Comparaison Entre Kant Et Aristote

conscience du problème posé. Il faut donc comprendre le problème qui se cache derrière la question. Mais qu’entend-on par problème en philosophie ? Un problème est une recherche sur une question qui, en l’absence d’arguments décisifs, suscite un débat (Aristote, Topiques I, 11). Autrement dit, c’est une question qui n’a pas de réponse évidente ou définitive (lorsqu’on l’examine, car parfois on croit avoir d’emblée la réponse), qui peut donc avoir plusieurs réponses pertinentes, voire aucune définitive,

d’autant plus pertinente qu’elle va moins de soi. Elle se divise en une multitude d’interrogations selon les savoirs que l’on considère et les formes historiques qu’ils revêtent. Mais aussi selon que l’on entend « rhétorique » au sens que lui donnait Aristote, ou bien au sens de la stylistique selon Jean Cohen, Gérard Genette, Roland Barthes et le groupe MU, ou encore à celui des théories de l’argumentation selon Perelman7. Selon enfin la finalité que l’on considère : s’agit-il de pouvoir ou non se passer

que la démocratie condamne. Ainsi sentons-nous que chercher la justification de la philosophie dans les réussites pratiques qui pourraient être les siennes nous met en danger de nous voir opposer ses échecs4. Est-ce un modèle d'utilité pratique 1. Kant, Idée d'une histoire universelle du point de vue cosmopolitique, prop. II. 0. Platon, Théétète, 174 a. 1. Épicure, Lettre à Ménécée, § 124 par exemple. 2. Nous pensons ici à la polémique sur les rapports qu'entretiennent la philosophie de Heidegger

s'impose à lui-même et qui a pour but le bien.  Le droit, doit être pris ici dans son sens objectif, comme l'ensemble des règles qui régissent la société.  Introduction  I. Les divergences entre le droit et la morale  A. Des domaines différents  B. Des sanctions différentes  II. Les convergences entre le droit et la morale  A. La morale, moteur du droit  B. Le droit, facteur d'évolution de la morale  Conclusion Leçon 1 : Droit et morale Pour une première approche : F. TERRÉ, Introduction

discipline nommée aujourd'hui la « stylistique ». L'art de persuader a progressivement cédé la place à un art de bien dire, qui restreint la rhétorique à un inventaire de figures relevant des ornements du discours. D'après l'opposition traditionnelle entre la philosophie et la sophistique, la rhétorique se distingue de l'argumentation et de la dialectique par l'usage des effets pathétiques ou éthiques du discours sur le public3, qui s'ajoutent à la dimension purement logique du discours. Cette séparation

_______________ Introduction générale : (+poly) « L’homme est un animal politique ». Aristote ( L’homme est un animal sociable, il a besoin de vivre en société pour être pleinement homme, ce n’est pas un besoin vital. Toutes les facultés innées de l’homme ont un besoin d’un apprentissage (socialisation). Un être qui n’a pas besoin de la société c’est soit Dieu soit les animaux. Or l’homme se trouve entre les deux. ( On a donc besoin d’autrui I – Par quels moyens peut-on connaître autrui 

espèce d’avatar (tardif) du stoicisme en général. Cette pensée est en réalité née 3 siécles avant Sénèque. Grèce-Athènes : le stoicisme va voir le jour au moment même où va s’achever la grande période classique grecque (Calliclès, Socrate, Platon, Aristote). 322 avant JC : mort d’Aristote (précepteur d’Alexandre) 323 avant JC : mort d’Alexandre. Ces deux dates marquent la fin de la grande époque grecque. Ce qui commence c’est la « période hellénistique ». Pendant les 3 siècles qui vont suivre, elle

étude plus approfondie (indispensable pour ceux qui n’auraient pas suivi le cours), H-L. A. HART, Le Concept de droit, traduit de l’anglais par M. Van de KERCHOVE, Bruxelles FUSL 1976. Droit = ensemble des règles obligatoires qui organisent la vie entre les hommes, susceptibles d’être imposées par la contrainte. Morale = principes de jugement et de conduite qui s’imposent à la conscience individuelle ou collective comme fondés sur les impératifs du bien; ensemble de règles, d’obligations, de valeurs

une tude plus approfondie (indispensable pour ceux qui nauraient pas suivi le cours), H-L. A. HART, Le Concept de droit, traduit de langlais par M. Van de KERCHOVE, Bruxelles FUSL 1976. Droit ensemble des rgles obligatoires qui organisent la vie entre les hommes, susceptibles dtre imposes par la contrainte. Morale principes de jugement et de conduite qui simposent la conscience individuelle ou collective comme fonds sur les impratifs du bien ensemble de rgles, dobligations, de valeurs. Pour

CULTURE NE SONT PAS DES CHOSES Ces 2 notions sont indissociables, elles se présentent d’emblée comme liées l’une et (à) l’autre. De fait, toute la difficulté de cette réflexion et de ces enjeux réside dans le « et », c’à d dans les relations entre la nature et la culture. Nous partirons de l’idée qu’il n’existe rien de tel que LA nature tout court ou que LA culture tout court (ces 2 termes n’obéissent pas à des déterminations fixes). En revanche, pour un certain nombre de phénomènes, on