Complainte Du Fusillé

littéraire : Koumba Ndofène Dyouf régnait à Dyakhâw, superbe vassal Et gouvernait l’Administrateur du Sine – saloum. Le bruit de ses aïeux et des dyoung-dyoungs le précédait. Le pèlerin royal parcourait ses provinces, écoutant dans le bois la complainte murmurée. (C.O. p 31). Plus tard Homme d’Etat, ses tournées dans les villages au fin fond du Sénégal ont pour source, la vie du royaume d’enfance avec les visites du roi, neveux de son père. Il n’a fait donc que rester fidèle à son vécu quotidien

tensions fondatrices de la culture actuelle. 1.2. Un échec fondateur mais ignoré Malgré ce double intérêt, le corpus de la poésie scientifique du XIXe siècle n’a fait l’objet d’aucune recherche d’ensemble depuis une étude d’Alexandre-Casimir Fusil, en 1917. Il a été ignoré par les recherches sur les relations entre sciences et littérature menées dans les années 1970. Projetée sur les confins du champ littéraire et d’un champ scientifique désormais réputés hétérogènes, la poésie scientifique

mois plus tard : « Ce qui a poussé Boumediène à affronter le GPRA, c’était l’alliance qu’il avait scellée avec Ben Bella à Aulnoy, récapitule Rédha Malek. Alliance réciproquement avantageuse. Boumediène avait besoin d’un politique et Ben Bella d’un fusil. » (2) L’émissaire Bouteflika avait réussi sa mission. Il quitte hâtivement Paris pour Londres d’où il appelle le colonel Boumediène pour lui annoncer le succès de l’opération. « Quelques jours plus tard, raconte Rédha Malek, Boumediène et Ben Bella

et déclarent honnêtement: «Nous allons inciser les muscles, trancher les os, en un mot guérir les malades.» Le loup, meurtrier d'une brebis, lit dans sa prison les Idylles de Mme Deshoulières, tandis que la célébrité lui vient sous la forme d'une complainte que vendent les camelots et qui se chante sur l'air de Fualdès: Écoutez, Canards et Pies, Geais, Dindons, Corbeaux et Freux, Le récit d'un crime affreux Et bien digne des Harpies. L'auteur de cet attentat Fut un loup peu délicat. L'ours se plaît

de tout, à cette devanture; anciens manuscrits, livres de raison aux tranches piquées de moisissures, antiques missels dédorés, fermoirs, gardes de livres, puis, collés sur les hautes vitres, des assignats, de vieilles affiches, plans de Paris, complaintes, bons de poste militaires tachés de sang, autographes de tous les temps, une poésie de Mme Lafarge, deux lettres de Chateaubriand à Perluzé bottier; et des noms de célébrités anciennes et modernes sous des invitations à dîner, quelquefois des demandes

burlesque entre les formules ironiquement « classiques » de « En vérité, ô mes ans, que faire / De ce riche corps ? » et la réponse « Ceci, / Cela »). La reprise anaphorique des distiques fonctionne comme un refrain modulable chez l’auteur des Complaintes, qui réduit ici le mètre des « couplets » au strict minimum de deux syllabes et termine le poème sur un allongement de la cadence. L’usage de majuscules (à « Femme », « Rêve », « Vie » et « Tout », alors que « corps » en est significativement privé)

j'n'suis plus moi F F Comme un manouche sans guitare E7 E7 Comme un arbre sans racine F F Comme un château sans la Loire D7 D7 Comme le théâtre sans Racine F F Une Normande sans armoire D Sur cette plage sans Aline 34 D Bb7 La complainte de la Butte (4) Par. J. Renoir, mus. G. Van Parys (1954) Accordéon D Introduction (sans accompagnement) 2) Petit’ mendigote Je sens ta menotte En haut de la rue Saint-Vincent, D Un poète et une inconnue, S’aimèr’nt l’espace d’un instant Bm Mais

de nombreuses valeurs. Sont ainsi associés des éléments concrets (la femme aimée, les victimes de l'oppression par exemple) et des éléments abstraits («l'espoir», «la douceur»). Ce procédé, qui accumule et mêle les références, fait l'effet d'une complainte, d'un leitmotiv presque obsessionnel. Il crée une attente chez le lecteur. Cette attente est comblée dans la dernière strophe où l'on remarque la paronomase de «faire se lever le fer» (les deux homonymes faisant sonner le message), de la métonymie

de la noblesse. 8. Le chevalier modèle est donc un homme courageux, combatif, mais surtout un homme pieux, fidèle et paradoxalement non violent. Il doit se mettre au service d’une cause juste. Exercice d’application 1. Le texte est extrait de la Complainte des vilains de Verson. Il a été en fait rédigé par les moines du MontSaint-Michel dans le contexte d’un litige avec leur voisin le vicomte Osbert. Il ne faut donc pas le prendre comme un texte revendicatif de paysans du Moyen Âge, mais comme un

ÉTUDE Le combattant Cette étude vise à montrer le quotidien du soldat sur le front. La guerre d’usure, les nouveaux armements, la vision des horreurs quotidiennes transforment profondément l’expérience combattante. Document 1 Le poilu La complainte du poilu La Chanson de Craonne, d’abord intitulée Chanson de Lorette, a été publiée pour la première fois en 1920 par l’écrivain communiste Paul Vaillant-Couturier.  Ayant connu des versions successives, le texte, anonyme, se chante sur l’air