Cohabitation Edouard Balladur

de députés élus aussi pr 5 ans, et les élections législatives suivent les élections présidentielles. Le prés de la rép va avoir le "confort" d'une majorité qui va le soutenir dpt 5 ans. Cohabitation = une pratique institutionnelle que l'on a pu observer. Edouard Balladur a mis en pratique ce terme de cohabitation. Il faut revenir à avant la réforme de 2000. Av, on avait pas la mm durée de mandat : prés de la Rép élu pr 7 ans et députés élus pr mandat de 5 ans : donc il y a eu une dissociation des

effet sous la Vème le président dispose de pouvoir important tout en étant largement irresponsable et il parait dès lors nécessaire que le peuple puisse le choisir ou le remplacer plus régulièrement. · C’est la volonté de limité le risque de cohabitation. C’est la situation dans laquelle la majorité à l’assemblée nationale n’est pas de la même coloration politique du président de la république. On pense donc en effet que calquer les mandats présidentiels et parlementaires permettra au président

heureuse car l’AN peut être dissoute au moment où le président meurt. Le premier président de la IVème République est le socialiste : Vincent Auriol qui a été membre du gouvernement du Front Populaire en 1936. Vincent Auriol est remplacé par Edouard Herriot à la tête de l’AN. Le 2ème président est René Coty. 3. Attributions Il faut distinguer deux types d’attribution : les attributions nominatives et les attributions formelles. Attributions classiques/ nominatives : le

si les partis politiques en présence illustrent le bipartisme rigide. Si on a affaire à un bipartisme souple, il y aura une certaine prééminence du président. Si le président et le Parlement ne sont pas du même parti, il y aura une situation de cohabitation. Eisenhower, Reagan, Bill Clinton, Obama ... ont été confrontés à cette situation. C'est très fréquent. Tout va dépendre de la discipline partisane des élus du Congrès. Si on a un bipartisme rigide, il y aura une tendance à la confusion des pouvoirs

américanisation » de la vie politique : les budgets explosent et les financements traditionnels (cotisations...) ne suffisent plus. D’où divers financements occultes. Moralisation progressive à partir de la loi du 11 mars 1988, adoptée lors de la cohabitation Mitterrand-Chirac, et modifiée à plusieurs reprises par la suite. Cette loi met en place un plafonnement des dépenses électorales et un financement public des partis politiques, sous le contrôle de la Commission nationale des comptes de campagne

la révision de fait/de facto de la Constitution liée à la pratique des acteurs (interprétation de la loi qui peut être différente selon les acteurs ou des fois pour combler les lacunes du texte exemple, la constitution ne prévoit rien en cas de cohabitation, il faut donc s’organiser pour que les institutions puissent quand même fonctionner)  on appelle cela des conventions de la Constitution. B) Constitution souple et Constitution rigide Si une Constitution veut durer elle doit donc s’adapter

présidentiel. D'autre part, la hiérarchie au sein de l'exécutif est également une constante de la V° République qui remonte aux origines de cette République. Cette hiérarchie parait survivre aux expériences de cohabitions, même si en cours de cohabitation, la prééminence du Président ne peut guère s'exercer que dans les domaines réservés par l'article 5, et ceci, pour préserver la responsabilité suprême des intérêts de la nation. Une interprétation simpliste de la Constitution comme lecture présidentialiste

progression aboutit enfin à la victoire de François Mitterrand aux élections de mai 1981. Il s’agit de la première alternance politique : pour la première fois depuis la 2ème GM, la gauche se retrouve en situation de gouverner. B) Alternances et cohabitations (1981-2005) 1) François Mitterrand (1981-1995) * Le premier septennat De mai 1981 à juin 1982, c’est « l’état de grâce », un contexte favorable à de grands changements. Une série de lois est votée : - lois libérales (abolition

le Chef de l’Etat appararaît comme le véritable Chef du Gouvernement et il pratique alors un arbitrage actif encore appelé arbitrage politique. Toutefois, la cohabitation (1986-1988, Jacques CHIRAC et François MITTERRAND ; en 1993-1995 François MITTERRAND et Edouard BALLADUR et enfin en 1997-2002 Jacques CHIRAC et Lionel JOSPIN) la cohabitation favorise le retour à l’arbitrage neutre ou passif dans ce cas, le Président est contraint de se replier sur ses compétences et ses attributions. §3 : les

XXI. Statut 23 XXII. Attributions 26 Section 11 : Statut et compétence du gouvernement 31 XXIII. Statut 31 XXIV. Les compétences du gouvernement 34 Section 12 : La pratique politique 35 XXV. Les périodes de non-cohabitation 35 XXVI. La cohabitation 36 Section 13 : Le Parlement 37 XXVII. Les modalités de désignation des parlementaires 37 XXVIII. Le statut 39 XXIX. L’organisation du Parlement 41 XXX. Les fonctions 46 XXXI. La fonction de contrôle 53 Section