Cognition

consensus sur sa définition est toujours de mise. Les résultats obtenus auprès de cent deux managers confirment que la confiance n’est autre qu’un simple dosage entre la raison et l’émotion. Mots clés: Confiance, échange intra-organisationnel, cognition, affection. Introduction Le concept de la confiance suscite, encore aujourd’hui, de nombreux débats dans le cadre des recherches en sciences de gestion. Ces débats n’auraient-ils pas pour cause essentielle le rattachement de ce concept à une

plus seulement des leaders transactionnels. Un leader transactionnel oriente et stimule ses subordonnés en clarifiant les rôles et tâches de chacun pour atteindre l’objectif fixé (Burns, 1990). Il va avant tout exercer un management basé sur la cognition, c’est-à-dire sur des faits indépendants des individus et de leurs ressentis comme par exemple, la fixation d’objectifs, de normes, tâches à exécuter, appliquer la stratégie … A l’inverse, le leader transformationnel incite ses subordonnés à dépasser

social. Structure : - Chapitre introductif sur la psychologie sociale pour situer le cadre général de cette discipline. - 5 chapitres qui portent sur un concept important : la relation sociale, l’influence sociale, la représentation sociale, la cognition sociale, l’identité sociale. Chaque concept est présenté à partir de trois éclairages distincts : les principaux aspects du concept, ses modalités d’expression et les théories qui l’expliquent. Chaque chapitre se termine par une conclusion qui

l’objectivité. b) Les émotions comme vecteur de performance au travail  Au fur et à mesure des recherches, les émotions, partie illogique, irrationnelle, incontrôlable de l’homme ont peu à peu délaissé leur statut d’élément « perturbateur de la cognition » (Ribert-Van De Weerdt, 2002) pour endosser un rôle vecteur de processus cognitifs tels que la motivation ou la performance au travail. Dans ce sens, les travaux empiriques de Mitchell et Daniels, (2003) recensent que les facteurs tels que la facilité

On a déjà examiné les diverses façons selon lesquelles le fonctionnement cognitif participe au contrôle du comportement humain. Ce problème et d'autres questions sont analysés davantage en détail dans ce chapitre. Les motivations basées sur la cognition La motivation a affaire principalement avec la façon dont le comportement est activé et maintenu. Certaines stimulations proviennent des événements environnementaux et des conditions corporelles - les gens sont poussés à l'action par la soif, la

parle de processus de décision. Il s'agira toujours d'un choix entre solutions potentielles, mais ce choix se fondera sur un critère de satisfaction. (voir les travaux de H.A. Simon). Les neurosciences ont mis en lumière les confrontations entre la cognition et l'émotion dans le processus de décision, et le rôle des zones cérébrales correspondant à la souffrance et au plaisir. C'est ainsi que le processus de décision peut difficilement être étudié sous le seul angle de la rationalité.  La rationalité

Maxime BELLEGO - maxime.bellego@orange-ftgroup.com Département Universitaire des Soins Infirmiers Enseignement 1.1. Psychologie Cours n°1 S11PSYCHOLOGIE01MB Introduction 1. Les grands domaines de la psychologie  Cognitive Étude de la cognition : - Connaissance - traitement de l’information - mémoire - langage - lecture… Maxime BELLEGO - maxime.bellego@orange-ftgroup.com Département Universitaire des Soins Infirmiers Enseignement 1.1. Psychologie Cours n°1 S11PSYCHOLOGIE01MB

comportement externe observable de l’apprenant. (PAVLOV et SKINNER). - Deuxième: Influence idéalistes allemands. Il s’agit des théories dites cognitivistes qui tentent d’expliquer comment fonctionne l’intelligence humaine. Cognitiviste vient de cognition qui chez les américains embrasse toutes les formes de connaissance, de perception, d’imagination, de raisonnement, de jugement. Il prend en compte toutes les variables intervenantes sur le plan physiologique et mental. Cette théorie étudie

polysémique. Il est utilisé de façon très variée dans la vie courante. A travers la diversité des courants théoriques, apparait une opposition fréquente entre une intelligence pure correspondant alors au raisonnement et une intelligence synonyme de cognition qui repose en grande partie sur la mémoire des connaissances, la culture. Le concept d’intelligence a été développé par plusieurs grands psychologues à l’instar d’Alfred  BINET par le biais du test d’intelligence « BINET-SIMON » ou encore Jean

compris de l'esprit rationnel. « Anatomiquement, le système qui gouverne les émotions peut agir indépendamment du néocortex. Certaines actions et certains souvenirs émotionnels peuvent se former sans la moindre intervention de la conscience, de la cognition » dit LeDoux. Les émotions brutes sont suscitées avant même que la pensée ne se manifeste. L'amygdale emmagasine tout un répertoire de souvenirs sans que nous en soyons conscients. Si l'amygdale retient la saveur émotionnelle, contexte et des évènements