Comité de Bâle

réglementation prudentielle dite Bâle 2, car celle-ci supprimera les arbitrages réglementaires que Bâle 1 permettait. De leur côté, des autorités bancaires ou des banques centrales commencent à dire que les banques et les assurances ne sauraient s’affranchir de leurs responsabilités quand elles accordent des crédits même si elles ont l’intention de les céder rapidement8. Si on ne peut qu’être d’accord avec ce dernier principe, on peut s’interroger sur la capacité de Bâle 2 de traiter efficacement la

se sont accordées sur un partage des compétences en matière financière, avec la création d'un comité de liaison assurant une information régulière des activités de chacune. Outre le développement des missions conjointes (les fameuses reviews), les institutions se sont accordées sur la possibilité pour le dirigeant de chacune de participer pleinement aux réunions du comité intérimaire (FMI) et du comité de développement (Banque mondiale). Progressivement, une meilleure coordination se met donc en

évolutions permettant à ces dernières de s’adapter. Comme toute autre entreprise, les banques se doivent de publier leurs documents de synthèse (BILAN-COMPTE DE RESULTAT-ANNEXES). Toutefois, les Banques ayant une influence directe sur l’économie, le comité de la règlementation comptable (CRC) a énoncé clairement dans son règlement 2000-03 les modèles obligatoires des différents documents de synthèse qu’elles doivent fournir. Ainsi, un modèle-type de compte de résultat adapté spécifiquement aux banques

capital : normes actuelles et 4.2.1 propositions nouvelles Régulation du capital pour le risque du crédit : normes 4.2.1.1 actuelles Réforme de la régulation du capital pour le risque de 4.2.1.2 crédit : le Nouvel Accord proposé par le Comité de Bâle Le traitement du risque de crédit selon le Nouvel Accord 4.2.1.3 Traitement réglementaire du risque de marché 4.2.1.4 Le risque de taux d’intérêt lié aux opérations bancaires 4.2.1.5 Traitement du risque de titrisation 4.2.1.6 6 60

..............32 1.1. Définition du ratio de solvabilité. .....................................................32 1.2. Les objectifs du ratio..................................................................... 33 Section 2 : La réforme du comité de Bâle II.................................................. 34 2.1. La remise en cause du ratio de solvabilité........................................34 2.2. Les nouveaux objectifs du ratio de solvabilité. .................................35 2.3.

sein du SI - Bien avant les contraintes liées à la loi Sarbanes Oxley ou à son pendant français, la LSF (loi de sécurité financière), les établissements financiers ont mis en place le pilotage des risques exigé par le comité de la réglementation bancaire et financière puis par Bâle 2. - Ainsi de solides référentiels de données consolidées font donc maintenant l’objet de toutes les attentions car il s’agit de délivrer au travers des SI une information claire et précise (notion de traçabilité) -

Etats sont dans l’incapacité de sauver leur banque sans se mettre à genou. Qui va financer le régulateur européen pour ces banques ? Comment expliquer l’Allemagne qu’ils vont devoir participer alors que ce pays s’en sort plutôt bien. L’accord de Bâle porte les banques françaises Etre sur que les banques ne se trouveront pas comme il y a 4 ans, en manque de liquidité. Le régulateur a décidé de remettre la liquidité au centre de la régulation bancaire. Ratio LCR , Ratio de liquidité à 30 jours

* Présentation Crédit Du Maroc………………………………………………………..7 Première partie : la gestion des risques au CDM comparée à la BP et à la BMCE Chapitre 1 : gestion des risques au CDM…………………………………………………...10 Section 1 : recommandations du comité de Bâle II………………………………………10 Section 2 : exigences de BAM…………………………………………………………...11 Section 3 : différents types de risque……………………………………………………..26 Section 4 : principaux acteurs et stratégie de couverture de risque………………………36

même titre que ceux du secteur privé, au respect de l’ensemble des règles monétaires et prudentielles. Enfin, le cadre réglementaire se trouve complètement aligné sur les standards internationaux, notamment avec l’entrée en vigueur des dispositions de Bâle II et l’adoption des normes comptables internationales (IFRS). Les conclusions du rapport de la mission d’évaluation du secteur financier marocain, effectuée en novembre 2007 par une équipe conjointe du Fonds Monétaire International et de la Banque

la sécurité et la stabilité du secteur bancaire au niveau international. 1. Les normes de gestion - Accord Bâle I (ensemble de recommandations dont le pivot est la mise en place d’un ratio minimal de fonds propres par rapport à l’ensemble des crédits accordés , appelé Ratio Cooke= seuil mini 8%) + autres mesures (ratios de répartition des risques, coef liquidité….etc) - Bâle II , dont les recommandations s’appuient autour de 3 pilliers : • l'exigence minimale de fonds propres (ratio