Commentaire Constitution 4 Octobre 1958 Article 3 Alinéa 1er

d'application. Article 1 Modifié par Avenant du 16 février 2007 BO conventions collectives 2007-12. Durée - Dénonciation - Révision. Article 2 Publicité et extension de la convention. Article 3 Droits syndicaux. Article 4 Modifié par Accord du 28 juin 1990 étendu par arrêté du 27 septembre 1990 JORF 9 octobre 1990. Article 4 Modifié par Accord du 15 novembre 1984 *étendu avec exclusions par arrêté du 11 juillet 1990*. Salaires. Article 5 Modifié par Avenant n° 8 du 18 septembre 1992 en vigueur le 1er janvier

II. LA LAÏCITÉ EN QUESTION ................................................................................................. 30 III. UN TRAITEMENT TECHNIQUE .......................................................................................... 31 3 IV. COMPROMIS ET DÉSORDRES RÉCURRENTS ................................................................... 31 V. LA SOLUTION POLITIQUE ................................................................................................. 33 BILAN ......

tentative révolutionnaire du jury constitutionnaire C’est l’Abbé Sieyès au moment de l’élaboration de la Constitution de 1795 (An III) qui veut créer un jury de la Constitution qui serait un corps de représentant de la Nation spécifique qui aurait eu pour fonction d’annuler les lois contraire à la Constitution. Pour lui, le contrôle ne peut revenir à un juge. Le fait d’appliquer la Constitution et d’appliquer la loi, expression de la volonté générale devait nécessairement être exercée par les représentants

d’exceptions. Donc, ce qu’on va choisir comme possibilité, c’est que l’administration va se juger elle-même. Et ce système va fonctionner jusqu’en 1872. Ce qui va se passer, c’est qu’on va créer une institution : le Conseil d’État (créer par la Constitution de l’An 8). Il a des attributions législatives et de Conseil. Dans son rôle de conseiller, le Conseil d’État va donner conseils à l’exécutif, mais aussi tant qu‘il va y avoir des conflits au sein de l’administration. Et il sera toujours écouter

règlement que la loi. Les sources principales : La constitution, les Principes généraux du droit, les lois, les règlements. La constitution : C’est le texte principal, c'est-à-dire la loi fondamentale du pays à laquelle l’ensemble des autres sources est subordonné en principe la constitution s’efface devant la règle européenne c’est ce qui ressort de l’arrêt de la cour de justice de l’UE 15 juillet 1964 l’arrêt COSTA, qui fait que les constitutions comme les lois doivent s’effacer devant les règles

panneaux. * Chez le commerçant : l'affichage des prix est obligatoire. Les marques et les logos sont protégés par le droit. * Dans un amphi : les sorties de secours ou les interdictions de fumer sont des signaux du droit. Le juridique est omniprésent. 3) Dans les activités : Le droit se matérialise : Acheter : établir un contrat de vente. Prendre un billet : établir un contrat de transport. Le droit en suspension (potentiellement là) : Griller un feu rouge : commettre une infraction passible

Université Rennes 1, Faculté de Droit et de Science politique Année universitaire 2012-2013 Licence 3 Droit fiscal général Cours de M. Gweltaz Eveillard Professeur à la Faculté de Droit et de Science politique de Rennes BIBLIOGRAPHIE DU COURS Quatre manuels dominent actuellement la production en droit fiscal : Jean-Jacques BIENVENU et Thierry LAMBERT, Droit fiscal, PUF, coll. Droit fondamental, 4e éd., 2010. Martin COLLET, Droit fiscal, PUF, coll. Thémis, 3e éd., 2011. Jacques GROSCLAUDE

lever certaines prohibitions au mariage. Délais de viduité veuve pour paternité = texte abrégé en 2004. certaines règles de droit ne sont pas impératifs. Art 758-3: Code civile tout héritier peut inviter par écrit son conjoint à exercer son option. Il ne s'agit pas d'imposer mais de lui donner une liberté. Lois du 4 mars 2002 sur le nom de famille offre la possibilité du choix du nom de l'enfant qui née. Parmi les règles non impératifs il y a les lois subjectifs qui sont les lois

PROJET D’ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L’ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE ET COMMENTAIRES Y RELATIFS 2001 Texte adopté par la Commission à sa cinquante-troisième session, en 2001, et soumis à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur les travaux de ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur le projet d’articles, sera reproduit dans l’Annuaire de la Commission du droit international, 2001, vol. II(2) avec une correction. Copyright © Nations

raisonnement | | | | | | | | | | | | | |Section 3 : L’interprétation administrative | | | | | | | | | |