Cognition

neural. En cas de stress excessif ou de peur intense, les processus neuraux de régulation émotionnelle sont perturbés, ce qui diminue les capacités de jugement social et les performances cognitives. Le stress rend performant et améliore la cognition et l’apprentissage, mais au-delà d’un certain niveau, on obtient l’effet inverse. Quant aux émotions positives, il est clair que l’un des plus grands facteurs de motivation est ce sentiment d’illumination qui se produit lorsqu’on comprend un

éléments sont assez facilement observables et identifiables. b) Le coté subjectif Si nous voulons simplifier le coté subjectif, celui-ci reprend toutes les réactions et les sensations qui sont provoquées par notre inconscient et nos mécanismes de cognition lorsque nous rencontrons une personne n’ayant pas la même culture que nous. Un exemple de ce côté subjectif est le phénomène appelé catégorisation. La catégorisation consiste à regrouper les individus en certaines catégories et à leur appliquer

LA COGNITION ET LES ÉMOTIONS Quand nous réagissons sur le coup des émotions, nous ne réfléchissons pas, tandis que si nous réfléchissons nous pouvons nous en sortir. La circonstance atténuante est l’émotion : Elles peuvent s’emparer de nous ? Elles peuvent nous faire des choses ? Elles sont mauvaises ? « C’est un orage affectif, un trouble momentané et assez violent qui concerne à la fois la conscience et le corps » (1962) Remarque : La peur, la colère, l’angoisse, et la honte sont

de plusieurs logiques: se construire une légitimité, emprunter aux autres les outils et les méthodes tout en montrant son originalité, élaborer des connaissances tout en formant à des métiers. La dernière science inscrite à l'université est la cognition (cognitivismes), comment on acquiert de la connaissance? Les 3 questions d'une démarche épistémologique : La notion de connaissance nous semble UNE et évidente, mais dès qu'on s'interroge elle éclate, se diversifie, se multiplie en notions innombrables

  ECOLE  NORMALE  SUPERIEURE  de  CACHAN     ELEMENTS  DE  SCIENCES  COGNITIVES   COGNITION  ET  COMMUNICATION       Année  universitaire  2014  –  2015 Suggestions  pour  la  présentation  orale  et  visuelle   Alain  FINKEL   21 janvier 2015 2/15     3/15 Conseils pour réussir ses présentations orales et visuelles ! L’élève de L3 et M1 ne perçoit pas toujours l’intérêt et la possibilité d’améliorer significativement la

durables, elles mettent en jeu nos capacités attentionnelles de façon plus ou moins importantes, elles entraînent ou pas des réponses motrices. Toutes ces réactions sont produites à partir du moment où les stimulations rentrent en contact avec notre cognition. L’intérêt permet de déterminer le niveau de la réaction. Ainsi, nous avons tous pu observer qu’un même stimulus génère un intérêt différent pour chaque individu. De même nous avons tous pu observer qu’un même stimulus génère un intérêt variable

GRANIER-DEFERRE, C. ; RIBEIRO, A. ; JACQUET, A.-Y. ; BASSEREAU, S. 2011. « Near-term fetuses process temporal features of speech », Developmental Science, 14, p. 336-352. GRANIER-DEFERRE, C. ; SCHAAL, B. ; DECASPER, A.J. 2004. « Les prémices fœtales de la cognition », dans R. Lecuyer (sous la direction de), La psychologie du nourrisson, Paris, Dunod, p. 59-94. LECANUET, J.-P. ; KRASNEGOR, N. ; FIFER, W.P. ; SMOTHERMAN, W.P. 1995. Fetal Development : A Psychobiological Perspective, Hillsdale, Lawrence Erlbaum

son contenu". Il apportera, par la suite, sa contribution au constructivisme radical sans pour autant y adhérer. Cette section est vide, pas assez détaillée COGNITIVISME | | La perspective cognitiviste, dont l'appellation renvoie au terme cognition (connaissance dans le sens de processus et de produit) privilégie l'étude du fonctionnement de l'intelligence, de l'origine de nos connaissances ainsi que des stratégies employées pour assimiler, retenir et réinvestir les connaissances. Elle s'intéresse

Cambridge, Cambridge University Press, 1996. On pourra également se reporter à Chazel (F.), “ Les ajustements cognitifs dans les mobilisations collectives : questions ouvertes et hypothèses ”, in Boudon (R.), Bouvier (A.) et Chazel (F.) (dir), Cognition et sciences sociales. La dimension cognitive dans l’analyse sociologique, Paris, PUF, 1997, pp. 193-206.). Mais au-delà, les multiples langages énoncés sous la forme d’actes de parole (slogans, chants, discours publics), de gestes précis, de

plus ou moins visibles (c’est à dire traduites en productions comportementales), et plus ou moins organisées par les structures corticales supérieures (les sentiments plus que les émotions). Le sens commun oppose classiquement la motricité, la cognition et l’affectivité, mais cette opposition nous semble dépassée : d’une part parce que les manifestations affectives dépourvues de contenu cognitif sont rares chez l’homme, d’autre part parce que les structures sémantiques (perceptions, images, souvenirs)