Comique Roméo Et Juliette

d'une partie centrale du navire, ont été de plus en plus longues et plus spectaculaire conduisant à un type de drame religieux qui a été le théâtre par excellence du Moyen Age. Peu à peu les éléments laïques ont été ajoutés et des représentations comiques tels que, pour des raisons de bienséance, a fini par quitter l'église et a commencé à exécuter dans les lieux publics: dans les portiques et les cours des églises, des places, des rues et des cimetières. MEDIEVAL THEATRE UNHOLY Au XIVe siècle

aiment aussi parler de la mort et utilisent fréquemment l’illusion dans leurs œuvres. Le théâtre est le lieu de l’illusion par excellence. Le théâtre baroque accentue cette illusion par de fréquents changements d’intrigues comme dans « l’Illusion comique » de Corneille. Il y a donc de nombreux changements d’intrigues au cours de la pièce. Le théâtre baroque est plutôt fondé sur les émotions que sur l’intellectuel .Dans le domaine du théâtre, l’élaboration de vanités, de multiples changements d’intrigue

« comédie musicale » (commedia musicale) est apparue a priori pour la première fois, au XVIIIe siècle[->24] en Italie[->25] pour qualifier les rares ouvrages musicaux légers mêlant chant et dialogue (et éventuellement danse), à l’image de l’opéra-comique[->26] français. On retrouve cette appellation en France, de l’« Entre-deux-guerres[->27] » jusqu’à la fin des années 1960, pour qualifier de petites comédies de boulevard musicales, appelées également « opérettes légères », comme par exemple Couchette

pastorale ; l'histoire du berger Tircis et de la bergère Philis est en tous points similaire à celle de Cléante et Angélique. La mise en abyme permet ici de rire de la naïveté d'un père et de montrer l'habileté de la jeunesse rebelle ; elle participe du comique de la pièce. La mise en abyme peut également jouer le rôle de clin d'œil inséré par l'auteur, ou lui permettre d'engager, sur le mode de l'humour (autodérision), une critique sur sa propre œuvre, voire sur le genre auquel elle appartient. Milan

secondaires grotesques donnant des allures de petites comédiennes shakespearienne, qui divertissent et détendent sans troubler. Maître Blazius, Dame Pluche, Le Baron, notamment, offrent une galerie de personnages burlesques, égocentriques, à potentiel comiques. Le second où la verve est éloquente, le style se tend, se charge d’images et de symboles, la phrase s’arrondit ou se hache d’exclamations ou d’apostrophes, s’exalte jusqu’à la grandiloquence. Il s’agit de la fin de l’acte II et de l’acte III

témoignent la présentation en strophes et les rimes en fin de vers. L’extrait n° 2 est constitué de plusieurs répliques d’une pièce de théâtre comme le montrent les indications scéniques, les didascalies et le paratexte. Il s’agit d’un extrait de Roméo et Juliette de Shakespeare. L’extrait n° 3 est un article du journal Le Nouvel Observateur. L’extrait n° 4 est un passage du roman Le Temps des Secrets de Marcel Pagnol, comme en témoigne l’alternance des temps du récit, le passé simple et l’imparfait.

Shakespeare » de Stendhal, remet Shakespeare à l’honneur dans un ouvrage de réflexion sur le théâtre. Victor Hugo y découvre la complexité de la nature humaine. Dans la préface de « Cromwell », il demande donc le mélange des genres tragique et comique. 3.4.2. Totalité, diversité et transfiguration Pour Victor Hugo, le drame est la peinture totale de la réalité des êtres et de l’histoire ; ses personnages peuvent être sublimes ou grotesques. Il récuse la bienséance qui interdit de montrer sur

Amélioration des raccords entre les plans 
 Portée expérimentale : le montage alterné. II LES PREMIERS AUTEURS : 1907 – 1918 
A/ La France : Max Linder et Louis Feuillade 
 • Pathé cherche des nouvelles formes de création : il invente le cinéma comique à la française avec Max Linder (créateur de cinéma burlesque). 
• 1922 les trois mousquetaires --> mais Linder est vite dépassé par C.Chaplin. 
• Pathé invente également le film d’Art : film de fiction adapté de pièces classiques ou de scénarios écrit

différentes du rôle. Au moment de la création de la pièce, Tartuffe fut joué par Ducroisy qui se présentait comme un homme d'une quarantaine d'années, de belle carrure, doté de prestance et quelque peu adipeux. Il s'était fait une spécialité des emplois comiques et permit donc à Molière de faire rire de son personnage. Deux tendances après lui se sont dessinées: l'une a voulu accentuer le côté farcesque de Tartuffe jusqu'à la caricature; l'autre au contraire donna à Tartuffe une dimension dramatique

avec un panache et sens du comique tout à fait extraordinaire. Etre térataulogique qui doit donc être rejeté : il va transformer tératologie ; quelque chose qui arrache à la platitude du littéral et de l'unnicité de sa térataulogie profonde, de son opposition au corps social (oeuvre symbolique, créative, qui donne du sens aux choses). Nez : symbole du désir, de l'élan qui l'anime. Il donne du sens à ce qui n'en avait pas pour le Vicomte. Il va en faire un nez comique, signifiant et symbolique