Commentaire D Arrêt Transsexualisme

quand il était accompagné d’adultère (qui fut interdit et puni par le Code pénal jusqu’en 1975). Peu à peu il s’est imposé comme une situation de fait, le droit a suivi et a cessé de considérer le concubinage comme immorale (dans les années 1970). Un arrêt de la Cour de Cassation de 1976 a décidé que le fait de vivre en concubinage ne caractérisait pas pour un parent une éducation immorale donnée à ses enfants. La définition légale du concubinage a été donnée dans une loi sur le PACS de 1999, mais il

brutale, injurieuse) ou de ses motifs (origine sociale, opposition familiale…). Sa preuve peut s’avérer complexe, et c’est au fiancé délaissé de la rapporter. ✔ Ccass, 4 janvier 1995: le fardeau de la preuve pèse sur le fiancé délaissé. La Cour casse un arrêt de la CA qui avait déduit la rupture de la simple absence de dialogue préalable. L’arrêt met donc fin à une certaine jurisprudence qui semblait avoir remis en cause le principe selon lequel c’est au demandeur d’apporter la preuve de ce qu’il invoque

encore terminés dans leur exécution. Décision de jurisprudence sur l’application de la loi dans le temps (conflit de loi) et l'obligation d'édicter des mesures transitoires : arrêt rendu par le Conseil d'État le 13 Décembre 2006 : il s'agissait d'un décret ministérielle mais cela vaut pour la loi de la même façon. Cet arrêt énonce : « il incombe (il est de la responsabilité de) à l'autorité investit du pouvoir règlementaire agissant dans les limites de sa compétence d'édicter pour des motifs de sécurité

Influence du droit européen, la jurisprudence de la CEDH influence la jurisprudence française, le droit et les lois. Ex : Arrêt Masureck de 2000 : la CEDH énonce l’égalité des droits entre enfants naturel simple et enfants adultérin. Arrêt Prety de 2002 : la CEDH n’a pas condamné la Grande Bretagne dont la législation interdisait l’euthanasie active. Arrêt Godwin de 2002 : la loi ne peut interdire à un transsexuel de se marier en toute circonstance. La CEDH connaît un rapprochement

règles sont codifiées, toutes ne le sont pas. Le caractère écrit ou non écrit de la règle de Droit. En Droit français, l’immense majorité des règles de Droit sont écrites. La C° est écrite. Les lois sont écrites, les règlements, les décrets, les arrêtés, les circulaires sont écris. Les règlements et les directives européennes sont aussi écrits, les traités internationaux aussi. Cela dit, ce n’est pas un critère essentiel. Il y a donc des règles juridiques qui soient juridiques bien que non écrites

frappés d’une diminution de leurs droits successoraux, leur part était réduite de moitié à la part qu’ils auraient eu s’ils avaient été des enfants légitimes. La CEDH a été saisie d’une affaire contre le France et a rendu le 1 er février 2000 un arrêt dans lequel elle a condamné la France, considérant que le traitement fait aux enfants adultérins, constituée une discrimination injustifiée. Le législateur français est intervenu pour aligner sur le plan successoral la situation des enfants adultérins

particulier lorsque la donation a pour objectif de permettre la continuation des relation adulteres et cest avec un arret de lassemblee pleniere du 29 octobre 2004 que la cour de cassation a estimee que ce type de donation netait plus contraire a lordre public (assemblee pleniere de la cour de cassation = ca reuni les magistrats les plus grades de la cour de cassation, donc un arret de cette assemblee est tres important, cette assemblee est susceptible de se reunir dans deux cas : 1er cas : lorsque

assurée par l'autorité publique. A) La règle de droit est générale. Traditionnellement, la règle de droit s'adresse à tous les citoyens ou du moins à des catégories générales. Il y a certes des décisions juridiques individuelles (exemple : un arrêté de nomination) mais ces décisions juridiques individuelles ne sont que l'application de règles de droit et non pas des règles de droit en elles-même. Une règle de droit a donc bien une vocation générale et elle devrait même , en principe, être faite

établir un acte d'enfant sans vie. Peut-on autoriser toute fausse couche même très précoce ? Peut-on autoriser une femme qui veut faire une IVG à établir un acte d'enfant sans vie ? Est-il raisonnable de supprimer toute limite ? 2 décrets et 2 arrêtés du 20 août 2008 ont réintroduit une limite : un acte d'enfant sans vie peut être établi sauf en cas de fausse couche précoce (= 16 semaines de grossesse et IVG). La limite est plus « fiable » car posée par le législateur français, et non par l'O.M

exprimé dans le code civil ont une portée général et s’applique dans les systèmes autonomes, principes de non-rétroactivité du droit (art 2 du code civil) c’est le cas de la prohibition du déni de justice (art 4 du code civil), de la prohibition des arrêts de règlements ( art 5 du code civil), et de la nation d’ordre public défini à l’art 6 du même code, ces règles générales s’appliquent à toutes les branches du droit car le droit civil est un droit commun, droit privé et droit commun. II- La formation