Comparer Rousseau Et Hobbes

nous échappe. L’organisation politique et juridique sont en vase clos, ils vont auto-évoluer paramètres intra et extrinsèque. Notre champ politique va se calquer sur l’exercice de la souveraineté. Lorsque l’on parle d’un Etat on peut difficilement comparer les différentes définitions de différente époque. Le système est en évolution permanente, il se perfectionne, ce qui fonctionne a une époque donné ne fonctionnera plus dans le futur, il existera en permanence des dynamiques de système, on cherche

relation d"Etat à Etat, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu"accidentellement » (Rousseau). L’histoire contemporaine, et même l’actualité, fourmillent d’atrocités commises au nom de grandes idéaux mais qui ressortissent souvent à des luttes de pouvoir. Force est donc de constater que les conflits avec autrui constituent une réalité. l’affrontement est donc dans la nature humaine. Selon Hobbes, à l’état de nature (état fictif, hypothétique dans lequel se trouvent les hommes, abstraction

réfléchissons à ce que nous aurions si il n’y avait pas le droit : la violence. Une société repose sur le droit donc quand le droit s’en va il n’y a plus de société, du moins tant qu’on n’a pas encore établi de nouvelles règles, un nouveau droit. Suivons Hobbes un instant, il nous dit que sans la société l’Homme retourne à l’état de nature, un état de guerre perpétuelle (Léviathan). Le fait que le droit soit un élément de la société et que sans lui on retourne à l’état de nature fait que l’on peut déduire

Jean-Jacques Rousseau Introduction : Jean-Jacques Rousseau est une des plus grandes figures de la philosophie française. Dans cette causerie, nous découvrirons un homme rongé par la solitude et par le sentiment de persécution, qui trouvera trouva refuge tout au long de sa vie dans la Nature et accusera sans cesse la dénaturation croissante de l’Homme d’être la cause de tous les maux. De 1712 à 1742 : Sa jeunesse Jean-Jacques Rousseau est né en 1712, à Genève, dans une famille protestante d’origine

vaste fresque/épopée de l’humanité, elle a un sens, elle n’est pas livrée à elle-même, elle se déroule suivant un sens qui conduit les Hommes de l’obscurité de l’origine à la lumière de l’arrivée). On va voir les repères de l’historicisme, avec JJ Rousseau, on ne dit pas que ce dernier est un historiciste mais cela va commencer avec les allemands. L’idéalisme allemand débouche sur le marxisme. L’originalité de Marx serait de remettre Hegel sur ses pieds : matérialisme historique. Comme dit Anna Arendt

pour en fin nous intéresser à la violence révolutionnaire. Qu’est-ce que la violence à l’état de nature ? Est-elle légitime ? L’Homme à l’état de nature se présente comme un individu cherchant à répondre à ses besoins : manger, boire, dormir… Rousseau a d’abord imaginé l’Homme dans une nature abondante qui lui donne tout à portée de main. Dans ce cadre-là, en admettant que l’Homme est bon par nature, la violence n’existe pas : tout le monde peu assouvir ses besoins sans nuire à autrui. Or cette

se défendre face aux dangers de la nature. Il est un être vulnérable et fragile. Exemple : l'homme n'a pas la force du lion ou les griffes du chat pour se défendre, la fourrure de l'ours pour se protéger. Il est vulnérable et démuni comparé aux autres espèces vivantes qui semblent mieux adaptées à leur environnement. Il doit pallier cette faiblesse en vivant ensemble afin de multiplier leurs forces. B) Un homme seul serait incapable de survivreRéférence philosophique :

|Ainsi : « l’homme est un loup pour | | |un être plus méchant que le loup | | | |l’homme » (Hobbes). | | |lui-même ? | | | |> rappel de la question

lui-même. (Constat et présupposé) C’est un fait que le crime et la violence n’ont pas disparu de la surface de la Terre. Certaines formules proverbiales présentent l’homme comme un prédateur redoutable. Ainsi : « l’homme est un loup pour l’homme » (Hobbes). > rappel de la question « Le loup » – On a toujours associé le loup au « méchant »… et au « gourmand » ; le christianisme en fit même une image du Diable. C’est bien connu, le loup « dévore » les petits enfants, surtout s’ils ne sont pas

œuvre dans la législation. Les constitutions devront être des applications de ces lois. En 1793, dans son 1er projet de code civil, Cambacérès compare un code civil au système de l’univers. Le code civil contient toutes les règles qui régissent les règles sociales de la nouvelle France. En 1794, Cambacérès, qui vient de rédiger son 1er projet, compare les conventionnels, les législateurs à des sortes de Dieu, qui créent des institutions, et « ils donnent l’esprit et la vie aux institutions qu’ils