Comparatif Banque Marocaine

budgétaire et comptable », à la Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc, le 20 juin 2012. Ce «Rendez-vous CFCIM», constitue un forum attendu des adhérents de la Chambre française de Commerce et d’Industrie au Maroc et de la presse marocaine qui sont invités à assister aux interventions des grands décideurs des secteurs public et privé, sur des questions d’actualité. Lors de ce rendez-vous, M. le Trésorier Général du Royaume a présenté des caractéristiques des finances publiques en relation

rapport aux ambitions du pays, l’étroitesse du marché intérieur, l’importance du déficit budgétaire structurel, la persistance de rigidités sur le marché du travail, la qualification insuffisante de la main-d’œuvre, la taille limitée du marché boursier marocain et la fragilité de certains établissements financiers dont la restructuration est en cours. De plus, les marchés financiers n’apportent pas suffisamment de soutien à l’investissement productif à risque et le fonctionnement du système bancaire n’est

Collection Hypercours, 506 pages. 5- Michel RAINELLI, 1987, La nouvelle théorie du commerce international. Edition La découverte, pages. 6- Joseph STIGLITZ, 2002, La grande désillusion, Editions Fayard, 324 pages. Stiglitz, économiste en chef à la Banque mondiale de 1997 à 2000, soutient que les politiques préconisées par le FMI depuis les années 90 ont souvent aggravé les problèmes dont il avait à s'occuper, entraînant des conséquences sociales dévastatrices et un accroissement de la pauvreté (en

cadre de l’OMC (en 4 modes) : -Prestation de services à distance (réduction du déterminant géographique) -Déplacement du consommateur sur lieu de production (Tourisme) -IDE des prestataires de services dans les lieux de consommation (Hôtels, banques, assurances, …) -Déplacement de la main-d’œuvre sur les lieux d’établissement des services (consulting, ingénierie) S4 / Politiques économiques / Prof. : Omar BELKHEIRI - omar.belkheiri@gmail.com / FPL 2012 5 25/05/2012 Politique commerciale

critiques………………………………………………………………………………………………....9 Partie II : L’analyse économique de la balance des paiements marocaine………………………….12 Chapitre I : Les facteurs économiques qui influencent le solde de la balance des paiements13 Section 1: les différents soldes de la balance des paiements …………………………………………..13 Section 2 : points forts et faibles du Maroc ………………………………………………………………….13 Chapitre II : L’évolution de la balance des paiements marocaine à travers les dix dernières années ………………………………………………………………………………………………………………………

trop grande dépendance en faveur des tour-opérateurs. Le déséquilibre se fait le plus ressentir au chapitre des contrats de « sur-allotement », et cela en défaveur des hôteliers locaux (Smaoui, 1991 : 125-130). Mimoun Hillali (2003 : 43), géographe marocain, montre que le déséquilibre entre les touropérateurs et les destinations est perceptible à travers une inadéquation de l'offre (inélastique) des pays du Sud et une demande (variable), ce qui « tend à faire des destinations du tiers-monde des otages

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injuste et discriminatoire, mais elle trouve toute sa légitimité dans la crise financière qui secoue le monde actuellement. Plusieurs banques internationales ont succombé à ce cataclysme (nous pouvons en citer LEHMAN BROTHERS aux Etats Unis) ce qui a remis sur la scène la problématique des risques bancaires. Plusieurs types de risque peuvent affecter la survie d’une banque, parmi ces risques on peut citer notamment le risque de marché, d’option, de crédit, opérationnel, etc. Mais le risque crédit reste

rapport aux ambitions du pays, l’étroitesse du marché intérieur, l’importance du déficit budgétaire structurel, la persistance de rigidités sur le marché du travail, la qualification insuffisante de la main-d’œuvre, la taille limitée du marché boursier marocain et la fragilité de certains établissements financiers dont la restructuration est en cours. De plus, les marchés financiers n’apportent pas suffisamment de soutien à l’investissement productif à risque et le fonctionnement du système bancaire n’est

Effort X TP U.E. 12 656 1 202,8 1 279 ,5 …… …… …… …… dont France 2 003 419,8 429,4 …… …… …… …… États-Unis 11 668 819,0 1 526,4 …… …… …… …… Japon 4 623 565,5 454,5 …… …… …… …… Chine 1 649 593,4 561,4 …… …… …… …… Source : Bulletin de la Banque de France, n°138, Juin 2005 Informations Complémentaires : TC : Taux de couverture ; DO : degré d’ouverture (sur l’extérieur) d’une économie ; Effort X : Effort à l’exportation ; TP : Taux de pénétration du marché intérieur ; NB : Prendre