Cognition

intégral PACO – PSYCHOPATHOLOGIE COGNITIVE Alexia Baudouin La psychopathologie cognitive est une discipline récente, qui utilise les concepts et les méthodes de la psychologie et neuropsychologie cognitive afin d’étudier les dysfonctionnements de la cognition qui accompagnent les troubles psychiatriques. Présentation de cette approche et illustration dans différents domaines de la psychopathologie (dépression, schizophrénie, stress post-traumatique, …). Cours – Vendredi 08h30-10h30 Salle 1019 TD –

10 Cognition = ? Processus d’acquisition de connaissances grâce à la faculté de : - sentir, percevoir - mémoriser - se rappeler - penser L’intelligence : une ou plusieurs ???? 1905, Binet : intelligence globale 1927, Spearman : facteur « g » : intelligence unique, facteur général commun à toutes les performances (noyau de l’intelligence) 1938, Thurstone : 7 aptitudes mentales de base, il exclut le concept d’intelligence mais met en évidence 7 composantes essentielles de la cognition 1963, 1971

ou mentale. Le comportement est à analyser dans son ensemble. Pour cela on étudie la façon dont le cerveau produit certains effets, on remonte ainsi du comportement vers les mécanismes nerveux nécessaires à son environnement » La cognition pour l’action La cognition Désigne l’ensemble des processus cérébraux qui se rapporte à la fonction de connaissances (mémoire, langage, raisonnement, apprentissage, intelligence…). Elle désigne des processus de traitement de l’information de haut niveau, (mémoire

Qu’ce qu’une émotion ? : a. Définition : La définition communément présentée dans le dictionnaire est la suivante : « Trouble subit, agitation passagère causés par un sentiment vif de peur, de surprise, de joie, etc.  » Pour Mandler (1992, cognition and emotion), l’émotion est « un évènement conscient crée par la combinaison d’évaluations cognitives (bon, mauvais, plaisant, déplaisant, nocif, désirable, etc.) et l’activation physiologique. Ensemble ces composants constituent l’expérience émotionnelle »

286-293 Ibid. p.297-303 Elisabeth Loftus (mars 2003), Our changeable memories : legal and practical implications, Nature reviews, Neuroscience (vol. 4), p.231-234 M. James Nichols and William T. Newsome (2 decembre 1999), The neurobiology of cognition, Nature (vol. 402), p. C35-C38 Regina M. Sullivan, Margo Landers, Brian Yeaman, Donald A. Wilson (7 septembre 2000), Good memories of bad events in infancy, Nature (vol. 407), p.38-39 Ivan Izquierdo, Daniela M. Barros, Tadeu Mello e Souza,

Les psychologues scolaires cherchent à promouvoir le dvlpt intellectuel, social, affectif.. Les PSY du dévlpt étudient le dévlpt physique, social et cognitif Les PSY sociaux s’intéressent au comportement des personnes en groupe Les PSY de la cognition étudient les processus mentaux utilisés pour recueillir, analyser La psychologie culturaliste Les PSY culturalistes étudient l’influence de la culture et des coutumes ethniques sur le comportement des personne, cherchant ainsi à circonscrire

initialement en collaboration avec J. C. Shaw et la compagnie RAND, puis après avec de nombreux collègues et étudiants de l'université Carnegie-Mellon, pour leurs contributions à la base de l'intelligence artificielle, la psychologie de la pensée (cognition), et la manipulation des listes. Herbert Alexander Simon (né le 15 juin 1916 à Milwaukee, Wisconsin, mort le 9 février 2001 à Pittsburgh, Pennsylvanie) a été « prix Nobel » d'économie en 1978.Il s'est d'abord intéressé à la psychologie cognitive

qui occasionne les symptômes positifs (telles que des hallucinations). Les antipsychotiques viennent donc bloquer les récepteurs dopaminergiques, ces récepteurs s’occupent des processus neurologiques dont, notamment, la motivation, le plaisir, la cognition, la mémoire, l'apprentissage et la motricité fine. Les nouveaux antipsychotiques agissent également sur l’ensemble des activités monoaminergiques, ce qui diminue l’intensité des émotions et ralentit le psychisme, notamment des fonctions imaginatives

ces deux branches de la recherche s'il souhaite augmenter l'efficacité de son enseignement. Le tournant amorcé par la didactique aujourd'hui, sous-tendu par le renouveau de la psychologie, qui désormais se préoccupe moins de comportement que de cognition (traitement de l'information, résolution de problème, représentation, intentionalité, but, effets de contexte...) présente quelques correspondances avec celui pris il y a cent ans par l'Éducation nouvelle : replacer l'élève au cœur du processus

"révolution cognitive" qui placerait "la signification au centre de la psychologie"; en unissant les efforts de la psychologie à ceux de l'anthropologie, de la linguistique, de la philosophie, de l'histoire et du droit. Cette approche de la cognition, plus interprétative, mettait au centre la construction de la signification, opérant une rupture complète avec les derniers développements de la psychologie scientifique américaine qui se recentraient sur le paradigme « traitement de l'information