Coefficient d'extinction

LES INEGALITES DE LA REPARTITION 4 INDICATEURS DISPERSION DES REVENUS (revenu médian, quartiles, déciles, centiles). 2. LA COURBE DE LORENZ (OU COURBE DE CONCENTRATION) p 114 : 1er décile = 4% de la masse totale des revenus disponibles… 3. LE COEFFICIENT DE GINI 0 = et 1 => l’ensemble des revenus détenu par 1 individu (résumé de la courbe de Lorenz) 4. LA COURBE DE KUZNETS = niveau d’inégalité dans un pays en fonction de son niveau de développement, supposé croissant dans le temps. 1. 2. Les

préoccupante : taux de chômage | | |structurel de 12 %, 45 % de la population sous le seuil de pauvreté… Ce qui se traduit par| | |des inégalités criantes (coefficient de Gini à 0,6). | | |Par ailleurs, le poids de la drogue en Colombie, premier producteur de cocaïne au monde, | | |rend

mouvement ; - sens : elle va de la zone de la zone de surpression à la zone de dépression , de l’intrados vers l’extrados ; -Sa norme , que l’on note Rz , nous verrons ensuite pourquoi ,se calcule comme cela : Rz = portance en N Cz = coefficient de portance sans unité r = masse volumique de l'air en kg/m3 (r = 1.293 kg/m3) S = maître couple en m² , c’est-à-dire la section transversale maximum de l’aéronef V = vitesse de l'écoulement non perturbé en m/s Voilà pourquoi on peut dire

l’inégalité est forte. Le coefficient de Gini mesure la surface entre la courbe et la bissectrice. Si la répartition des revenus (ou du patrimoine) était parfaitement égalitaire, la Courbe de Lorentz se confondrait avec la bissectrice. La répartition des revenus est alors parfaitement égalitaire (50 % des ménages reçoivent 50 % des revenus ou bien 30 % des ménages reçoivent 30 % des revenus, il suffit de se déplacer sur la bissectrice) On calcule le coefficient de Gini ainsi : Surface de

pauvreté absolue. On constate dans le tableau 8 une grande dispersion des coefficients de Gini des revenus au sein des pays émergents. De manière générale, les inégalités sociales sont plus faibles en Asie qu’en Amérique latine et en Afrique, à l’exception de la Chine qui a rejoint au cours des quinze dernières années le niveau d’inégalité d’un certain nombre de pays latino-américains, alors qu’elle partait d’un coefficient de Gini à peine supérieur à 30, à l’époque, très proche de celui de l’Inde

manière, la résistance de l’air est la plus faible. [pic] [pic] [pic] -La résistance de l’air peut se mesurer sur n’importe quel solide, pour cela il existe une formule. Soit R la résistance de l’air en Newton : R=K.p.V².S K est un coefficient qui concerne la forme et la surface du solide, il n’a pas d’unité, p est la masse volumique de l’air en kilogrammes par mètre cube, V est la vitesse des particules d’air, elle est exprimée en mètres par seconde, enfin, S est l’aire de la surface

ouvrière. • Une autre loi historique a été formulée dans les années 1950 par l’économiste américain S. Kuznets à partir de travaux empiriques : le revenu moyen par habitant (en abscisse) et le degré d’inégalités de revenu mesurées par le coefficient de Gini (en ordonnée) seraient reliés par une courbe en . La croissance du revenu moyen s’accompagnerait dans un premier temps de l’augmentation des inégalités, puis de leur résorption. • La remontée des inégalités de revenu observé dans

la montée du niveau des mers: fonte des glaces ou dilatation thermique ? Depuis un siècle, le niveau moyen des mers est monté d'une quinzaine de centimètres. Pendant la même période, la température moyenne de la Terre a augmenté de 0,6°C. Le coefficient de dilatation thermique de l'eau est de 2,6 x 10-4°C-1. La tranche d'eau des océans est divisée par la thermocline, qui sépare les eaux profondes, froides, des eaux superficielles en équilibre avec la température de l'atmosphère. Cette thermocline

géométrique - La moyenne harmonique - La moyenne quadratique - La moyenne d’ordre « r » ou moyenne généralisée 3.2. Les caractéristiques de dispersion. 3.2.1. Les écarts simples 3.2.2. La variance et l’écart-type 3.2.3. Le coefficient de variation 3.2.4. Les moyennes et les variances intra et inter-populations. 3.3. Les caractéristiques de forme et de concentration. 3.3.1. Les caractéristiques de concentration 3.3.2. Les caractéristiques de forme. Chap. 4. Les distributions

moyenne 1. Le mode (Mo)ou la classe modale 2. La médiane (Md) ou la classe médiane 3. La moyenne (x échantillonnale) jniunoi 3 7. Les mesures de dispersion : étendue, variance, écart type, coefficient de variation 1. L'étendue (E) 2. La variance (s2) 3. L'écart type (s) 4. Le coefficient de variation (c.v.) 8. Les mesures construites de position : les quantiles, les rangs et la cote z 1. Les quantiles 2. Les rangs 3. La cote z 9. La distribution normale et l’estimation de paramètres