Collège des pontifes

 : L’État moderne se définit par la souveraineté. La souveraineté est un attribut qui appartient à ce qui, dans son genre, son ordre, atteint le degré le plus élevé Ex  : le souverain bien = le bien le plus haut / le souverain pontife De même une autorité est dite souveraine lorsqu’elle est la plus haute dans son domaineLe pouvoir de l’État va être pensé comme souverain il n’y a rien au-dessus de l’État D’où pose problème pour l’Union Européenne

proportionnalité, au rang social de chacun : on peut citer l’exemple célèbre des cadeaux somptueux faits par le pape à l’empereur en 816 à Reims, qui marquent sa prééminence par rapport à lui, même si ledit empereur a lui aussi généreusement comblé le souverain pontife. On l’a vu dans la partie précédente, la source principale de la puissance aristocratique, au fur et à mesure que le système carolingien s’épanouit, réside toujours davantage dans sa proximité avec le pouvoir : servir le roi est constitutif de

païen reconnu dans l'empire. Progressivement la titulature officielle va devenir Imperator Caesar Augustus Pontifex Maximus. Originellement au tout début de la république (6eme siècle avant JC) le Pontifex Maximus est un prête qui est la tète d'un collège un ensemble de prête. Une de ces fonctions est de contrôler la surveillance du culte officiel. Le terme Ponti vient de pont et fex de construire. Le nom proviendrai des cultes des cérémonie religieuse au moment ou on a édifié le pont Sublicus au dessus

cardinal Bessarion et à Pie II qu’on ne pouvait rien attendre de l’Allemagne. Bien vainement le pape, en une longue épître composée selon les règles de la rhétorique humaniste, adjurait Mohammed II de se convertir à l’Évangile. Lorsque le souverain pontife prêchait la guerre sainte, les chrétiens lui reprochaient de dépenser pour les Aragonais de Naples les sommes destinées à la guerre turque. Pie II espérait du moins étouffer l’esprit bâlois. Du dauphin Louis, en mauvais termes avec Charles VII

constituer au fil du temps. Parmi elle, Le Sénat, le Consul, les tribuns de la Plèbe, les censeurs et les questeurs = concerne les magistrats. Pr l’assemblée ou le Sénat, on a les comices de diverse natures, sans oublier le « rex sacrorum » et les pontifes. La caractéristique ppale de ces institutions c’est qu’elle résulte d’un démembrement et d’une répartition, qui étaient attachés à la figure du roi. En divisant le pouvoir, on évite le retour du pouvoir d’un seul. Désormais, le pouvoir est

qui fut intégrée dans les nouveaux cadres administratifs du pays par la loi du 24 août 1790, dite Constitution civile du clergé. Condamnée par le Pape, cette loi provoque un schisme dans l'Eglise de France, partagée entre les fidèles au souverain Pontife et ceux qui ont adhéré au régime nouveau. Cependant ces deux Eglises sont rassemblées dans une même persécution sous le régime de la Convention. La fin de la terreur et la chute de Robespierre marquèrent le retour de la liberté religieuse, et le vote

une partie de la doxa des Incas : «ce livre [il sʹagit du livre des lois] est composé de cordons de mille couleurs, des nœuds en sont les caractères ; et ils suffisent à exprimer des lois simples comme les mœurs et les intérêts de ces peuples. Le pontife en fait la lecture ; le prince et les sujets entendent de sa bouche quels sont leurs devoirs et leurs droits.», Œuvres complètes, Genève, Slatkine, 1968 (reprint de lʹédition de Paris, 1819-1820), t. III, p. 338. Selon Voltaire, au contraire, les

de l’Eglise sauf que le pouvoir de l’Eglise est concurrencé par l’empereur romain d’orient qui revendique la plénitude des 2 pouvoirs. Le Pape Gélase écrit à l’Empereur Athanase, il existe deux principes l’autorité sacré des pontifes et l’autorité royale. L’autorité pontife est supérieure car le pape rend compte de son pouvoir devant le tribunal de Dieu, l’empereur lui devant le tribunal des hommes ; Le pape rend aussi compte du pouvoir du roi devant le tribunal de dieu, il est donc supérieur à

religion et la morale. I. Le droit isolé de la religion • Comme dans les autres sociétés antiques, le droit plonge à Rome ses racines dans la religion. Mais le droit a été de bonne heure séparé de la religion. Cette séparation a été l'œuvre des pontifes. Durant des siècles, ces prêtres ont eu autorité à la fois sur la religion et sur le droit. Or ces derniers avaient un grand souci d'efficacité, laquelle supposait un partage des tâches. À la religion, on a assigné la tâche de maintenir la paix entre

autonomie est ancienne, remonte au début de la République, vers 509 av jc. Si on remonte à la période avant la République, certaine confusion, le droit était en partie sacré. Il y avait les pontifes (prêtres) qui avaient une double fonction; une sacrée et la fonction d’interpréter le droit. Très rapidement, ces pontifes ont assigné aux deux ordres des rôles différents; À la religion, le maintien de la paix entre les hommes et les Dieux. Au droit, le maintien de la paix entre les hommes. Le caractère