Comparer Platon Et Aristote

nous viennent les désirs et les envies qui faussent notre jugement. Comme nous le montre PLATON, nous nous laissons fasciner par tout ce qui brille, par les nouveautés, ce ne sont donc que des envies momentanées. L’apparence induit donc notre vision des choses en erreur. L’homme se laisse donc guider par ses sens et ses pensées, il agit au hasard et du coup risque de ne jamais trouver la vérité. DESCARTES compare l’être humain à un voyageur perdu dans une forêt qui va au hasard, risquant de s’enfoncer

n'est pas à la philosophie = la question est donc : pourquoi ne parvenons-nous pas à être heureux lorsque nous avons à peu près tout pour l’être ? Pour le comprendre il faut revenir à une certaine conception du désir énoncé dans « le banquet » de Platon, par la voix de Socrate : « ce qu'on n'a pas, ce qu’on est pas, ce dont on manque voilà les objets du désir et de l'amour ». Le désire est manque, souffrances et nous maintient toujours dans l'insatisfaction. Si être heureux c’est avoir ce qu'on

 » Malebranche, De la recherche de la vérité.               Débutons en exposant la conception métaphysique (dogmatique) de la vérité, dont il faut reconnaître qu’elle n’est pas étrangère à la diffusion de la confusion de la vérité et de la réalité. En effet, Platon pense la vérité comme indépendante de la pensée et du discours. Il y a selon lui une réalité vraie qui ne s’oppose pas tant à une « réalité fausse » qu’à une réalité dégradée et aux apparences qui la constituent. Le monde sensible, auquel nous sommes

le citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles, les idées politiques étant associées étroitement au monde juridique et donc institutionnel. Ces expériences institutionnelles préfigurent des modèles politiques. Les grecs sont des réalistes

=> émerveillement comme Paul Cézanne : Pomme et Biscuit , 1880 : « je voudrais étonner Paris avec une Pomme ». Mais on peut aussi s’émerveiller tous les soirs en regardant le coucher de soleil sans forcément se lasser. Pour Platon déjà, l’étonnement était à l’origine de la philosophie. C’est d’abord et par principe un étonnement face à notre propre ignorance. Premier film surréaliste  : Le chien AndalouNelson Goodman, critique d’art :On confond

(Spinoza)18 B. La connaissance (Aristote)18 1. Poiesis et praxis19 2. Le bonheur de l’homme est dans l’activité qui lui est propre19 3. Le rôle de la chance20 IV. Le bonheur est-il le but de la vie ?21 A. La question de droit21 1. Le bonheur doit être le but de la vie : l’eudémonisme antique21 2. Il ne faut pas chercher le bonheur mais obéir à Dieu (Christianisme)22 3. Il ne faut pas chercher le bonheur mais s’en rendre digne (Kant)22 4. Il faut être juste (Platon)23 5. Un exemple célèbre :

INTRODUCTION A LA REPUBLIQUE DE PLATON: La République de Platon est un livre extrêmement classique qui se situe au carrefour de trois grands domaines : littérature, philosophie et science politique. Pour comprendre l'importance de ce livre, il faudra voir, à travers la vie et l'oeuvre de Platon comment s'entrelassent ces trois dimensions et comment les catégories qu'il dévellope sont partiellement encore les nôtres. Nous pensons naïvement que l'apprentissage de la lecture s'arrête plus ou

celle de liberté : l’homme libre, en effet, est responsable de sa propre existence, et par conséquent de son propre bonheur. Le bonheur se distingue du plaisir, considéré le plus souvent, dans la tradition philosophique, de manière négative. Platon estime que le plaisir est tyrannique ; conséquence ou résultat de la satisfaction d’un désir, il s’estompe progressivement, pour laisser place à un nouveau désir. Lié au manque, celui-ci demande d’être satisfait. Un désir non assouvi est lié au déplaisir

de Salomon, La bible ............ 26 Pour mieux comprendre le texte ......................... 27 Texte 2 : La justice est la santé de l’âme, Platon (428-348 av. J. -C.) .................................................. 28 Pour mieux comprendre le texte ......................... 30 Texte 3 : Justice universelle et justice particulière, Aristote (384-322 av. J. -C.) .....................................31 Pour mieux comprendre le texte ......................... 33 Texte 4 : Valeur de l’arbitrage

tôt substituée à l’expérimentation : faute de pouvoir manipuler les objets sociaux en laboratoire, le sociologue se propose de comparer des faits sociaux relevant des mêmes catégories, mais s’insérant dans des contextes différents, de manière à expliquer ainsi leur genèse et les différences de configuration et d’agencement qui les distinguent. (Servent souvent pour comparer les institutions constitutionnelles françaises et anglaises par exemple). Néanmoins, la méthode comparative reste peu développée