Compte Rendu Entretien Mutation

aussi des accords d’entreprises Il y a ensuite les usages, il y en a de moins en moins mais sont toujours présents dans certaines professions. Ensuite il y a les contrats de travail. Il y a également la jurisprudence, il s’agit les décisions rendues par les juges . En France il existe de types de juridictions pour appliquer le droit : le droit privé qui concernent tous ce qui ne mets pas en cause les institutions publiques et le droit administratifs qui met en cause l’Etat, les communautés

Depuis les travaux de l’école taylorienne et récemment avec le développement de l'approche stratégique des ressources humaines, l’homme a toujours été placé au centre des préoccupations de l’organisation. C’est ainsi que la position de ce dernier a été rendue centrale sur la chaine de valeur et l’homme est passé du statut de simple exécutant dans le modèle taylorien à celui de coordonnateur et de développeur dans le système homme-machine-client (Rousseau et Labbe 2002). Le contexte de la mondialisation

Jurisprudence : ensemble des décisions rendue par les juges notamment la Chambre Social de la Cour de Cassation = + haute juridiction française définie les principes généraux du droit cad elle va beaucoup influencer les textes de loi édictés (ex : clause de non-concurrence dont tous dont tous les principes sont posés par la Cour de Cassation car il n’y a pas de texte dessus. Remarque : en droit franC la Jurisprudence n’a pas le droit de se baser sur une décision rendue par un autre juge, mais uniquement

» L’accord peut instaurer un entretien professionnel en plus de l’entretien annuel (Generali) ou plusieurs entretiens étalés dans le temps comme chez PSA : un entretien de progrès (qui a lieu tous les ans), un entretien en cours de carrière qui doit avoir lieu au bout de 10 ans ou 10 ans avant la fin de sa carrière, et enfin le bilan professionnel ouvert aux ouvriers et ETAM pour leur évolution sur proposition de l’employeur. Chez Cofiroute, il y a un entretien de carrière pour ceux qui n’ont pas

ENTRETIEN PROFESSIONNEL d ’e mo m d p e lo i Préambule Défini par l’Accord national interprofessionnel du 5 décembre 2003, l’entretien professionnel n’est ni un entretien d’évaluation, ni un entretien dédié à la formation. Il offre un nouvel espace de dialogue et d’échange entre l’employeur et le salarié. Ensemble, ils construisent un projet professionnel répondant au souhait du collaborateur et à la stratégie de développement de l’entreprise. Si l’entretien professionnel permet au

doit être validé dans un délai de 30 jours par l’Inspection du travail. Il faut préciser sa date d’entrée en vigueur. | Contrat de Travail | ------------------------------------------------- Quelques compléments La jurisprudence Décisions rendues par les tribunaux qui constituent des réponses à une situation de fait. La dernière jurisprudence sert de référence. (Les revirements jurisprudentiels sont courants). Les usages (droit privé) les coutumes (droit public) * Généralité (plusieurs

But : explorer le terrain et avoir une démarche anthropologique et sociologique INTRODUCTION : Quand on est sur le terrain on a des entretiens, on observe, on recueille un ensemble d’observations qu’il faut analyser et interpréter et ainsi mettre en forme en rédigeant ensuite les données = traitement. On peut utiliser des techniques. Méthodes employées : Réussir à avoir une méthode c’est réussir à avoir une stratégie adaptée au terrain. Techniques employées doivent être adaptées aux méthodes

locales , au titre des années 2009 et 2010, à ne pas noter les agents qu’elles emploient et à se fonder sur un entretien professionnel. La loi prévoit que cet entretien qui devra être conduit par le supérieur hiérarchique direct de l’agent, devra donner lieu à l’établissement d’un compte-rendu. En cas de désaccord, il est également précisé que l’agent pourra proposer la révision de ce compte-rendu en CAP. Toutefois, cette dérogation à l’obligation de notation n’est pas d’application immédiate : un décret

affirment le rôle de chef de file de l'action sociale du Conseil général. Elles mettent en place le transfert de compétences entre l’État et les collectivités territoriales. Le financement du Conseil général provient des impôts locaux, des droits de mutation et des dotations de l’État. Le Conseil général a quatre compétences principales qui sont l'action sociale ; la construction, l'entretien et le fonctionnement des collèges ; le transport scolaire et public sur le département ainsi que la construction

s'élabore en lien avec le projet stratégique global de l'entreprise. La GPEC consiste à anticiper à moyen et long terme les mutations pour en gérer les conséquences en matière de ressources humaines et à mettre en place des plans d'action (formation, mobilité, recrutement) collectifs et individuels. Mais aussi elle permet d'anticiper sur l'évolution de ses effectifs en tenant compte des problématiques liés à son environnement interne et externe. Elle détermine les actions à mettre en œuvre, dans les 3