Comportement Achat Consommateur Smartphone

01 PARTIE 6 – LA RÉGULATION ÉCONOMIQUE 05 Thème 6.1 – La régulation du marché par le droit Chap. 8 – Le droit de la concurrence Chap. 9 – La régulation de la concurrence 06 Chap. 10 – La protection du consommateur Objet d’étude n° 3 : La protection du consommateur 07 Thème 6.2 – La régulation de l’activité économique par les autorités publiques Chap. 11 – Les politiques économiques Objet d’étude n° 4 : Le budget de l’État 08 Thème 6.3 – Les revenus, leur répartition

restauration rapide représente 7 repas sur 10 pris hors domicile. Leprix moyen d’un repas, toutes taxes comprises, s’élève à 8 euros.Le choix, qui ne se limitait au début qu’aux hamburgers, s’est diversifié au cours de ladernière décennie. Ainsi, les consommateurs peuvent maintenant choisir entre dessandwichs, des pizzas, des pâtes, des salades, des soupes, des wraps, voire dessushis.En effet, la restauration rapide souffre dune mauvaise réputation de «malbouffe». Lesnouveaux produits lancées par les enseignes

territoires. Des changements majeurs, issus de la mondialisation de l’économie et des préoccupations montantes comme celles liées au développement durable, déterminent pour le long terme la compétitivité et l’emploi, et affectent en profondeur le comportement des entreprises. Face à ces changements, dont certains sont porteurs d’inflexions fortes ou de ruptures, il est nécessaire de renforcer les capacités de veille et d’anticipation des différents acteurs de ces changements : l’État, notamment au niveau

leurs congénères (1/3 des premières réponses obtenues en cherchant une marque sur Google sont des contenus émis par des consommateurs). Dans ce contexte, la valeur ajoutée d’une entreprise passe désormais par le renforcement de l’intimité et la gestion de sa relation au client. Privés ou publics, les grands acteurs se tournent tous vers cette connaissance du client et ses comportements pour mieux maîtriser le parcours du voyageur (avant, pendant et après le voyage) et renforcer la connaissance des habitudes

 Diagnostic marque         B/  Stratégie de relance et de repositionnement         C/  Déploiement opérationnel de relancement Section II : Image de marque         A/  Marque         B/ Concurrence         C/  Mesure Section III : Comportement du consommateur         A/  Perception         B/  Acte d'achat          C/  Fidélisation PARTIE 2 : PRATIQUE Section I : Présentation du contexte de l'entreprise         A/  Secteur         B/ Entreprise         C/ SWOT Section II :

Classification des services 4.1.La classification En fonction de la facilité d’évaluation par les clients : services d’expériences (facile à évaluer) et services de croyance (difficile à évaluer). Les deux critères les plus éloquents pour les consommateurs français et américains : -associés à un équipement ou une personne-à faible niveau de personnalisation ou à fort niveau de personnalisation Le plus souvent : les services sont accompagnés de produit :-le produit tangible accompagné de services-les

A AACC : Association des Agences Conseils en Communication. Syndicat professionnel destiné à défendre les intérêts des agences de communication. Abattement professionnel : Un acteur (agence) mandaté par un annonceur pour effectuer son achat d’espace publicitaire se voit généralement accorder une remise ou abattement professionnel de 15%. ABC : Audit Bureau of Circulation, organisme de certification américain ayant pour vocation d’auditer les chiffres d’audience de la presse. L’ABC

termes, certains comportements se retrouvent.   Le droit de la consommation a émergé surtout en France afin de préserver la partie dite «faible»: Le consommateur. Malgré ce régime particulièrement protecteur, des abus persistent. Parce que la prévention est la meilleure défense en matière de consumérisme, il est essentiel de connaître les relations contractuelles unissant un professionnel à un ou plusieurs consommateurs. Ainsi, Le droit de la consommation protège le consommateur dans ses rapports

développées par les chefs d’entreprise. Dans un contexte de malaise national latent, où les sentiments de méfiance, d’insécurité, d’accroissement des inégalités font loi, même si les chiffres semblent indiquer une amélioration dans ces domaines, le consommateur apparaît aujourd’hui insaisissable, à la fois en manque de repères, mais animé d’une volonté forte d’être acteur et reconnu. En 2003, il était plus insouciant, plus euphorique et confiant, bien que les germes de ce malaise aient été déjà perceptibles

  TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION page 7 PREMIERE PARTIE : Concepts de réputation numérique, web en temps réel et sociologie du consommateur page 8 SECONDE PARTIE : Etat des lieux du web en temps réel et de l’e-réputation des marques page 15 TROISIEME PARTIE : Les nouveaux enjeux liés au web en temps réel pour les marques et leur réputation numérique page 22 CONCLUSION page 47 SOURCES page 49 ANNEXES page 55 Le Web en Temps Réel et la Réputation Numérique