Communication Et Refus De Soin

de manière optimale, il faut que l’infirmier puisse allier soins techniques de qualité et soins relationnels appropriés. L’acquisition de ces soins est prépondérante à la profession infirmière. La communication est essentielle dans la relation à l’autre à tout moment et en tout lieu. Une communication efficace est une écoute active dans le respect des règles de déontologie et d’éthique. Voilà la nature des soins infirmiers : la relation d’un soignant et d'une personne. Tout naît de cette rencontre

agressif lorsqu’il est contrarié (pour certain soin, car pour lui il n’a pas de raison d’être hospitalisé, et agressif surtout lorsqu’on lui parle de la maison de retraite). Le patient Mr B doit avoir une intramusculaire, le risperdalconsta qui est un neuroleptique à action prolongé (le Risperdalconsta LP 50mg/2ml, une ampoule tout les 14 jours). Il s’agit de sa première injection. Au départ, ce soin ne m’était pas destiné, les infirmières

INTRODUCTION Dans le cadre du Module 5 « Relation-Communication » de la formation d’aide-soignante, je vais vous proposer une situation qui m’a interpellé lors de mon premier stage, dans un service de soins de suite et de réadaptation. La personne soignée avec laquelle j’ai partagé ce moment est un homme de 76 ans, vivant en EHPAD depuis le décès de sa femme. Il est de forte corpulence, les cheveux blancs. Arrivé dans le service depuis une semaine, il refuse de prendre ses repas en salle à manger et dit

octobre au 14 décembreLa négociation dans le refus de soinLe 05/04/19ADDARKAOUI LinaPromotion 2017/2020Mme Davoine 1. Contexte et description de la situationLa situation s’est déroulée dans une Maison d’accueil spécialisée (MAS) pour mon stage du semestre 3. Nous étions un mardi, il était midi, l’heure d’administration des traitements pour chaque résident. A ce moment là, une résidente était de mauvaise humeur, elle a refusé le soin. Il lui a été demandé pour quelle raison elle

propre. J'installe alors Mme B devant la table et bloque son fauteuil à l'aide des freins, pour m'assurer de sa sécurité. Je m'assois sur la chaise, située sur le coté de la table, afin d'être à l'aise pour effectuer mon soin, me mettre à son niveau et faciliter la communication. Je place sa serviette sur elle, et lui présente ce qu'il y a au menu ce soir : soupe de légumes, chili con carne, fromage aux herbes et pommes au four. Mme B mange à l'aide d'une grande cuillère les plats et d'une petite

distribution des médicaments en début du repas. La patiente refuse son traitement habituel. Personnes présentes pendant la situation : l’infirmière et l’élève infirmière. Description de la situation : Pendant la distribution des médicaments à chaque résident, j’arrive vers Mme D, afin de lui donner son traitement habituel (en ayant pris soin de vérifier le dossier de la résidente avant et de consulter la prescription médicale) ; la patiente refuse tout son traitement du soir. Elle m’explique qu’elle ne

savoir le refus de soins d’hygiène de la personne âgée. J’ai pu effectivement observer les difficultés rencontrées par les soignants dans l’optimisation des soins lors de la prise en charge de patients les refusant. C’est pour cela que j’ai choisit d’élaborer mon travail sur ce thème afin de mieux comprendre ces situations et d’en analyser les causes pour améliorer la prise en charge dans ma future profession. Je tiens à souligner que les soignants sont confrontés à toutes sortes de refus (refus de s’alimenter

* Compétence 2 – UE 3.2S3 E.Reygnier Projet de soin * Plan d’action élaboré par l’équipe soignante avec la collaboration du patient et/ou de sa famille Il permet de poser des actions choisies à partir des problèmes repérés lors du raisonnement clinique. Il donne du sens et de la dynamique à la prise en charge du patient, qui devient, dans la mesure de ses possibilités, un acteur dans le projet * * Notion de confiance « implicite » * Le corps soumis aux experts * * Charte de la personne hospitalisée

l’existence " (4). La vie dure jusqu’à la mort. L’agonisant reste un vivant à part entière, si âgé fut-il, si dément fut-il. Cela reste vrai même quand les voies habituelles de la communication manquent : le regard, la présence muette, le contact physique, la pression d’une main peuvent répondre à l’impérieux besoin de la communication du mourant quand les mots sont impossibles. Des gestes simples, des comportements mieux adaptés peuvent de beaucoup redonner à la personne âgée qui souffre d’une

déglutir et qu’elle est totalement dépendante. Je m’assieds à coté de la résidente, la salue,| |me présente, lui énonce son repas, et commence à l’alimenter. Elle ne me répond pas, j’essais de lui parler pour établir un lien de | |communication, si elle ne me parle pas, elle peut m’entendre me suis-je dis, j’essais de l’interpeller sur le beau temps que nous avons pour un | |mois d’octobre, l’informe de la date du jour, que nous approchons de la toussaint, je lui demande si son repas