Comité permanent de l’Assemblée nationale populaire

(1/3 l’accepte, 1/3 refuse, 1/3 d’abstention), la constitution de la 4ème a favorisé le régime parlementaire. Parvient difficilement à mettre en place politique cohérente, surtout vers l’étranger et les colonies. N’a pas su gérer crise Algérienne. Un comité de salut public en appel à D.Gaulle se met en place. D.Gaulle accepte le 1er Juin la place de 1er ministre, en échange d’une modification de la constitution, des pouvoirs spéciaux en Algérie, des pleins pouvoirs pendant 6 mois. Il créé un gouvernement

ème République se meurt sous la conjonction de 2 facteurs complémentaires : - les évènements d’Algérie, déclenchés dès 1954. En 1955, élections législatives anticipées n’ayant pas eu lieu dans les départements algériens, le Front de Libération National menaçant d’exécuter tout participant au scrutin, cette participation confirmant la souveraineté française. Ainsi, les algériens n’eurent aucun représentant (aucuns députés français élus en Algérie). - L’instabilité gouvernementale chronique

Les états généraux sont le nom donné à une assemblée représentant les trois ordres du royaume à savoir le clergé, la noblesse et le tiers état. Cette assemblée n'était pas permanente, elle était convoquée irrégulièrement par le roi selon sa seule initiative. De même le roi, prononçait la clôture de la réunion de l'assemblée cela lorsqu'il le jugeait utile. Cette assemblée était donc convoqué pour lui demander un conseil ou une aide financière. Mais c'est le souverain qui décidait des thèmes sur

confédération de l'Allemagne du Nord, qui regroupe tous les Etats protestants. Cette confédération est dominée par la Prusse. Il reste néanmoins pour cimenter l'unité allemande a dressé les Allemands contre un ennemi commun. Cette guerre de cohésion nationale apparaît nécessaire car les Etats du sud de l'Allemagne, de religion catholique, sont extrêmement réticents à l'égard de l'autoritarisme et du militarisme prussien ( c'est le cas de la Bavière ). Pour souder les Allemands, Bismarck rêve d'une guerre

base du tripartisme, c’est à dire sur l’accord des trois grandes formations politiques issues de la Libération à savoir le PCF (Parti Communiste Français), la SFIO (Section Française de l’Internationale Française) et le MRP (Mouvement Républicain Populaire). Le tripartisme éclate dès 1947. Le parti communiste dont les ministres ont été révoqués ne fait plus parti de la majorité parlementaire. Le système politique est soumis à une double contestation. Sur sa gauche, celle du parti communiste et sur

Tanger le 12/09/2008 SOMMAIRE Introduction générale CHAPITRE I : Le Groupe Banques Populaires : Originalité d’une banque leader Partie I : Présentation générale du Crédit Populaire du Maroc (CPM) I. La structure du CPM II. Mission du CPM III. Activités et performances du CPM Partie II : Présentation générale de la Banque Centrale Populaire (BCP) I. La structure de la BCP II. Mission de la BCP III. Activités et performances du BCP Partie

[pic] Rapport de Stage effectue À la banque Populaire de Meknès. Agence Marjane [pic] Remerciements Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m'ont beaucoup appris au cours de ce stage, et à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très Profitable. Aussi, je remercie toutes les personnes qui m'ont formés

mouvement Européen existe toujours (structure associative existante dans les différents États concernés, et qui visent à populariser les thèmes de la construction européenne). ARISTID BRIAN : Homme politique de la 3ème République. En 1929, devant l'Assemblée générale de la SDN, Aristide BRIAN a présenté un mémorandum sur la construction de l'Europe. Son projet était de type fédératif (rien à voir avec mise en place de régime fédéral, ni fédéralisme de Locke). Ce projet n'a pas eut de suite, d'abord

électeurs dans tel Etat fédéré obtient la majorité populaire de l’Etat fédéré, toute la liste va passer et donc toute la liste siégera au sein du collège électoral national. Les listes minoritaires n’auront donc aucun siège. Par conséquent, en principe, l’élection du président revient quasiment à une élection au suffrage direct puisque le vainqueur en voix populaires est en principe l’élu des grands électeurs même si cette majorité des voix populaires n’est pas absolue (la majorité relative suffit)

contrôle de constitutionnalité des lois a longtemps suscité en France une réticence certaine de la part des hommes politiques comme des juristes, tous persuadés que son introduction conduirait à une profonde altération des souverainetés législative et populaire au regard de l’article 6 de la Déclaration du 26 août 1789 («La loi est l’expression de la volonté générale»). Ils rejoignaient à cet égard la conception dégagée par Jean-Jacques Rousseau dans son ouvrage majeur «Du Contrat Social» (1762) au cours