Commentaire Matin Brun Incipit

tableau est distribué aux élèves. Ils le complèteront au fur et à mesure de leur lecture (voir annexe 1) 5 Annexe 1 - Grille de lecture …………………………………………………………………………………………… ……………………………… Séance 2 : L'ouverture du roman Support : Chapitre 1. Incipit (p. 1 à 2) jusqu'à "Peut-être eût-il crié plus fort." Durée : une heure Objectifs : L'étude de l'incipit permet de revoir les notions de texte narratif, de point de vue et d'étudier le facture spécifique de cette ouverture romanesque. Elle fournira

soulignée reste négative (la résignation). La première phrase, « Jean Dézert ne parle jamais de sa famille », donne l’impression d’un personnage sans passé et sans origines, sorti de nulle part. Or, un personnage sans passé manque de fondements (un incipit donne généralement l’histoire de la généalogie du héros). 2. Jean Dézert se caractérise par son absence d’ambition (l. 34), par sa résignation (l. 37) et par son indifférence (l. 13). L’univers dans lequel il évolue depuis son enfance se caractérise

I) > Fiches Méthode ............................................................................................................................................... 121 Histoire littéraire : Le réalisme Expliquer un texte descriptif Le commentaire de texte Sommaire séquence 2-FR20 83 © Cned – Académie en ligne Comment débutent les romans L e chapitre 1 va vous faire découvrir quelques débuts de roman, ce qui vous permettra de percevoir à la fois les contrastes d’un genre

des fables au XXème siècle par Anouilh et Queneau, commentaire de la fable « Le Chêne et le Roseau » de la Fontaine. SÉQUENCE N°3 «L’Ingénu de Voltaire ou comment faire la satire du fanatisme religieux et des abus de pouvoir. » Objet(s) d'étude : Argumenter : persuader, convaincre, délibérer Lectures analytiques : Œuvre intégrale : L’Ingénu de Voltaire. Textes expliqués en classe : 8 -Incipit, du début jusqu’à « et allait s’en retourner. »

texteLecture Extrait 2 : « Oluf, le fils brun …ne connaît pas la terreur » page 13-15* Analyser le portrait de Oluf.* Etudier le contraste dans la personnalité d’ Oluf.* dégager les procédés linguistique et sémantiques 21hLangueLa caractérisation : adjectifs, compléments de nom…* Etudier les moyens de la caractérisation.Les adjectifs, les relatives et les compléments de noms.31hP.OLire et décrire une image à thème fantastique : analyse et commentaire personnel de l’apprenant* initier l’apprenant

: En quoi le personnage de Claude incarne-t-il le drame de l’artiste raté ? Comment le milieu artistique est-il représenté ? En quoi la création artistique est-elle le thème de L’œuvre ? Évaluations: • Exposés • Entraînement à l’oral du bac • Commentaire composé Liste des exposés (par 2 ou 3) Les lieux dans le roman, en particulier les lieux habités par Lantier et Sandoz (Marine/Romain 23/03) Les femmes dans le roman (personnages, liens avec Claude, personnalités, oppositions) (Anaïs/Marie/Manon

acharnée, incessante. Sabot 10 était conseiller municipal. On croyait qu'il serait maire, ce qui constituerait certainement la défaite définitive de l'Église. Les élections allaient avoir lieu. Le camp religieux tremblait dans Martinville. Or, un matin, le curé partit pour Rouen, annonçant à sa servante qu'il allait à l'archevêché. Il revint deux jours plus tard. Il avait l'air joyeux, triomphant. Et tout le monde sut le lendemain que le chœur de l'église allait être refait à neuf. Une somme de six

J6 ; J7 ; J8 ; J9 ; J10 N1 : première nuit N1 ; N2 ; N3 ; … N8. J15 une Quinzaine se passe entre entre J 9 et J10 Première journée p. 9-11 Elle commence à « l’après-dînée » p. 11 e[1] ( = après midi) [P. 9 Adresse au lecteur : Faux incipit : Le lecteur n’aura pas les renseignements qui commencent tout roman ; le narrateur ne sera pas le garant – sens latin de Auctor– de la vérité de l’histoire qu’il rapporte. Ce garant est plutôt Jacques faisant son récit, c'est-à-dire un personnage

travers elles, ce dernier parle de lui. Jean-Pierre Richard qualifie l’ouvrage d’« autobiographie oblique ». 1. Une biographie recomposée (questions 1 et 2) Le narrateur est omniprésent dans ce double portrait, ponctuant celui-ci de remarques et de commentaires. On relèvera les nombreux modalisateurs qui jalonnent les deux premières phrases (« bien », « sans doute », « bien davantage », « profondément »). La formule « qui m’importe peu » (l. 2) révèle que l’écrivain ne cherche pas l’exactitude biographique

nuit de novembre, je pus enfin contempler le résultat de mes longs travaux. Avec une anxiété qui devint une agonie, je réunis les instruments de vie pour en communiquer une étincelle à la chose inanimée couchée à mes pieds. I1 était déjà une heure du matin. La pluie fouettait lugubrement sur les carreaux, et la bougie achevait de se consumer. Tout à coup, à la lueur de la flamme vacillante, je vis la créature ouvrir des yeux d'un jaune terne. Elle respira profondément et ses membres furent agités d'un