Comique Sérieux

Argumentez en vous appuyant sur des exemples de comédies ou d’humoristes » Le sujet porte sur les limites de l’humour et du comique, notamment en se moquant de certains sujets. Nous allons nous interroger sur le droit et les différentes permissions qu’ont les auteurs de traiter certains thèmes. Il faut également réfléchir à la censure et a la notion de bienséance. Le comique est-il un moyen de critiquer le non critiquable comme le pouvoir en place ou bien les différences sans autant dépasser les

mots, mais aussi celui des gestes et des apparences (costumes, décors, mouvements, musique, etc.). La fonction du théâtre n'est pas radicalement différente de celle des autres genres littéraires ; elle tente de provoquer des effets sur le public, comique, pathétique... Le dramaturge, en faisant parler ses personnages, incarnés par les comédiens, peut également dénoncer ou faire passer ses idées, son point de vue sur de nombreux sujets. Le théâtre est ainsi un moyen d’expression, qui peut représenter

sera de se situer par rapport à Molière et à Shakespeare. Le titre « On ne badine pas avec l’amour » constitue un aphorisme qui allie les deux tons de la pièce : la légéreté du badinage et le sérieux de l’avertissement. Mais une troisième tonalité se dessine : le comique de la farce. Entre comique de farce, comique badin et gravité du drame, quel équilibre se créé dans ce prologue ? Nous verrons tout d’abord....

personnage principal est Argan, un père de famille hypocondriaque. Cet extrait est la deuxième scène du premier acte, c’est un dialogue entre Argan, le malade imaginaire et sa servante Toinette. Nous verrons donc comment Molière présente de manière comique les relations entre maitre et servants du XVIIe siècle. Tout d’abord, nous pouvons voir que la scène présente une relation spéciale entre le maitre, Argan et sa servante Toinette, que dans un sens, nous retrouvons une relation assez classique

2) Serviteurs | | Littéraire 10 | | | | | | | | | | Tragique | comique | polémique | satirique | ……. | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | LES CARACTERISTIQUES DU THEATRE | REGISTRE | PAROLE ET DIDASCALIES | GENRE | Langagier | Littéraire | L’énonciation | La parole et l’action | Le genre théâtral | Les règles | soutenu | courant | familier | comique | épique | tragique | …… | La parole du personnage | Les didascalies | Le

▪ sa spécificité humaine « le rire est le propre de l’homme » disait Aristote repris plus tard par Rabelais ; les animaux ne pleurent ni ne rient ; l’humour est profondément humain ; ▪ sa relation à la joie et au plaisir procuré par le comique ; ▪ son aspect spontané, automatique, quasiment réflexe, qui le lie à l’intuition -parfois on ne peut s’empêcher de rire, alors qu’on ne le voudrait pas-. S’il faut expliquer un jeu de mots, il ne fait plus rire. Il y a peut-être des intelligences

• Comique. Etymologie : grec comodia, chanson de fête :Provoque le rire, Caricature, parodie, absurde, jeux de mots,…. Il peut faire appel à l'humour, au comique verbal, à la parodie, au burlesque, à la caricature, à la parodie ou encore au travestissement. Le comique peut naître d'une situation (par exemple une situation absurde), d'un comportement, d'un caractère ou encore de gestes. Il provoque le rire, le sourire, l'amusement. Les thèmes sont extrêmement variés : les défauts d'un personnage

critique du Mariage et de la noblesse. Nous étudirons d’abord une scène comique proche de la farce et enfin une critique sociale faite par l’auteur. . Dans cette scène, Arlequin est présenté comme un valet qui en plus de vouloir épouser la maîtresse, Silvia, à surtout épousé son déguisement de Maitre. Arlequin tente de monopoliser la parole avec trois grandes tirades. Il ne cesse de jouer de ses mots. Il use du comique de mot pour faire transparaitre une position de force et une grande assurance :

caractéristiques du théâtre de l’absurde qui exprime le vide et enlève toute cohérence à l’intrigue de même que toute logique aux propos. Deuxièmement, la tonalité de la pièce, qui semblait être comique au début, ne l’est plus du tout par la suite. La transformation de M. Boeuf est présentée de façon comique à la scène 1 de l’acte II. Daisy appelle l’animal d’une manière cocasse, en disant « Minou, minou, minou… » (p. 116) Tandis que la métamorphose de Jean, dans la scène 2 de l’acte II, a suscité

Il chante comme indiqué dans les didascalies. Lorsqu’il parle il y a beaucoup d’onomatopées comme « oh ! » et « ah ! » et de points d’exclamations ce qui est un signe de spontanéitée Iphicrate est un personnage qui appartient davantage au fonds comique français. Un aristocrate sûr de sa position sociale, reflétée par le caractère que lui prête Marivaux : égoïsme il y a de nombreux "je" dès la première réplique du passage, il est condescendant "mon cher Arlequin" et a une autorité naturelle nombreux