Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées

collectif », comme on le retrouve dans les sports d’équipe, est un atout majeur à la construction du lien social ainsi qu’au développement de l’identité de chacun. Cependant, certaines personnes restent ou sont laissées à l’écart, à cause de leurs différences. C’est notamment le cas des personnes handicapées mentale. L’Etat français a mis en place toute une législation pour limiter cette discrimination, particulièrement à travers l’article 140 de la loi d’orientation relative à la lutte

numéro. Définition du handicap : Définition donnée par la loi française du 11 février 2005 portant sur l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées : « Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles,

Intro : Aujourd’hui en France, 10 millions de personnes rencontrent des problèmes d’audition. La surdité (= Diminution très importante ou inexistence totale de l'audition, qu'elles soient congénitales ou acquises.) touche d’avantage les hommes et les personnes âgé. Elle engendre un handicap quotidien pour ces individus. C’est pourquoi, nous nous sommes posé la question : comment vivent les mal entendant en France ? dans un premier temps nous vous exposerons les difficultés de leur vie quotidienne

(médicales et paramédicales). Une classe, un espace psychomotricité et sportif ont également été créés. Les valeurs de l’Etablissement reposent sur l’égalité des enfants, à savoir : « l’enfant en situation de handicap est une personne dotée d’affectivité, de conscience, de désirs et de besoins ». « L’éducation des enfants accueillis dans l’établissement ne doit pas reléguer en second plan leur besoin d’expérimenter leur vie d’enfant ». « Tout enfant a une histoire qui le lie à

enseignants référents :----------------------------------------------------------------------------- Les écoles : ------------------------------------------------------------------------------------------------ La Maison Départementale des Personnes Handicapées :------------------------------------ Les établissements médico-sociaux :---------------------------------------------------------------- L'équipe municipale :-------------------------------------------------------------------------------------

de réfugié. M. Aldana Barrena s’est ensuite tourné vers la commission des recours des réfugiés. Or, par une décision en date du 19 février 1980, cette dernière a rejeté le pourvoi dirigé contre la décision du directeur de l’O.F.P.R.A. Le requérant a donc décidé de saisir le Conseil d’Etat d’une demande d’annulation de la décision de la commission des recours du 19 février 1980, ainsi que d’une demande de renvoi devant ladite commission pour que son dossier soit réexaminer en vue d’obtenir la qualité

crpchantoiseau@fondationseltzer.fr site : www.fondationseltzer.fr Réalisation Juillet 2010 La formation Comment y accéder ? Public : Travailleurs handicapés ayant une décision d’orientation professionnelle obtenue auprès de la CDAPH (Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées) du département de leur lieu de domiciliation. Pré-requis : Niveau classe de 2de, 1ère ou terminale. Niveau d'anglais minimum B1 (4 années d'étude) Comment va-t-elle se dérouler ? Durée : C'est une formation de 1 645

représentant légal. Personne handicapée : > Civilité : M, Mme, Mlle : cocher la case correspondante. > Nom de naissance : nom de naissance de la personne handicapée. > Nom d’usage : à renseigner si différent du nom de naissance (nom marital). > Prénom : prénom courant de la personne handicapée. > Date de naissance : date de naissance de la personne handicapée, exprimée sous forme JJ/MM/AAAA. Exemple : 07/03/1965 pour le 7 mars 1965. > Département de naissance si la personne handicapée est née en France

du droit à la compensation des conséquences du handicap. Pour la première fois, elle définit le handicap: « Constitue un handicap, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive, d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. Elle pose le principe du droit à la

assez méconnue malgré un effectif en constante progression. Entre 1994 et 2004, le nombre de bénéficiaires s'est accrû de 28 %, en raison des nouvelles entrées dans le dispositif mais aussi de la faiblesse des sorties. Au 31 décembre 2006, 745 000 personnes bénéficiaient de ce minimum social. Leur répartition sur le territoire métropolitain présente de fortes disparités, la Lozère affichant le taux maximum d'allocataires percevant la prestation (20 %). En majorité isolés, les bénéficiaires de l'AAH