Comparer Rousseau Et Hobbes

Troper DLACHAIT: D = Définir les termes du sujet. L = Limites: exclure ce qui ne fait pas partie du sujet. A = Accroche: On introduit ici le thèmes, introduction dans laquelle on doit retrouver les termes du sujet. C = Analyse comparative: Comparer le sujet dans les autres pays ou par rapport à l'histoire. H = Historique: analyse historique et comparaison historique. A = Annonce du plan. I = Intérêt du sujet: en quoi ce sujet est intéressant. T = Aspect théorique: montrer ce que la doctrine

Thomas HOBBES (1651) Léviathan Traité de la matière, de la forme et du pouvoir de la république ecclésiastique et civile Première partie : DE L’HOMME Chapitres I à XVI disponibles. Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 23 novembre 2002. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: folliot.phil@wanadoo.fr Site web: http://perso

ils n’y font pas le moindre progrès. La langue de convention n’appartient qu’à l’homme. Voilà pourquoi l’homme fait des progrès, soit en bien, soit en mal, et pourquoi les animaux n’en font point. Jean-Jacques Rousseau, Essai sur l’origine des langues (1781) Rousseau retrouve ici son idée selon laquelle ce qui distingue l’homme de l’animal n’est pas tant l’entendement (ou pensée) que la liberté, la perfectibilité[1]. Mais c’est surtout le linguiste Emile Benveniste qui souligne le fait

la démocratie par les historiens * Erodotes (484-420) est considéré comme le père de l’histoire et des sciences politiques. A écrit un ouvrage « enquête » : dans celui-ci il est le 1er à distinguer les différentes formes de gouvernement et les compare (la démocratie, l’aristocratie et la monarchie). Il en a écrit un second « histoire » : il présente la différence fondamentale entre la civilisation grecque et le monde des barbares (les perses…) va mener ensuite une critique : la démocratie et l’oligarchie

voulu assuré la fusion des peuples, il a cherché à obtenir l'obéissance de tous par la négociation. C'est pourquoi il apporte une certaine protection aux aristocraties locales. Cela donne à cette monarchie un aspect assez contractuel. On ne peut pas comparer Alexandre aux empereurs romains. B) Les monarchies hellénistiques Alexandre le grand meurt assez tôt. Les Diadoques se déchirent par une guerre civile pour récupérer le pouvoir. On aboutit à un partage de l'Empire d'Alexandre. La

naissance du droit subjectif Section 1. Le "droit" de Dieu : Section 2. L'École du droit naturel moderne Section 3. Le renversement moderne du concept de droit Chapitre II. Le contractualisme Section 1. Le contractualisme de Hobbes Section 2. Le contractualisme lockien Chapitre III. Les déclarations de droits américaine et française Section 1. Le droit naturel dans les Déclarations Section 2. Le rapport au droit dans les Déclarations américaine et

moral et pas de l'efficacité politique. → c'est la question de la justice qui fonde cette politique. -V ème siècle avant J-C : siècle de Périclès Hérodote : père des historiens → journaliste qui menait des enquêtes. Il a décrit des guerres. Il compare l'empire Médique avec la démocratie grecque. Cela repose sur une classification : 3 catégories en fonction du nombre de gouvernants, on peut distinguer : - la monarchie : 1 homme dirige → décrit les mèques -l'oligarchie : une minorité de citoyens

défi pour la philosophie parce que cette dernière a bien du mal à en donner une explication. Est-ce l’homme ? ou un Dieu vengeur ? Le mal est-il politique ou historique ? Tient-il de la structure sociale entre les hommes ? Hobbes voit dans le mal une structure tandis que Rousseau accuse la contingence historique… Le mal confronte la philosophie à la question de son origine. Il force la philosophie à cette épreuve de vérité. Qu’est-ce qui pousse l’homme à commettre le mal ? Comment expliquer l’origine

ils n’y font pas le 3 moindre progrès. La langue de convention n’appartient qu’à l’homme. Voilà pourquoi l’homme fait des progrès, soit en bien, soit en mal, et pourquoi les animaux n’en font point. Jean-Jacques Rousseau, Essai sur l’origine des langues (1781) Rousseau retrouve ici son idée selon laquelle ce qui distingue l’homme de l’animal n’est pas tant l’entendement (ou pensée) que la liberté, la perfectibilité1. Mais c’est surtout le linguiste Emile Benveniste qui souligne le fait

replacer des œuvres dans leur pensées car elles sont connotées. Il faudra donc se replacer dans le contexte de l’auteur, les comprendre tel que l’auteur les a comprises. Par exemple le mot d’état de nature ne veut pas dire la même chose chez Hobbs que rousseau. Il faut apprendre à développer notre sens critique. Il faut digérer ces idées afin de nous faire notre propre approche. Chapitre 1 : l’antiquité. Section 1 : la pensée politique grecque. Les grecs ont eu deux mérites : avoir élaboré une