Commentaire D Article Sur L Article 1er Du Code Civil

Master 1 – Droit privé fondamental Devoir n° 1 – « Régimes matrimoniaux » Commentez l’arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation du 28 octobre 2003, ci-dessous reproduit. Sur le moyen unique, pris en ses deux premières branches : Vu l'article 220, alinéa 1er, du Code civil ; Attendu que ce texte, qui fait peser sur les époux une obligation solidaire, a vocation à s'appliquer à toute dette, même non contractuelle, ayant pour objet l'entretien du ménage ou l'éducation des enfants ;

régime matrimonial ou la déclaration qu’il n’y a pas lieu à liquidation (Article 1091 du Code de procédure civile). 2. Le notaire désigné au titre des mesures provisoires dans les divorces contentieux : La désignation d’un notaire en qualité d’expert judiciaire peut être ordonnée par le juge aux affaires familiales lors de la tentative de conciliation (Articles 255 du Code civil et 1111, alinéa 2 du Code de procédure civil). A noter : Cette désignation est facultative. La mission confiée au notaire

dans un arrêt du 26 novembre 2002. En l’espèce, Mme X, la demandeuse a été embauchée par la Société Lederlé, le 6 janvier 1993, en tant que déléguée spécialiste exclusif. Ses fonctions sont exercées dans un secteur géographique défini par l’article 1er de l’avenant relatif aux visiteurs médicaux de la convention collective nationale de l’industrie pharmaceutique. Une lettre du 10 juillet 1997 licencie la demandeuse, aux motifs de fausses déclarations d’activité et de réunion d’information médicale

LES COMPETENCES DU PAYS DANS LE DOMAINE DU CODE CIVIL 27/10/13 19:46 Partager 0 Plus Blog suivant» Créer un blog Connexion LES COMPETENCES DU PAYS DANS LE DOMAINE DU CODE CIVIL Colloque droit de la famille organisé en 2006 par l'Association de Juristes en Polynésie française Association de juristes en Polynésie française Interventions en ligne - Colloque droit de la famille L'adaptation des textes aux spécificités de la Polynésie française par Jean Peres Les successions

:  Indispensable : -  Ouvrages à jour : -  A. BÉNABENT, Droit civil, Les obligations, Domat, Montchrestien, 13ème éd., 2012. B. FAGES, Droit des obligations, LGDJ, 4ème éd., 2013. J. FLOUR, J.-L. AUBERT et E. SAVAUX, Les obligations, Le rapport d'obligation, Sirey Université, 7ème éd., 2011. J. FRANÇOIS, Les obligations - Régime général, Economica, 2ème éd., 2011. P. MALAURIE, L. AYNÈS et P. STOFFEL-MUNCK, Droit civil, Les obligations, Defrénois, 5ème éd., 2011. P. MALINVAUD et D. FENOUILLET

TD les personnes et la famille Commentaire d'arrêt : Cass. civ. 1ère, 10 décembre 1985  I. ANALYSE A. LES FAITS 1. les faits matériels D.I : Bernard Y se marie avec Mme.Z D.I : Bernard Y est père de 3 enfants Y légitime avec Mme.Z D.I : Bernard Y divorce de Mme.Z D.I : Bernard Y et Brigitte X se marient D.I : Bernard Y est père de jumeaux légitime avec Mme.Y 20 août 1979 : Bernard Y adhère à une police de société d'assurance-groupe auprès d'Euravie 1er mars 1980 : décès de Bernard Y

procédures collectives. L’article 2287 du Code Civil dans sa rédaction nouvelle maintient et consacre ce principe. Mais quelle est son exacte mesure, sa signification précise ? Cela reste à déterminer en confrontant les principales innovations de l’ordonnance avec ce principe de primauté. Les modifications apportées par l’ordonnance touchant directement le droit des procédures collectives ne concernent que les sûretés réelles. 1 Parmi les premiers commentaires de cette réforme voir les dossiers

considérant de principe est celui qui dépasse le seul cadre du litige).  on y trouve l’application au cas d’espèce des principes préalablement posés. - le dispositif rédigé en article assez brefs précédés du verbe «décide» = solution finale donnée au litige (cette partie de l’arrêt ne présente pas beaucoup d’intérêt pour le commentaire) II – Elaborer une fiche de jurisprudence lire à plusieurs reprises la décision à commenter rappel rapide des faits notamment s’ils sont sans intérêt pour la compréhension

Commentaire de l’arrêt du 11 février 2010 rendu par la 1ère chambre civile de la Cour de cassation Il n’est pas toujours facile de concilier solidarité et justice, comme l’illustre parfaitement cet arrêt de la 1ère chambre civile de la Cour de cassation du 11 février 2010. Dans cet arrêt, par un acte sous seing privé du 12 novembre 2002, une banque consent un crédit à la consommation (crédit accordé par un établissement de crédit permettant de financer les biens d’équipement courants) à Mme

14avril 1996. II. Procédure : 1er instance : • Action : Au mois de juillet 1997 le père du défunt assigne Mme Y en nullité de mariage pour absence de consentement de Christophe X. Bernard X engage deux actions, la première est pénale, il porte plainte contre X pour faux, usage de faux et escroquerie. La 2e action est civile c’est la demande de nullité de mariage. • Demandeur : Bernard X et Défendeur : Cécile Y. • Fondement : Article 146 et 184 du code civil. Qui sanctionne par nullité absolue