Comité de direction

différents produits disponibles sur le marché bancaire algérien II. Chapitre 2 1. Présentation du groupe FRANSABANK 2. Présentation de FRANSABANK el djazair 3. Structure de la banque 4. Ses produits 5. Présentation de la direction commerciale * Son champ d’intervention * Sa mission * Son organigramme Conclusion Introduction Dans le cadre de nos études a l’école de formation en technique de gestion

les| | |recherche de dividendes ou de plus values à |membres de la direction et d'avaliser | | |court terme. |l'administration des affaires par la | | | |direction | |Les salariés |Il souhaitent améliorer leurs

régularité de la dépense avant que celle-ci ne soit effectuée – contrôle ex ante – et les mesures qui interviennent après ou durant la dépense – contrôle ex post. 4.1.2. Ces fonctions qui sont actuellement regroupées sous la responsabilité de la direction générale du contrôle financier (DG XX), présentent en fait des différences substantielles de par leur nature. Le premier type de contrôle consiste essentiellement en un processus administratif, dans le cadre duquel les propositions de dépenses

d’outils. L'un des principaux enjeux d'un projet informatique réside dans la grande diversité des profils qu'il fait intervenir et sa conduite nécessite un vrai savoir faire avec en particulier la connaissance de méthodes spécifiques. La direction de projet Les projets n'atteignent pas toujours leurs objectifs, plusieurs causes peuvent être identifiées : • Manque d'une gestion de projet expérimentée • Insuffisance dans la définition et la validation des attentes

l’objet de mises à jour régulières au fil des évolutions émanant de l’IIA. La récente publication du comité d’harmonisation d’audit interne (CHAI) qui a dans ses missions de définir le cadre de référence de l’audit interne pour l’administration de l’Etat aboutit à des résultats similaires. Conformément à l’article 2 du décret n°2011-775 du 28 juin 2011 relatif à l’audit interne dans l’administration, un comité d’harmonisation de l’audit interne (CHAI) a été créé auprès du ministre chargé de la réforme de

Étapes typiques d’implantation 1. Détermination du comité de gestion et/ou chargé de projet, 2. Définition de la mission de l’équipe d’implantation, son rôle, ses responsabilités, etc. 3. Formation de l’équipe d’implantation, 4. Définition détaillée du projet, autres ressources, échéances, ses étapes, etc. 5. Kick-off meeting et diffusion du projet à l’intérieur de l’entreprise, 6. Formation de l’équipe d’implantation au logiciel, 7. Ré-ingénierie des processus d’affaires

et l’Olympisme : A la suite de la création du CIO apparait le premier Comité Olympique français. Parallèlement, en 1908, est fondé le comité national des sports (CNS) qui représente les fédérations sportives. C’est à cette période que se fixe par ailleurs le cadre législatif qui permettra aux mouvements sportifs de se constituer. Il se compose aujourd’hui de plus d’une centaine de fédérations sportives nationales, de comités départementaux, de ligues régionales et de plus de 180 000 associations

1. Audit interne, théorie de l’agence et gouvernance de l’entreprise 2. La théorie des coûts de transaction, audit interne et gouvernance d’entreprise I- Lien entre audit interne et gouvernance d’entreprise II- La contribution du comité d’audit dans le gouvernement de l’entreprise Conclusion L’audit interne a suscité peu d’intérêt auprès des chercheurs. Le débat sur la gouvernance d’entreprise et les lois qui ont été votées dans certains pays visant à restaurer la confiance

l’exploitation de l’informatique en favorisant la participation de la Direction Générale dans le processus de prise de décision dans le Domaine informatique. Les principales composantes usuelles de la structure de gestion de l’informatique sont les suivantes : a) Comité Directeur Informatique ; b) Comité des Projets ; c) Commission Utilisateurs ; d) Direction des systèmes d’information (Direction des SI : DSI) ; a) Comite directeur informatique (CDI) Ses rôles et ses responsabilités sont

Une autre caractéristique que l’on peut voir dans les accords d’IBM est sa stabilité. Un des accords principaux : « Le protocole d’accord relatif au Comité Social Paritaire (CSP) », a été signé en 1984. Il est reconduisible tous les deux ans, et donc aurait pu être modifié à cette occasion. Pourtant, il n’a jamais été remis en cause ni par la direction d’IBM France, ni par les syndicats. Un détail important dans ce sens est, que cet accord a été conclu à l’époque avec les syndicats du FO et du SNA