Commettre Ou Subir L Injustice

le malheur du justeLe Malheur du Juste : INTRO: accroche: Selon le mythe de gygès, exposé par Platon dans son oeuvre La République, “ceux qui pratiquent la justice agissent par impuissance d’agir par injustice”, c’est à dire que tous les hommes qui agissent dans le bien le font car ils n’ont pas encore eu la possibilité d’agir en mal. En effet, le mythe raconte l’histoire d’un berger, qui est traditionnellement la figure de la bonté, Gygès, un honnête homme, découvre un anneau qui permet de le rendre

réside dans le fait que Criton se trompe car ils pensent aux gens alors que Socrate se soucie des "meilleurs". 2ème Partie (page 208) : A) La double trahison selon Criton : - Il se trahit soi même car il c'est donné de lutter contre l' injustice mais Socrate semble accepter sa condamnation. L' apologie de Socrate => Dans ce texte on voit les accusations de Socrate et sa manière de se défendre lui même. Ces relations vont donner une source de déficience à l' égard de l' autre. D' une certaine

se doit de respecter les lois non par crainte d’être puni, par calcul, ce qui le laisserait libre de la transgresser dès lors qu’il le pourrait impunément  mais parce que c’est la loi. Mieux vaut subir une injustice (car je pourrais toujours réclamer qu’on me rende justice) que de commettre une injustice parce que c’est l’idée même de justice et de loi que je mets en cause. Constatons que de nos jours en particulier, nombreux sont ceux qui transgressent les lois lorsqu’ils le peuvent sans être punis

pas cette nécessité même de prendre les armes pour la justice qui doit combler le sage d’affliction, si, du moins il se souvient qu’il est Homme ? Car enfin il ne peut faire une guerre juste que pour punir l’injustice de ses adversaires, et cette injustice des Hommes, même sans le cortège de la guerre, voilà ce qu’un Homme ne peut pas ne pas déplorer. ». Par-là, Saint Augustin évoque le paradoxe de la « guerre juste », celui de prendre les armes et d’utiliser la violence pour rétablir la justice (et

mal, car nous faire du mal ce serait nous conduire à agir injustement. Pour Criton et pour l’opinion, faire du mal à quelqu’un ou se faire du mal à soi-même c’est nuire à sa réputation, à sa fortune ou à sa vie. Pour Socrate, faire du mal c’est commettre l’injustice, car c’est nuire à la santé de son âme[1]. Remarques 1 - La question que pose le Criton est celle du fondement de la morale. Le fondement moral de notre action ne peut être recherché que dans l’unité d’un principe nécessaire et

socratique, c’est de questionner en feignant l’ignorance. Platon traite les sophistes de cyniques et immorales, pour qu’il vaille mieux commettre l’injustice que la subir. Socrate adopte et défend par sa mort la position contraire. Commettre l’injustice dégrade l’homme. Donc l’injustice est toujours un mal non pas parce qu’elle est punie, mais parce que toute injustice suppose une dégradation de l’âme. Le plus grand mal n’est pas la mort. Jusque dans l’injustice subie, le bonheur du sage reste entier

face à la proposition d’évasion de Criton ; qui est de refuser de s’échapper car cela reviendrait à enfreindre la loi . Dans la mesure où cette acte serait considéré comme une injustice puisque selon lui « il ne faut en aucune façon commettre l’injustice » . Même si Criton considère son exécution comme une injustice , Socrate maintient alors : «  il ne faut en aucune façon répondre à l’injustice par l’injustice » . Ce fondement souligne alors que dans la collectivité l’injustice n’a en acune

commis n'était ni voulu ni espéré. On tire (ou on croit tirer) nécessairement un bien d'un mal subi ou commis, dès lors qu'il est consenti ou voulu en vue d'un bien souhaité. Mais comment tirer un bien d'un malheur qui nous arrive ou qu'on fait subir à autrui malgré soi ou, pire, d'un crime qu'on a commis par lâcheté ou par faiblesse, ou du fait de sa turpitude, même si on y a trouvé sur le moment du plaisir ? On peut toujours évoquer dans le cas de la souffrance physique subie, ou même infligée

résultat qu'apporte le sport ou lorsqu'on vainc une maladie. Platon classe la justice à travers ce bien ci. En fait, c'est ce qu'on est récolte qui caractérise la justice de ce bien. Platon, réfute la thèse de Thrasymaque, qui stipule que l'homme est injustice. Cependant, Platon expliquait que c'est à travers l'injustice que la justice c'est formée. Certaines personnes sont incapable de mal agir, d'être injuste alors c'est donc dans cette optique que la justice c'est formé. Tous les gens croient que l'injustice

mettent en place des lois, avec pour objectif , de protéger leurs propres intérêts. [338e] « la démocratie institue des lois démocratiques la tyrannie, des lois tyranniques …» . De plus pour Thrasymaque , l’homme critique l’injustice par crainte de la subir . Pour résumé , thrasymaque ne croit pas en la justice , en tant que vertu et valeur morale . La justice est donc seulement un appareil politique qui permet d’assouvir