D. l’ARNt E. l’ARNm 2) L’ARN de transfert A. une structure secondaire en trèfle B. toujours un acide aminé fixé à son extrémité C. comporte des segments d’ARN double brin D. comporte une séquence de trois nucléotides appelée codon E. comporte cinq boucles 3) Dans une cellule procaryote on trouve A. des ribosomes B. des mitochondries C. les introns dans l’ADN D. un chromosome circulaire 4) Pendant la réplication, le brin parental est lu dans A. le sens 5’-3' B. le sens 3’-5’

bases en aval du codon stop du gène X URA3 B PCR et transformation X 5’ URA3 X 3’ double recombinaison X 5’ ATG X X 3’ STOP chromosome X 5’ URA3 X 3’ vérification par PCR Caviston et al. MBC 2003 Introduire une étiquette (tag) A tag PCR et transformation URA3 L’oligonucléotide A contient les 40 bases en amont du codon stop du gène X, en phase avec la séquence du tag L’oligonucléotide B contient les 40 bases en aval du codon stop du gène X B

modifie le phénotype de l‛organisme, mutation faux-sens (aa différent, drépanocytose), mutation non-sens (codon stop, Thalassémie 1, 5,8), mutations liées à des substitutions, insertions, délétions de nucléotides Les mutations décalantes sont liées à une délétion ou addition d‛un nucléotide ce qui modifie le cadre de lecture de l‛ARNm. Cela entraîne souvent l‛apparition d‛un codon stop qui met fin à la synthèse de la protéine. Les conséquences phénotypiques sont importantes. Les mutations sont

les logiciels Anagène et Phylogène, et votre interprétation de ces résultats. Matériel : - ordinateur - logiciel Anagène et sa fiche technique - fichier gene-familleGH.edi affichant les séquences nucléiques strictement codantes (du codon d’initiation au codon-stop) des gènes GH, HPRL et HLP - fichier hormones-familleGH.edi affichant les séquences protéiques des hormones GH, HPRL et HLP. - logiciel Phylogène et sa fiche technique - fichier LH .aln affichant les séquences protéiques des hormones