Comparaison Medee

effectuer par deux sur feuille séparée. Vos idées sur les mythes Pour vous, qu’est-ce qu’un mythe ? A votre avis, existe-t-il des mythes contemporains ? Pourquoi ? Qu’apportent les mythes ? En quoi est-ce qu’ils sont utiles à l’humanité ? Comparaison de 3 mythes La Genèse Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière

chemin, laissez-vous emporter par le tourbillon des turpitudes affectives mis en scène par les héros tragiques puis analysé par les philosophes de l’Antiquité. Partez sur les traces de la colère d’Achille, de la douleur d’Antigone, du désespoir de Médée, de l’espérance d’Ulysse. Plongez dans ce fouillis grandiose et redoutable des passions, apprenez à les utiliser et faites-en votre force. barbary-courte.com | Photo : iStockPhoto.com Inspirez-vous ensuite des sages et des philosophes : Démocrite

Cours 6 : Le nœud tragique, ou les passions sous tension. Etude suivie de l'acte III. I. Un acte sous le signe de la manipulation politique et amoureuse (scène 1) 1. Espoir et désespoir d'une reine · Phèdre prend conscience de la non-réciprocité de sa passion pour Hippolyte. Au début de la scène 1, elle interprète les réactions d'Hippolyte : « Ciel ! comme il m'écoutait ! Par combien de détours / L'insensible a longtemps éludé mes discours

seconde. ➤ Dossiers Histoire des arts : – Le portrait en peinture du XVe siècle à nos jours – Les scènes de repas en peinture de l’Antiquité au XXe siècle ➤ Lectures d’images : – Figures de Don Quichotte par Gustave Doré et Octave Uzanne – Comparaison de deux portraits de la duchesse D’Albe par Francisco Goya – Théodore Géricault, La Folle monomane du jeu et Odilon Redon, Le Fou ou la Folie L’espace romanesque étudié est élargi à d’autres périodes, d’autres cultures et il est confronté

quelque chose de comique car elle est déjà reine et est donc déjà censé être fortuné. Tous au long du texte le champ lexical de la luxure est mentionné donnant un aspect très aisé et merveilleux au conte. « Velours, baldaquin de brocart » l.12 p4, comparaison des enfants avec les termes « merveilles, bijoux, dorés ». La fin du conte fait penser à une pièce comique : on remercie le cuisinier de ne pas avoir fait cuire les enfants.Ensuite, le conte Soleil, Lune et Thalie peut s’inscrire comme tout apologue

comme Ulysse…. »->ce poème du mal du pays a rendu du Bellay immortel. Cependant, rien n’est conforme à réalité litté ou biographique. Ulysse campé ici est le héros fatigué, heureux de rentrer chez lui. Jason= pr oublier effroyable retour et rupture ac Médée. Ce misérabilisme est porté à une température héroïque lorsque contre toute attente il ose préférer la fragilité à la durabilité (le marbre dur), l’obscurité (le petit Liré) à la célébrité (le mont Palatin), la douce torpeur de l’Anjou à l’esprit de

travers l’écrit Problématique : Comment l’écrit peut-il rivaliser avec l’image dans ce domaine ? Groupement de textes tirés de la littérature antique : • Virgile, Enéide, II, vers 199 – 227 : La mort de Laocoon et de ses fils. (Epopée) • Euripide, Médée, vers 1137-1203 : Le récit de la mort de Créüse (Théâtre) Atelier d’écriture : écrire un texte exprimant la douleur et la terreur / raconter ce qui se passe dans la scène choisie par Poussin etc. Piste n° 2 : Exprimer et communiquer l’horreur /

(du grec kômos) est née en Grèce Antique vers le VIe siècle avant J-C et a longtemps désigné toute pièce de théâtre aussi bien tragique qu’amusante. C’est ce sens que l’on retrouve dans le mot «comédien». Avant Molière, elle est dévalorisée en comparaison de la tragédie et est considéré comme un genre mineur. La comédie dans le théâtre a pour but de provoquer le rire par divers moyens comiques, comme le traitement de l'intrigue, la peinture satirique des mœurs, la représentation de travers et de

sentence qui disculpe Hippolyte, et fait écho à son « innocence » énoncée un vers plus tôt. Cet aveu lave Hippolyte de tout soupçon et réhabilite sa mémoire. C’est un plaidoyer : Phèdre s’attache à célébrer les qualités d’Hippolyte rehaussées par la comparaison avec son vice à elle : il était « un fils chaste et respectueux », deux qualités qui s’opposent à la manière dont est caractérisé l’œil que sa marâtre ose jeter sur lui « profane, incestueux » (chiasme des adjectifs). La chasteté du jeune homme

réflexions et interprétations scéniques Textes étudiés en lecture analytique : 1/ Acte I, scène 1 2/ Acte I, scène 3 4/ Acte II, scène 5 5/ Acte IV, scène 6 6/ Acte V, scène 6 Textes et documents complémentaires : 1/ Corneille, Médée, (1635), V, 6, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p. 204. 2/ Corneille, Le Cid (1637), II, 8 et III, 4, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.206-208. 3/ Molière, Dom juan (1665), V, 5 et 6, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.205. 4/