Comique Grossier

fait le rôle d’un comique qu'il n'aime pas. Ce document offre deux points de vue sur le rôle d’un comique. Le second document est un article provenant du journal Le Figaro paru le 23 avril 2010 intitulé « De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette » et rédigé par Nathalie Simon. Ce document démontre que les français aime rire d’une part pour les spectacles qui font rire tels que les one-man-shows qui font salles combles et d’autre part par l’augmentation des comiques sur les planches

LE COMIQUE CHEZ MOLIERE I)La Définition du comique : Le mot "comique" (du grec kômos, fête carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux en mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant

était un procédé théâtral associé au peuple et au petite gens car les pièces étaient souvent grossières. Les aspects de la farce qui sont présents dans la pièce « L’ecole des femmes » sont, tout d’abord, la grossièreté des gestes considérer comme grossiers au 17eme siècle, tel que jeter la pierre a quelqu’un, ce qu’Agnès fait a Chrysalde âpres qu’Arnolphe le lui ai ordonné. Une autre caractéristique de la farce présente dans ce texte est l’acrobatie verbale, ou le quiproquo. Par exemple, quand

comportement   que   Gnathon   represente.   L'auteur   a   ecrit   son   texte   dans   le   registre   caricatural   et   satyrique   et   il   a   décidé   d'insister   sur   le   comique   et   le   rire   en   tournant   en   dérision   certain   type   mondain   de   la   haute   société   de   XVIIième  siècle  en  nous  proposant  un  caractère   qui  

mal. III - Une scène de farce. Malgré la cruauté, cette scène appartient au registre de la farce tellement les éléments de composition sont grossis. A - Les jeux de scène. La farce met en scène des personnages frustres dans des situations simples en recourant à un comique de gestes autant que de paroles. Don Juan n’est pas un être grossier, mais il se prête ici à une situation grotesque en se mélangeant à des paysans. Il s’amuse, il examine minutieusement Charlotte. L’outrance du discours

couvent » Transition : Tragique mais vise le comique ( burlesque et ridicule d'Arnolphe) 2- Traitée sur le mode parodique (scène tragique parodiée) Molière cherche a faire rire les spectateurs à travers Arnolphe : désespoirs et élans d'amour . Marque d'amour suivies d'alexandrins avec des termes bas et triviaux : adhération incomplète à l'amour d'Arnolphe . Cul de couvent : - Allitération en (C) - cul : grossier , couvent : noble Résultat inverse de celui souhaité :

mots, mais aussi celui des gestes et des apparences (costumes, décors, mouvements, musique, etc.). La fonction du théâtre n'est pas radicalement différente de celle des autres genres littéraires ; elle tente de provoquer des effets sur le public, comique, pathétique... Le dramaturge, en faisant parler ses personnages, incarnés par les comédiens, peut également dénoncer ou faire passer ses idées, son point de vue sur de nombreux sujets. Le théâtre est ainsi un moyen d’expression, qui peut représenter

une pièce de théâtre courte qui vise à faire rire un large public. Les procédéscomiques sont simples et grossiers : coups de bâtons, gestes déplacés et propos vulgaires.  La commedia dell’arte vient d’Italie ; elle est fondée sur l’improvisation et certainspersonnages, devenus célèbres (Arlequin, Polichinelle…), sont masqués, ridicules et comiques.Comme pour la farce, les procédés du comique reposent essentiellement sur le mime, lescoups de bâton, les tromperies entre personnages : des valets voleurs

crainte et pitié ". la comédie est liée au registre comique et satirique. Elle met en scène des personnages de condition moyenne ou modeste ; le sujet est tiré de la vie quotidienne ; la pièce se termine bien (souvent par un mariage). La farce (du Moyen Age au XVIII e s surtout) est une forme populaire de comédie, qui fait appel à un comique plus grossier (de mots, de gestes surtout). Le drame (XVIIIe-XIXe s.) mêle les registres tragique et comique. 3. LA POESIE Elle se définit par un usage différent

aborde cette pièce de manière moderne en y ajoutant divers procédés qui permettent de toucher et d’émerveiller aussi bien les grands que les petits : de la musique contemporaine est ajoutée, des acrobaties ainsi que bons nombres de procédés comiques (comique caractère, de mouvement, de répétition etc…). Le réel but du metteur en scène est vraisemblablement d’emporter son public ailleurs et de le divertir par tous les moyens. 3) Dans cette mise en scène, le décor occupe une place prépondérante et