Collège des pontifes

mission de ne jamais quitter les autels de Jupiter, le revêtit d'insignes augustes, et lui donna la chaise curule pareille à celle des rois. Il lui adjoignit deux autres flamines, l'un consacré à Mars, l'autre à Quirinus. (3) Il fonda ensuite le collège des Vestales, sacerdoce emprunté aux Albains, et qui n'était point étranger à la famille du fondateur de Rome. Il leur assigna un revenu sur l'état, afin de les enchaîner exclusivement et à toujours aux nécessités de leur ministère : le voeu de virginité

omniprésente dans tous ses contes. Si je ne cite par exemple que Micromégas, Voltaire est lui-même le protagoniste dans l’histoire - la personne est reconnaissable à travers le personnage de Micromégas. Au cours de son enfance, Micromégas a étudié au collège des jésuites. Ensuite, il a écrit un livre après avoir fait une expérience scientifique ce qui lui a voulu une poursuite du Muphti. Il a après été exilé de la cour. Pour se venger, il a fait une chanson qui vise la personne du grand Muphti puis

l’église, il y a une profonde alphabétisation des campagnes dans chaque régions il y a une paroi qui apprend à lire et à écrire au minimum. Un immense progrès d'alphabétisation, l'école aux village est une réalité, l'enseignement par lacréation des colléges se multiplient. A la veille de la Révolution l'illétrisme est en profond recul. L’obligation scolaire est l’œuvre de Jules Ferry 1781, cette scolarisation va généraliser ce concept, la longue d’oïl est donc révolutionnaire, elle est unificatrice

du sacerdoce commun de tous les fidèles, avant de traiter du sacerdoce ministériel, et l’épithète " ministériel " y a été ajoutée à bon escient (9). Il a, de plus, mis en évidence la place de l’évêque, centre de l’église particulière, et membre du Collège universel des évêques. La place du prêtre dans l’Église en est devenue plus floue. Depuis Vatican II, le ministère du prêtre est devenu plus différencié et ses limites sont désormais moins fortement accusées qu’elles ne l’étaient dans les manuels

On remarquait le zèle avec lequel les Volsques pillaient les propriétés des plébéiens en épargnant les biens des nobles ? Rome, effrayée, négocia. Les ambassadeurs se succèdent en vain auprès du révolté ; ni consulaires vénérables, ni prêtres, ni pontifes, ni augures ne parviennent à le fléchir. Impénétrable, inaccessible, Coriolan accomplira donc la mission qu’il a acceptée. Sa mère, Véturie, et Volumnie, sa femme, suivies de matrones suppliantes, désarment enfin Coriolan, qui ordonne la retraite

caractérisa surtout par son absence d’unité. Tant sous Charles Quint que sous Philippe II, on créa de nouveaux diocèses dans les Pays-Bas. Alors que, pour réprimer l’hérésie ou éteindre des foyers de révolte, le roi d’Espagne engagea les souverains pontifes vers 1560 à ériger évêchés et archevêchés, on ne toucha pas au Luxembourg. Le duché resta écartelé entre six diocèses dont deux se taillèrent la part du lion : l’archevêché de Trèves et l’évêché de Liège. Aux confins du duché, des terres dépendaient

de la citée. Civil et religieux imbriqués l'un dans l'autre. Citée Romaine a ses propres dieux qui veille sur la citée. Ce sont des divinité poliades. On voit alors apparaître un culte officiel. Assuré d'abord par le roi puis par le grand pontife (chef collège des prêtres). Principaux dieux : « Jupiter, Junon → moissons, et minèrve → justice » Culte officiel rendu sur le Capitole, archive et trésor de la citée conservés dans un temple. Le magistrat avant de rentrer en fonction doit se soumettre à

mais on a pu voir quʼelle pouvait fonctionner dans lʼautre sens (image>texte). ! 2. Art et croyance (époque impériale) Période de mutations: Rome se demande ce qui va arriver de sa ville. A Rome, la religion est aux mains soit des pontifes, soit des collèges religion; cʼest une religion dʼétat et non personnelle, les romains essayent donc de trouver des réponses. 19 E17CL1-CM: Arts et Littérature Révolution religieuse: arrivée de nouvelles croyances (christianisme). Développement des

afin que nul ne put s’y tromper une inscription s’échappait de la bouche de l’effigie, indiquant : « Je suis Sigismondo Malatesta, fils de Pandolfo, roi des traîtres, un danger pour Dieu et pour les Hommes, condamné au buché par décision du Sacré Collège. » Quand on sait que Pie II était considéré comme un pape éclairé et humaniste, on peut se demander quel était l’objectif poursuivi. Croyait-on que Sigismondo serait affecté par son effigie brûlée ? Ou bien l’acte était-il purement symbolique, signifiant

première pierre de l’église orientale qu’il désirait édifier en l’honneur et à la gloire de Dieu, parce que par ce moyen il prenait possession réelle de tout ce qui avait été découvert et restait encore à découvrir, d’après les donations des Souverains Pontifes. Et le Roi ayant su que là où avait lieu la traite de l’or, les Noirs se réjouissaient de recevoir des étoffes de soie, de laine, de lin et autres produits indispensables à la vie quotidienne et à l’entretien de la maison, qu’ils se montraient d’un