Comté de Flandre

contingent en importance avec son frère Baudouin de Boulogne, ainsi que le frère du roi, Hugues de Vermandois, Robert de Normandie comte de Flandre et fils aîné de Guillaume le Conquérant, Étienne comte de Blois, Conon, comte de Montaigu, Renaud III comte de Toul. Bohémond, fils aîné de Robert Guiscard, ... Le plus fort contingent des croisés fut celui dirigé par le comte de Toulouse et marquis de Provence, accompagné du chef nominal de la croisade, le légat pontifical Adhémar de Monteil, évêque du

fortifiée au XIe s. -Anvers est érigée en cité, incorporée en 1288 au duché de Brabant, et garde son autonomie promue, Anvers est occupée en 1357 par le comte de Flandre Louis II de Mâle, qui restaure aussitôt un ancien tonlieu, favorisant le commerce, mais dont la levée permet de restaurer les fortifications qui protègent désormais la Flandre sur sa frontière nord-est. Incorporée en 1406 aux domaines bourguignons, elle y perd sa valeur stratégique mais contribue à en faire la capitale économique

contrat vassalique typique Ce texte intitulé « un contrat vassalique typique » de Galbert de Bruges est issu d’Histoire du meurtre de Charles le Bon. C’est un contrat synallagmatique : document officiel, rendant compte des hommages délivrés au comte Guillaume Cliton par ses vassaux, le jeudi 7 avril 1127. L’objet de ce document est de décrire le formalisme du contrat vassalique ainsi il paraît être objectif. La fin du XIIe siècle amorce la naissance du royaume qui s’étend toujours de l’axe

intervient dans des conflits opposant des religieux et leurs seigneurs, et s'attache à arbitrer en faveur des plus faibles : c'est ainsi qu'il secourt les moines de Vézelay contre le comte de Nevers, qui les persécute, les abbés et les évêques de Bourgogne contre le comte de Mâcon, le seigneur de Gien contre le comte de Sancerre. A maints égards, Louis VII inscrit sa politique dans la continuité de son défunt père, qui a lutté contre les vassaux d'Ile de France abusant de leur pouvoir

sens, ils conseillent, aide militairement et financièrement . Le Roi contrôle deux territoires  : le domaine royal, et aussi le Royaume. À l’intérieur de ce dernier, il y’a le comté ou le duché pour les vassaux puis la Seigneurie pour le reste. Les liens de vassalités se reposent sur la fidélité à un Suzerain, qui est considéré comme plus fort militairement. Tout cela s’est mis en place avec

et patrimonialisation des honores : une situation différente selon les royaumes → En Francie occidentale, depuis notamment le capitulaire de Quierzy, les honores ou charges publiques sont reconnues comme étant héréditaires. Exemple avec le comte de Flandre (de Beaudouin Ier à Robert II) ou encore le duc de Normandie (de Rollon à Guillaume le Conquérant). Certes le souverain est celui qui nomme officiellement le détenteur de l’honor mais en réalité il n’a pas grand pouvoir. → La situation est un

son épouse Louis XIV réclame des territoires du nord et du nord-est. La campagne des Flandres est donc lancée avec la lutte de Turenne contre une alliance des P.U, de l’Angleterre et de la Suède pour stopper la progression française. De son côté Condé prend la Franche-Comté. La paix d’Aix-la-Chapelle est signée en mai 1668 et la France conserve 12 places fortes en Flandre dont Lille mais elle rend la Franche-Comté. 2) La guerre de Hollande (1672-1678). La Hollande est une République calviniste ce

du second lit. Cette guerre vit la conquête de la Flandre par Turenne et de la Franche-Comté par Condé. Le roi présida, en personne, les sièges de Dôle et de Geray. Besançon se rendit. Mais, par ailleurs, Louis XIV redoutait la ligue entre l’Angleterre, la Hollande et la Suède, ce qui allait accélérer les négociations. Le 2 mai 1668, par la paix d’Aix la Chapelle, Louis XIV dut restituer la Franche-Comté mais il gardait une partie de la Flandre espagnole, en particulier 12 places fortes destinées

La mort de Roland Extrait de La chanson de Roland (vers 1070) 169 Hautes sont les montagnes et les arbres très hauts. Il y a là quatre perrons de marbre, mais c’est sur l’herbe verte que Roland le comte s’est affaissé. Un Sarrasin non loin de là l’épie : il feint d’être mort et gît parmi les autres. Son corps et son visage sont ruisselants de sang, mais il se dresse sur ses pieds et accourt en toute hâte. Il est beau et fort et d’un très grand courage. Dans son orgueil il conçoit soudain une mortelle

ne dit à aucun moment avoir vu des produits du Nord de l'Europe à Venise. 5) En 1280, Bruges connaît une révolte populaire. En effet, les échevins et le conseil ont créés une keure (charte ou règlement municipal de Flandre) pour le commun (métiers) sans l'accord du comte de Flandre. Celle-ci demande à ce que le commun soit présent lors de la reddition des comptes (fait de présenter les comptes dont on a été chargé) et qu'il sache l'emploi de ses derniers chaque années. Le commun désire aussi que