Commentaire Comparé 8 Novembre 2005 Caution

Mmes Françoise Massé, Catherine Richard et M. Dominique Régnier. SYNTHÈSE L’objectif de ce rapport est d’éclairer les défis qu’aura à relever l’industrie bancaire française à l’horizon des dix prochaines années. Les travaux ont débuté en mars 2005 et le rapport a été remis au Président du CCSF le 15 février 2006. La relative brièveté de cette mission a dicté l’organisation des travaux. N’ayant pas la possibilité de procéder ou de faire procéder à des recherches académiques originales, nous avons

défaillances d’entreprises de façon à améliorer la protection des créanciers, ce qui passe notamment par une remise en cause rapide du « superprivilège » de l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés). Proposition 8 : Renforcer la concurrence entre les établissements bancaires sur le marché du crédit et des services complémentaires. Permettre à des établissements non bancaires sous supervision adéquate, par exception au monopole bancaire, de développer des produits

(article L. 225-235 du Code de commerce) 193 Intérêt des dirigeants et salariés dans le capital Commissaires aux comptes 194 204 RAPPORT DE GESTION SUR LES RÉSULTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS EXERCICE 2010/11 Faits marquants de l’exercice 2010/11 Commentaires généraux sur l’activité et le résultat Perspectives Analyse sectorielle Revue opérationnelle et financière Conventions et engagements réglementés 203 37 38 42 43 43 51 6 DÉVELOPPEMENT DURABLE Politique de développement durable et responsabilité

Document 4 : J. GHESTIN, « La notion de contrat » (D. 1990, chron. p. 147) > Document 5 : Art. 1102 à 1107 du Code civil + tableau de classification des contrats. > Document 6 : D. MAZEAUD, « Mais qui a peur du solidarisme contractuel ? », extrait D. 2005, p. 1828. Lecture non-obligatoire mais recommandée (disponible sur: obligations-l2-uvsq@yahoogroupes.fr) : C. THIBIERGE, « Libres propos sur la transformation du droit des contrats », RTD civ. 1997, p. 357 TRAVAIL A PREPARER Après avoir appris

caractéristiques du micro crédit : Un véritable moyen de développement social durable…………………………………………………………..14 Chapitre II- Les micros crédit au Maroc : une expérience unique qui a mérité la distinction des nations unis en 2005……………………………………………………………………....15 A- Le Maroc couronné par l’ONU en 2005 pour l’année internationale du Micro-Crédit…..15 B- Le financement des PME touristiques et le rôle du Micro-Crédit………………………16 1- Poids du secteur dans l’économie………………………………………………16 2- Le client primé, M

nécessaire adaptation de l’offre et des structures 143 6. La consolidation du pacte social 157 Conclusion 171 Annexes 175 Glossaire des abréviations 183 Sommaire 5 Mandat du ministre Mandat du ministre 7 8 Les défis de l’industrie bancaire Mandat du ministre 9 LE PRÉSIDENT Paris, le 14 décembre 2004 Monsieur le Professeur, Le système bancaire français, comme ses homologues étrangers, connaît, depuis quelques années, une très profonde

’Algérie (arabe : الجزائر, al-Jazā'ir[8]'[9]; tamazight et arabe algérien: Dzayer, Djazaïr ou Ldzayer ; en tifinagh ⵍⵣⵣⴰⵢⴻⵔ), en forme longue la République algérienne démocratique et populaire, abrégée en RADP (en arabe الجمهورية الجزائرية الديمقراطية الشعبية), est un État d’Afrique du Nord qui fait partie du Maghreb. Sa capitale, Alger, est située au nord, sur la côte méditerranéenne. Doté d'une superficie de 2 381 741 km², c'est à la fois le plus grand pays d'Afrique[10], du monde arabe et du bassin

un avantage par rapport à l’Asie. En effet, un conteneur effectuant le trajet Shanghai-Anvers ou Singapour-Hambourg coûte environ 1300 euros mais seulement de 500 à 600 euros de Hambourg à Casablanca ou d’Anvers à Tanger. Promotion 2006/2007 Page 8 Management et suivi de la performance de la chaîne logistique portuaire : Cas des ports de Tanger et Casablanca L’avantage comparatif du Maroc sur le marché européen réside tout de même dans sa capacité à s’intégrer dans des cycles courts de production

..............................................................................................................5 INTRODUCTION GENERALE ...................................................................................................................8 PREMIERE PARTIE : DE L’IMAGINAIRE A LA REALITE ...............................................................14 CHAPITRE I – ETAT DE LA RECHERCHE............................................................................................18 I – Des TIC

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fiche 6 : Le marketing stratégique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fiche 7 : Le marketing opérationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fiche 8 : L’adaptation du produit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fiche 9 : Le système d’information marketing et la veille . . . . . . . . . . . . . . . Fiche 10 : La recherche d’informations sur le Web . . . . . . . . . .