Comment Devenir Un Monstre

115 : « je touchais au but »Comment préparer un commentaire :· Lire· Trouver le sujet principal· Situer le passage· Trouver une problématique = fil directeur pour structurer la réflexionSujet/Thème : La découverte du secret de la vie qui va permettre la création de la créature => récit de l’état d’esprit, des émotions de Frankenstein // récit introspectif, portrait psychologique du scientifique Situer : Précède la création du monstre, début du récit de Frankenstein

 Texte de Alain : Inconscient et croyance. La difficulté de l’inconscient s’énonce logiquement : si l’inconscient est ce qui n’est pas conscient comment peut-on en avoir conscience ? On sait qu’au début du XXè siècle Freud affirma qu’il avait découvert la méthode pour étudier et traiter les troubles inconscients dont souffrent l’homme. Il suffit, selon lui, d’interpréter notre comportement comme les symptômes d’un refoulement inconscient. On connaît à présent les succès et controverses que la psychanalyse

amoureuse de lui alors qu'ils se connaissent depuis quelque jour. De plus , Bérenger est un homme pathétique car lors de son monolgue il se rend compte que Daisy n'était plus là et se met donc a parler a son miroir. Il se met a se mérpiser « je suis un monstre » ou bien encor « j'ai trop honte » Mis a par cela , Bérenger est un homme courageux , comme nous le voyon à la fin du monolgue lors de ses exclamation comme « je me défendrai » ou « je ne capitulerai pas » ou encor « ma carabine, ma carabine

La beauté Ou se trouve la beauté ? Intro : La beauté est intermédiaire. Elle est entre le joli et le sublime. Le joli est petit, inférieur au beau, tandis que le sublime renvoit à l’élevé, le grand. Comment définir la beauté ? Hippias Majeur, Platon. Hippias peine à trouver une définition de la beauté : il le définit à travers deux exemples, une « belle jeune fille » et « le beau n’est autre chose que l’or » : c’est insuffisant et n’explique pas la beauté !, puis par son contraire, le laid

pourquoi il est intéressant de revenir sur la déclaration de l’auteur : « D’autres ont dit que je l’avais fait trop bon. J’avoue que je ne m’étais pas formé l’idée d’un bon homme en la personne de Néron. Je l’ai toujours regardé comme un monstre. Mais c’est ici un monstre naissant. ». L’opinion publique est divisée. En effet, Racine a choisi un sujet-histoire compliqué car ses contemporains connaissent les épisodes de la vie de Néron et se sont déjà fait une image du tyran, ils sont donc exigeants. Les

littérature---------------------p II/ Un être fascinant et sensuel---------------------p a) Une monstruosité désirable------------------------p b) La morte amoureuse--------------------------------p c) Le vampire d’Edvard Munch------------------------p III/ Un monstre infiltré parmi les humains---------p a) Une apparence humaine-----------------------------p c) Le vampire, entre humanité et bestialité---------p d) L’incarnation de la tentation et du mal -----------p IV/ La fin d’un mythe ---------------------------------p

Questions possibles : * * Quelles sont les fonctions de ce monologue? * Comment mettriez-vous en scène ce passage? * En quoi ce passage est-il l'évocation d'un cauchemar? * Quels défis  de mise en scène le passage pose-t-il? * Comment le dramaturge mêle-t-il allégorie et dénonciation? * À quoi tient la force de ce passage? * Cette dernière page ferme-t-elle la pièce? * Comment le dramaturge utilise-t-il l'effet de surprise dans ce passage? * Quelles sont les

cannibales ! Mais comment ? Comment est-ce possible que ces hommes puissent manger leurs familles ou même d’autres êtres humains ? Comment leur est venu à l’esprit une chose pareille ? Je fus si stupéfié et horrifié, à la fois, de découvrir ces hommes, ces cannibales en arrivant là-bas ! Comment ces êtres monstrueux peuvent-ils exister ? Ces cannibales ne sont pas des Hommes, Dieu, notre bon Dieu, n’aurait jamais pu mettre une âme dans un corps qui mange d’autres homme ! Ou alors comment ces hommes ont

médiatique, tels de petits feuilletons télévisés qu’on attend chaque soir avec impatience. Pour cela, les journalistes savent comment nous tenir en haleine, ils deviennent alors des metteurs en scène qui tirent les ficelles pour faire jaillir en chacun de nous des émotions toutes plus fortes les unes que les autres. Les auteurs des crimes, les prédateurs deviennent alors des monstres dont les médias s’emparent pour créer des personnages, on peut penser à Francis Heaulmes qui est devenu « le routard du

parmi les autres, sans forcement etre fidele a la réalité : “faith-based community”. Une rupture se forme entre les porte-paroles du realpolitik et le public. Le mot de réalité est continuellement usé, au point de perdre sa signification et de devenir irréaliste au yeux du public. Đl faut se tourner vers de nouvelles façons de considerer les questions / choses publiques (“public matters” avec “matter” comme “chose”, “thing”) De la “Res Publica” et de l“object-oriented democracy”... (Affaire