Comparaison Fantine Et Cosette

Très engagé dans les combats sociaux de son temps, Hugo dresse dans la première partie de son roman Les Misérables, un tableau sombre des classes populaires. Fantine, puis Cosette sont ainsi l’objet d’une misère qui les détruit. Le chapitre de ce roman sur lequel notre étude portera, met ainsi en relief la maltraitance de Cosette par les Thénardier, et au-delà, de celle des enfants. Nous mettrons d’abord en évidence le récit par lequel Hugo nous présente ses personnages puis nous relèverons les caractéristiques

(page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne lecture ! RÉSUMÉ Première partie : ‘’Fantine’’ Livre premier : ‘’Un juste’’ Évêque de Digne depuis 1806, M. Myriel, qui avait eu une jeunesse agitée avant de devenir Monseigneur Bienvenu, et qui, jusque dans son âge viril, montra un caractère passionné, violent, reflète un grand esprit de

Hugo (1862). A travers les personnages (le forçat Jean Valjean, qui connaît la rédemption morale à force de générosité ; Cosette, petite fille malheureuse qui rencontre le bonheur après avoir été recueillie par Jean Valjean ; Gavroche) et les événements qui servent de toile de fond (Waterloo, l’émeute de 1832), Hugo a écrit une épopée populaire. Idées principales : → Fantine est dans la misère car elle ne trouve pas de travail à Paris à cause de sa situation de jeune fille-mère. → Elle doit

dix-huitième siècle. 1.2. Le deuxième document est un extrait du roman de Victor Hugo, Les Misérables, écrit en 1881. Ce document est de type narratif. Cet extrait de Victor Hugo, nous narre l’histoire du personnage de Fantine, qui est contraint de confier sa fille, Cosette, auprès de la famille Thénardier, car elle doit s’en aller dans un pays pour chercher de quoi survivre, mais elle ne peut pas y emmener sa fille. Le sujet sous-jacent, est l’abandon d’un enfant pour cause de misère. Cela rejoint

Les Misérables, Victor Hugo, paru en 1861 Tome II (Cosette), Livre III, chapitre 2: « Deux portraits complétés » De «  Nous croyons qu’il avait étudié en Hollande » à « Thénardier était un homme d’Etat. » PREMIER REGARD SUR LE TEXTE Texte descriptif: resserrement sur le portrait de M. Thénardier. 6 paragraphes: alternance entre grand paragraphe et petit. Le petit paragraphe apparaît comme la conclusion du grand qui précède et la transition à celui qui suit. Date: 18 juin 1815 Révélation

démocratique du roman Jean DELABROY – Cœcum – Préalables à la philosophie de l’histoire dans Les Misérables Claude HABIB – « Autant en emporte le ventre ! » Yves GOHIN – Une histoire qui date Josette ACHER – L’anankè des lois Nicole SAVY – Cosette : un personnage qui n’existe pas Jacques SEEBACHER – Le tombeau de Gavroche ou Magnitudo parvuli France VERNIER – Les Misérables : un texte intraitable Anne UBERSFELD – Les Misérables, théâtre – roman Guy ROSA – Réalisme et irréalisme des Misérables

voire infirmer un ou plusieurs composants de notre liste. – Les éléments à repérer sont les suivants, relevés ici de façon sommaire (c’est le brouillon). Fantine = fille-mère, donc Cosette = enfant illégitime. Pas d’abandon à la naissance : enfant déjà âgée de quelques années et très soignée (trousseau). Lieu : France, époque : 19e siècle. Fantine, par son statut, est privée de travail et victime d’ostracisme. Pour pouvoir trouver un emploi dans sa ville natale, elle décide de placer sa petite en nourrice

voire infirmer un ou plusieurs composants de notre liste. – Les éléments à repérer sont les suivants, relevés ici de façon sommaire (c’est le brouillon). Fantine = fille-mère, donc Cosette = enfant illégitime. Pas d’abandon à la naissance : enfant déjà âgée de quelques années et très soignée (trousseau). Lieu : France, époque : 19e siècle. Fantine, par son statut, est privée de travail et victime d’ostracisme. Pour pouvoir trouver un emploi dans sa ville natale, elle décide de placer sa petite en nourrice

»les mioches », « le moutard » ; les expressions « dans le tas », « tout cela », « ce tas d’enfants » donnent en outre l’impression d’une masse indifférenciée, « leurs produits » et « toute la lignée » désacralisent le lien maternel. Enfin, les comparaisons avec une forme de gavage ne sont pas valorisantes : « pour donner la pâtée, comme des gardeurs d’oie assemblent les bêtes » « la mère empâtait elle même le petit ». Les similitudes entre les deux familles tout comme les oppositions entre les hommes

temps de la trame narrative pour aller dans une tout autre direction. Michel Butor donne l’exemple du moment où Jean Valjean se réfugie avec Cosette au couvent du Petit-Picpus. À ce moment dans le roman, on trouve une accumulation d’« arrêts », ou, pour reprendre les mots de Michel Butor, « tout un échafaudage de parenthèses 8 ». Dans le livre VI de « Cosette », il y a d’abord le chapitre « petite rue Picpus, numéro 62 », qui nous fournit d’une description détaillée du couvent tel qu’il était au début