Communication Et Refus De Soin

de personnes de +60 ans à domicile. Lors d'une en prise en charge, d'une dame de 80 ans atteinte de la maladie ALZHEIMER depuis plusieurs années. Où la SSIAD intervint pour une aide a la toilette et a l'habillage. J'ai rencontré une situation de soin perturbante et déstabilisante. En effet, avant d'entrée au domicile de Madame C l'aide-soignante me dit: " Je te préviens, Madame C est très difficile, elle est atteinte de la maladie ALZHEIMER et n'aime pas les nouveaux visages." J'entre

réaliser le soin elle-même en respectant les règles d’hygiènes et d’asepsies.Dans les antécédents familiaux, on note que Mme CB a perdu son père d’un cancer du côlon et que sa mère a présenté un cancer du sein et a succombé à un cancer du péritoine.Le premier soir de stage, je me présente à elle et lui serres la main. MC a pris l’habitude de contrôler la tension à tous ses patients chaque lundi et me demande donc de prendre la tension à Mme CB, que je reporte sur le diagramme de soin. Je reste ensuite

La situation choisie se déroule lors de ma première semaine de stage au sein d'un grand hôpital de Paris. Madame D, vient de refuser de prendre son traitement médicamenteux du matin. Par conséquent, une autre infirmière que j'accompagne doit essayer le lui faire prendre. Madame D est âgée de 77 ans. Elle a été victime d'un accident ischémique cérébral de l'artère cérébrale moyenne gauche (artère sylvienne). Elle présente une hémiplégie droite, une aphasie et une hémianopsie latérale homonyme droite

attitude aurais-je adoptée vis-à-vis de l’enfant ? Autoritaire et directive en imposant le soin à l’enfant ou au contraire beaucoup plus calme dans le but de nouer avec lui une relation de coopération et d’acceptation ? Fallait-il à l’enfant plus de temps pour comprendre, intégrer et accepter le soin ? Mais l’infirmière dispose-t-elle de ce temps nécessaire à la mise en place d’une réelle communication ? La réalisation d’une prise de sang est plus simple quand il s’agit d’un adulte. Malgré sans

entrée dans la chambre d’une dame de 80 ans, après avoir toquée et demandée l’autorisation de rentrée. C’est une dame qui a des problèmes psychiatriques caractérisés par des délires de persécutions. Lors ce que j’ai voulu débuté le soin, j’ai été confronté à un refus, la résidente ne m’a pas permis de changer sa protection, ni de la mettre en pyjama. Elle m’a dit après une légère négociation : « les autres vont se moquer de moi. Si vous mettez le vôtre de pyjama, je mettrais le miens. » J’avais

3. Odeurs et société 53.1.4. Odeurs et émotions 5 3.2. Les odeurs dans les soins infirmiers3.2.1 Cadre législatif 73.2.2 Stratégies d’adaptation des soignants 73.2.3 Les odeurs : Un frein dans le « prendre-soin »  83.2.4 Les odeurs : Un outil infirmier 94. Conclusion 11 Bibliographie INTRODUCTION Je me doutais, lorsque j’ai commencé mes études d’infirmière, que mes sens allaient être confrontés à des situations difficiles. Je m’attendais

ILLAN Cindy Elève Aide soignante. Groupe B Le 14 Avril 2013 promotion 2013 Stage du 29/01/2013 au 18/02/2013 IFAS KLEBER 30 000 NIMES MODULE 5 : RELATION-COMMUNICATION «  LA CHOSE LA PLUS IMPORTANTE EN COMMUNICATION, C'EST D'ENTENDRE CE QUI N'EST PAS DIT » ( D'après Peter Drucker ) REMERCIEMENTS A l'équipe pédagogique pour m'avoir guidée jusqu'ici

Analyse de pratique n°2 Lieu : Service de chirurgie général Dans la soirée, pendant les transmissions l’équipe du jour avait signalé le comportement pénible de l’amie d’un patient, Mr S. Vers 21h, l’infirmier me demande de l’accompagner à faire un soin afin de me montrer comment on installe un système murale d’aspiration à double voie. Nous nous rendons dans la chambre double de Mr S, âgé de 37 ans, qui est hospitalisé pour reprise d’appendicite dû à une infection. Suite à la deuxième intervention

ma formation d’aide soignante et à l’occasion du module 5 (module de communication), je suis amenée à vous présenter une situation de communication qui m’à mise en difficulté dans l’exercice de mes fonctions. Lors de mon 4ème stage qui se déroulait en SSIAD, accompagnée d’une aide soignante nous avions la prise en charge d’une patiente pour des soins d’hygiène et une prise de tension. J’ ai été confronté à un refus de soin et à une impossibilité à communiquer du fait de l’état d’agitation de

qualité des soins et par la suite de reconnaissance professionnelle. Ainsi, le soin relationnel se juxtapose aux soins techniques et cette juxtaposition a pour effet qu’il devient nécessaire d’avoir un temps pour ce soin là, un temps que les infirmiers ont un beau jeu de réclamer et de se lamenter de ne pas avoir en suffisance, parce que le soin relationnel ne trouve pas de point d’insertion dans le plan de soin de l’infirmier. [pic] A travers les divers stages qu’on a effectué au niveau