Comique Critique Religion

éducation, école, préjugé, filière La religion et les femmes en France au XXème siècle Dissertation se demandant s'il existe des modes d'appropriation de la religion différents selon les hommes et les femmes. 1580 mots (approx. 4 pages), 0 sources, 2010, 3,95 € Dissertation № 19327 | détails | Ajouter au panier (vous pourrez toujours retirer cet article de votre panier ultérieurement) Résumé Elisabeth Badinter, qui est philosophe, a dit en 1986 que les religions sont des instances de justification

fait une critique, dans la scène 3 de l'acte V, le dénouement. Problématique: Comment l'auteur utilise-t-il les différents registres de comique pour dénoncer la société ? Plan: I.Une scène comique -comique de mots -comique de situation -comique de caractère II.La critique de la société du 18 ème -La justice expéditive -Le manque de liberté d'expression I.Une scène comique -Comique de mots:

ambiguë ? I) Le mélange de comique et de gravité 1. Le comique tourne autour de Sganarelle .Le comique de caractère : - pleutrerie (peureux) : (l.72)" la crainte en moi fait l'office du zèle" - logorrhée : longueur de phrases - pédanterie : (l.92) "inter nos", (l.1) "Aristote" - superstitions : (l.55) "Qui ne croit ni Ciel, ni Saint" .Le comique de mots : - insultes : (l.53) "le plus gd scélérat" - registre religieux - contraste du vocab de Gusman et Sganarelle .Le comique d'incongruité : - l'éloge

classique, comme toutes les autres pièces de Molière, une œuvre qui a été sujette à beaucoup de critiques. On reproche d’abord à Molière de n’avoir pas respecté la règle de bienséance qui interdit toute action indécente, puis la pièce sera censuré et accusé de mettre à mal la religion ; elle sera autorisée à la représentation 5 ans après sa première censure. La pièce a pour enjeu principal la critique de la crédulité d’Orgon et la dénonciation de l’hypocrisie, plus particulièrement l’hypocrisie religieuse

détournent les lois pour justifier les injustices qu’ils commettent. Si le dialogue permet de présenter de manière plaisante des anhommes et leur perversité, il n’en demeure pas moins que sa fantaisie et ses aspects comiques n’ôtent rien à la profondeur et à l’amertume de la critique : cet échange drôlatique entre volatiles de basse-cour est aussi porteur d’une charge violente contre les cibles habituelles des Lumières. Même dans ses développements les plus amples, à savoir ici les deux tirades

importantes -Rappel : Tout d’abord il faut se rendre compte qu au 17-18.siècle il n’était pas permis de critiquer ni les personnages ni la société. Si on publiait une œuvre jugé comme une critique ou une attaque elle était censurée. Un auteur ne pouvait donc pas publier n’importe quoi, il devait être attentif au jugement du roi Louis XV. -Huron : iroquois, ou indien du Nord ayant ni religion ni culture. Les anglais avaient évangélisés la plus part des habitants de leurs colonies. En Europe on les

le spectateur. Il s’agit d’amuser les gens et de leur faire passer un bon moment. Le théâtre se prête particulièrement bien au registre comique grâce à son aspect visuel, à sa dimension de spectacle, à la mise en scène et aussi par l’effet de groupe. Grâce à cela, le rire devient communicatif. Le théâtre a su exploité différents types de comiques: - Le comique de situation réside dans la situation incongrue ou paradoxale. En effet tel ou tel comportement d’un personnage distingué par un trait de

l'imposture. I Scène d'exposition 1 Exposition externe faits 2 Exposition interne caractère II Un comique de dénonciation 1 Comique 2 Relations Acte II, scène 16 Une scène pathétique ou comique? I Pathétique 1 La Comtesse valorisation, souffrance, supplication 2 Le Comte dévalorisé, perte de la maîtrise de lui même, dévaluation de la parole, utilisation de la force II Comique 1 De situation double quiproquo, spectateur en sait +... 2 De gestes 3 De caractère 4 De répétition

sur ceux qui ont condamné son œuvre. Ainsi, il critique de nouveau la religion mais plus implicitement comme dans l’Acte 3, scène 1 que nous allons commenter. Cette scène est un dialogue entre Dom Juan et Sganarelle, qui essaie de convaincre Dom Juan de croire en la religion. De cette façon, nous allons d’abord démontrer en quoi Dom juan et Sganarelle ont des morales en parfaite opposition, puis, nous allons montrer qu’en plus d’être une scène comique, c’est aussi une scène mettant en place un discours

Le comique dans Gargantua de François Rabelais : En 1534, François de Rabelais écrit Gargantua Pantagruel, une œuvre drôle et satirique parodiant les diverses personnalités de l'époque, qu'elles soient politique ou religieuse. Rabelais les critiques de façon implicite et toujours avec la vision ironique de ses personnages. En quoi Gargantua Pantagruel, relève t-il du comique ? Une comédie scatophile : Rabelais toujours en essayant de faire rire ses lecteurs, leurs propose de suivre