Commedia dell'arte

théâtre. L’île des esclaves de Marivaux, mise en scène pour la première fois en 1725, est une pièce de théâtre assez originale car elle est en même temps comique et qui défend une cause qui est l’esclavage, l’auteur nous fait plonger dans la commedia dell’arte en faisant appel au personnage comique Arlequin. On assiste dans cette scène d’exposition, un renversement de rôle entre le maitre Iphicrate et son valet Arlequin dû à leur naufrage dans « L’île des esclaves ». Nous nous demanderions alors comment

siècle des Lumières, encore joué de nos jours. Le théâtre de Marivaux reprend la devise de la comédie castigat ridendo mores (c’est-à-dire corriger les mœurs par le rire) et construit une sorte de pont entre le théâtre traditionnel italien de la commedia dell'arte, et ses figures (notamment Arlequin) et un théâtre plus littéraire, plus proche des auteurs français et anglais. La modernité du « Jeu de l’Amour et du Hasard », est ancré dans les réalités contemporaines - nouvelle conception du mariage

la Commedia Dell’Arte, c’est alors que l’on ne retrouve plus seulement une parole dénonciatrice mais également un jeu d’acteur, une mise en scène bien plus révélatrice de l’action de la pièce. (2eme partie) D’autre part le théâtre n’est pas « uniquement un théâtre de parole » comme conteste Antonin Artaud. Il met en relation les effets scéniques ainsi que la parole, comme déclare E.Ionesco « Le théâtre est une histoire qui se vit […] Le théâtre est autant visuel qu’auditif ». La Commedia Dell’Arte

l’Amour Médecin. Autre exemple de comédie, la très célèbre La commedia dell'arte, venue d'Italie au XVIIe siècle, repose en grande partie sur l'improvisation. Des «types» (Arlequin, Pantalon...), reconnaissables à leur costume et à leur masque, brodent la matière dramatique selon leur inspiration. Ce théâtre influencera les auteurs de comédies (Molière, Beaumarchais, Marivaux...). Les plus grands masques connus de la Commedia dell’arte sont Arlequin Brighella, Polichinelle, Pantalon, le Docteur et

de comédiens italiens forment la Commedia dell'arte ; innovations en introduisant des personnages nouveaux (Arlequin, Pierro, Polichinel,...), en costumes, dans un théâtre de jeu visuel avec beaucoup de gestes. Interprétation en canevas (improvisations à partir de situations types). Séquence 1 : Théâtre et représentation - Le Siècle des Lumières. Fiche de synthèse - Avril 2010. 3°) Le théâtre de Molière : Molière s'inspire à la fois de la Commedia dell'arte, de la farce et la tradition antique

théâtre romain commence à partir du IIème siècle av J-C , dans le théâtre romain il y avait beaucoup de farce , et des mimes . Cela se jouer dans un théâtre , les acteurs ne portent plus de masques mais sont maquillés . II) Commedia dell'arte La commedia dell'arte apparaît vers le milieu du XVIème siècle . Les comédiens improvisaient à partir d'un canevas qui est un schéma général en le truffant de plaisanteries et d'acrobatie . Les personnages correspond à des types : Arlequin , Scaramouche

au point d’une approche personnalisée des clowns, pour une recherche « de son propre clown » qui est devenue un principe fondamental. La recherche de son propre clown, c’est d’abord la recherche de son propre dérisoire. À la différence de la commedia dell’arte, l’acteur n’a pas à entrer dans un personnage préétabli (Arlequin, Pantalon…), il doit découvrir en lui la part clownesque qui l’habite. Moins il se défend, moins il essaie de jouer un personnage, plus l’acteur se laisse surprendre par ses propres

acteurs qui improvisaient ensuite sur scène, multipliant les lazzi (gags où ils faisaient valoir leurs qualités d’acrobates autant que leur talent verbal). Les acteurs et actrices (car à la différence du théâtre traditionnel réservé aux hommes, la commedia dell’arte faisait appel à des actrices pour interpréter les rôles féminins) étaient également danseurs, acrobates et chanteurs. [...] [...] Ainsi, le costume a donc une fonction importante. Il se différencie de l’accessoire, caractérisé comme étant

tirlantaine, tirlanton », « il prend son maître par la main et danse », est présent aussi le comique de situation, avec les échanges de rôles entre les maîtres et les valets. On peut aussi constater que le personnage d’Arlequin est issu de la Commedia dell’arte, zanni veut dire valet, pitre, bouffon en italien, ce qui caractérise bien le personnage d’Arlequin. Dans cette pièce de théâtre, les relations maîtres-valets sont inversées. Les maîtres qui détenaient le pouvoir à Athènes ont perdu leurs avantages

pour but la critique de la société sans pour autant le laisser paraître. D’ailleurs, cette « propriété » apparaît dès la naissance de ce genre, au IV e avant JC chez Aristophane qui l’a initiée en dénonçant le pouvoir de l’argent. Depuis la Commedia dell’Arte (fin XVII) aux auteurs les plus récents tels que Feydeau (1862 – 1921) et Giraudoux (1882 – 1944), on remarque que le rire est très présent dans la comédie (ce qui semble normal étant donné le fait que les fêtes données en l’honneur de Dionysos