Commentaire Constitution 4 Octobre 1958 Article 3 Alinéa 1er

L’ARTICLE 3 DE LA CONVENTION EUROPEENE DES DROITS DE L’HOMME AU REGARD DES PERSONNES PRIVEES DE LIBERTE « La justice ne saurait s’arrêter à la porte des prisons » [ {text:bookmark} 1]. Dès lors, qui dit peine privative de liberté ne dit pas privation de l’intégralité des droits du détenu. En effet, il existe dans toutes les philosophies et religions un principe moral d’avoir à respecter l’intégrité physique et mentale d’autrui. Cette idée peut s’illustrer par l’article 5 de la Déclaration Universelle

Ce droit public comprend 3 grands branches: le droit constitutionnel, le droit administratif et le droit des finances publiques. 1) Le droit constitutionnel: Il découle de la constitution qui détermine l’organisation d’un État. La constitution est un instrument qui renferme toutes les règles de fonctionnement d’un État . D’un pays à un autre, cet instrument peut être un écrit ou non . En France elle prend la forme d’un écrit, c’est la constitution du 4 octobre 1958 qui a institué la Vème République

édition © Nathan 2007 pour la présente édition 25 avenue Pierre-de-Coubertin – 75013 Paris ISBN 978-2-09-160373-5 00_BTS_Droit_1_160373 8/08/07 13:13 Page 3 Sommaire Référentiel 1 Le droit et l’activité économique 5 2 Les pouvoirs publics économiques 21 3 Les pouvoirs privés économiques 47 4 L’organisation judiciaire 61 5 Les sources du droit Le droit et l’activité économique 83 I. Le cadre juridique de l’activité économique 6 La hiérarchie

L 3 OPTIONS TRANSVERSALES DROIT DE LA COMMUNICATION Chapitre 1 : La réglementation de la liberté de la presse. Section 1 : Une liberté qui ne se conçoit pas sans limites. § 1 : Une liberté juridiquement affirmée. § 2 : Une liberté nécessairement limitée. Section 2 : Les atteintes « administratives » à la liberté de la presse. § 1 : Le pouvoir de police administrative en matière de presse. § 2 : Les saisies et interdictions judiciaires. Section 3 : Les restrictions législatives de

1999 pour la première édition © Nathan 2007 pour la présente édition 25 avenue Pierre-de-Coubertin – 75013 Paris ISBN 978-2-09-160373-5 Sommaire Référentiel 1 Le droit et l’activité économique 2 Les pouvoirs publics économiques 3 Les pouvoirs privés économiques 4 L’organisation judiciaire 5 Les sources du droit 6 La hiérarchie et la complémentarité 5 21 47 61 83 103 115 129 147 165 Le droit et l’activité économique I. Le cadre juridique de l’activité économique des sources 7 La preuve

de la première partie du Livre Premier du Code Général des Impôts, institué par l’article 5 de la loi de finances n° 43- 06 pour l’année budgétaire 2007. L'I.S. s’applique à l'ensemble des produits, bénéfices et revenus prévus aux articles 4 et 8 du C.G.I., acquis par les sociétés et autres personnes morales visées à l’article 2 dudit Code. SECTION I- PERSONNES IMPOSABLES Les personnes imposables à l’I.S. sont prévues à l'article 2 du C.G.I. qui distingue entre les

*********** Droit Civil / Groupe A 1er Semestre EQUIPE PEDAGOGIQUE Chargée du Cours : Dr Fatou Kiné CAMARA Chargés (es) des Travaux dirigés Mme

reflet. Pour Savigny (juriste allemand) ‘’ le droit serait le produit de l’histoire’’ ‘’ la source de droit est la coutume’’ Pour Turckheim (juriste français) ‘’ le droit est issue de la conscience collective’’. C/Enjeu de cette disjonction 3 conséquences .: -Le droit naturel constituerais une référence idéal pour les législateurs.-Le droit naturel serait pour l’interprète une source complémentaire (comble les lacunes du droit) -continuité entre droit naturel et droit positif en cas de

3 Sommaire Lettre de mission Liste des membres de la Mission Avertissement Remerciements Introduction Temps sur mesure et juste mesure du temps... Première partie 3 9 11 15 17 Le procès civil Chapitre préliminaire 27 Deux temps en apparence inconciliables : le temps des parties et celui du juge Chapitre 1 29 Temps des parties et loyauté procédurale Chapitre 2 41 Temps du juge et maîtrise procédurale Deuxième partie 83 L’expertise judiciaire civile Chapitre

parfois s’opposer à ce paiement. Tel sera le cas notamment lorsque le créancier aura laissé s’écouler un laps de temps trop important avant de saisir la justice c’est ce que l’on appelle la prescription. Par la survenance de la prescription au bout de 2, 3, 5 10 ans le créancier perdra son droit d’action, c'est-à-dire la possibilité de saisir l’autorité publique pour faire sanctionner la règle de droit. Cette solution est directement contraire à la morale car dans les faits un débiteur sera soustrait au