Comparer Platon Et Aristote

Gouvard Plan du cours 1. La rhétorique sophistique de Gorgias 1.1. La vérité en rhétorique / Le pacte oratoire 1.2. Le kairos 1.3. Les figures selon Gorgias : isolie, parisosis, homéotéleute, antithèse 1.4. Critique de la rhétorique sophistique par Platon 2. La Rhétorique d'Aristote 2.1. Vie d'Aristote 2.2. La Rhétorique 3. La rhétorique classique : l'exemple de Cicéron 3.1. Définition de la rhétorique 3.2. Les trois genres de discours 3.3. Les divisions de la technique oratoire 3.4. L'invention 3

idées/pour évoluer - Pour éviter une pensée uniforme - Pour aborder les choses sous différent angles/savoir les définir - Pour se construire/faire évoluer les idées/apprendre à penser par soi-même - Pour grandir/devenir plus mature/sage - Pour comparer différentes théories (économiques, politiques, scientifiques, …) - Pour savoir hiérarchiser les problématiques de l’existence - Pour repenser notre contact/rapport à l’environnement Qu’est-ce qu’un monde ? Questions

en vue d’une certaine fin, d’une certaine utilité (une chaise pour s’asseoir, un stylo pour écrire, une horloge pour donner l’heure, etc..). Les beaux-arts ont pour fin la production du beau, l’artisanat vise l’utilité pratique. Bien avant Kant, Aristote déjà insistait dans le livre VIII des Politiques sur l’idée que l’art, et notamment la musique, n’était ni nécessaire, ni utile, ni rentable. Pour autant, il avait selon lui un double intérêt, une double valeur : d’une part l’art procure de l’agrément

relations entre les hommes et pas les questions religieuses. Il n’est pas question non plus de l’origine de la loi, une loi qui semble avant tout relever du consensus entre les individus qui forment le corps social. Aristote è distinction entre les lois positives et la loi morale. Aristote a opposé ce qu’il appelle les lois communes aux lois particulières, par loi particulière il vise la loi écrite qui régit chaque cité, et de l’autre côté les lois communes, reconnues par le consentement universelle

https://www.cairn.info/revue-de-science-criminelle-et-de-droit-penal-compare-2015-2-page-257.htm· Nécessité de punir fondé sur le contrat social e lien entre nécessité et droit de punir résulte du « contrat social » conceptualisé par Rousseau selon lequel le droit de punir est fondé sur le « don » d'une portion de sa liberté individuelle par chaque citoyen au souverain afin de garantir la sécurité collective des biens et des personnes et ainsi de satisfaire le bien commun. C'est donc l'ensemble de

René Descartes au XVIIème siècle dans ses Méditations Métaphysiques à l’époque de l’apparition des sciences expérimentales, tout comme Platon au IVème siècle avant J-C, présente la démarche philosophique comme une recherche de vérité absolue. En effet, Platon développe d’une manière générale dans La République une philosophie de l’être et une philosophie de la philosophie. Dans l’allégorie de la caverne (une allégorie étant un discours symbolique), il met en scène des prisonniers enchaînés au fond

prêt à tuer » = je suis en manque. Depuis quelques siècles, il y a une nouvelle tendance qui dit que ce n'est pas vrai. Ils disaient le contraire. C'est la doctrine du désir créateur, le désir est une volonté de création. ♦ L'école du manque avec Platon (on cherche sa moitié qui nous complèterait, car Dieu aurait coupé les androgynes). Celui qui a soif, à la désir d'eau. Le besoin est la source matérielle du désir. Le désir est le reflet avec complication culturelle et rationnelle en même temps.

éducation ( de 15 à 20 ans). 1.2 Le communisme de Platon (427-348) - Les deux réalités et la quête du salut des âmes. Il y à deux niveaux de réalités: Réalité immatérielle et réalité matérielle. Platon considère que l'homme est à l'interface des deux mondes. Platon veut assurer le Salut des âmes. Il faut organiser la société de façon à permettre le salut des âmes ( La réincarnation). L'organisation relève du communisme car la justice selon platon est réalisée quand chaques citoyens occupent une position

Péloponnèse, mais les attaques contre les défauts et les dangers d’un régime démocratique sont longuement développées par Xénophon et Platon. Ces deux auteurs jugent peu prudent de laisser le peuple gouverner, en raison principalement de son ignorance de la chose politique. Xénophon, dans la République des Lacédémoniens incline à l’aristocratie, quand Platon, dans le Politique, souhaite un gouvernement idéal confié aux sages, la sophocratie. Toutefois, l’un comme l’autre condamnent fermement

toutes les autres sciences y seraient contenues, de même que quelques-uns trouvent qu’Homère et Virgile avaient une connaissance parfaite de la nature. Il faut respecter l’antiquité, dit-on ; quoi Aristote, Platon, Epicure, ces grands hommes se seraient trompés ? On ne considère pas d’Aristote, Platon, Epicure étaient des hommes comme nous, et de même espèce que nous : et de plus, qu’au temps où nous sommes, le monde est plus âgé de deux mille ans, qu’il a plus d’expérience, qu’il doit être plus