Comté de Nice

candidat aux élections présidentielles du 10 décembre 1848 et se fait élire haut la main premier Président de la République française. Installé à l’Élysée, Louis-Napoléon cultive sa popularité en se démarquant de l’Assemblée. Celle-ci, à l’initiative du comte de Falloux, vote une loi qui instaure la liberté de l’enseignement, autrement dit permet à toute congrégation religieuse d’ouvrir un établissement, ce qui va aviver inopportunément l’anticléricalisme. Élu pour quatre ans, le président souhaiterait

Le Maroc ); la presse quotidienne régionale, qui traite de l'actualité locale, régionale et nationale, comme en France Le Courrier de l'Ouest, Ouest-France, Les Dernières Nouvelles d'Alsace, L'Est républicain, Le Républicain lorrain, Le Midi libre, Nice-Matin, Le Parisien, La République du Centre, Sud-Ouest, La Dépêche du Midi, La Voix du Nord, Le Progrès, L'Union, La Provence, etc., qui ont la particularité d'être en général en situation de monopole sur leur zone de diffusion (ces monopoles régionaux

grande partie de son temps dans des villes d'eau. Profitant autant que possible de l'hospitalité de ses admirateurs fortunés, l'écrivain impécunieux visite ainsi l'Allemagne (Francfort chez Joukovski), la Suisse, la France (Paris, chez le comte Alexandre Tolstoï, et Nice chez la comtesse Vielgorski), et enfin la Belgique. Il prétend aussi s'être rendu en Espagne; mais ceci semble être un de ses nombreux mensonges. Cependant, de tous les pays d'Europe, c'est l'Italie qu'il préfère de loin, et Rome en particulier

et théoricien de “ L’esprit Nouveau”. Alcools est un recueil de poèmes, paru en 1913. D’une famille de la noblesse polonaise, Guillaume Apollinaire est inscrit au lycée de Canne et de Nice en 1899, En 1901 et 1902, il fut précepteur pour la vicomtesse Élinor de Milhau, d'origine allemande et veuve d'un comte français. Entre 1902 et 1907, il travailla pour divers organismes boursiers et commença à publier contes et poèmes dans des revues, ces derniers déjà influencés par des épisodes de sa vie

organisations européennes. I) Les Europe d'après-guerre L’Unité Européenne est un sentiment ancien, on pense notamment à Henri IV, à Sully. On peut penser à cette gestion européenne des congrès. V.Hugo parlait des « Etats-Unis d’Europe ». Le comte Coudenhove-Kalergi a instauré les symboles européens, l’hymne à la joie, la fête de l’Europe… Il avait influencé Aristide-Briand¸ ministre des affaires étrangères qui avait déposé sur un projet d’états unis européen sur le bureau de la SDN. Ce

on se reportera à J. RIDEAU et F. PICOD, Code de procédures communautaires, Paris Litec 2002. [pic]Concernant plus particulièrement la création du TPI, voir notamment : - O. DUBOS, "Quel avenir pour le TPI après le traité de Nice ?", RAE, 2000, p. 410 - U. KLINKE, "Quelques réflexions à propos de la relation entre la Cour de justice et le Tribunal de première instance", RAE, 2000, p. 239. - K. LENAERTS, Le Tribunal de première instance des Communautés européennes

d’admirateurs et de disciples (Vita Odilonis,i, 11). Ce sont les Clunisiens qui sont à l’origine de l’institution de la treuga Dei dans sa plus ancienne manifestation, et l’on trouve Odilon de Cluny aux côtés de l’archevêque d’Arles et des évêques de Nice et d’Avignon pour demander au nom de l’Église de Gaule à l’Église d’Italie d’adhérer à ce mouvement de la Trêve de Dieu (Mansi, xix, 93). Si aux points de vue particuliers de la réforme des monastères et de l’indépendance à l’égard de l’Ordinaire redoublent

de plombière. Cet événement est une entrevue diplomatique entre Napoléon III et Camille Benso, comte de Cavour, président du conseil du royaume de Piémont-Sardaigne, le 21 juillet1858, dans la cité thermale de Plombières-les-Bains (Vosges) ; lors de cette rencontre entre les deux hommes napoléon s’engage à assister l’Italie dans un conflit face a l’Autriche et qu’en contre partie il devait obtenir Nice et la Savoie. Avant l’entrée en guerre la France essais d’assurée ses arrières avant l’entrée officiel

la tomme, en Normandie les moules et les tripes, en Charente maritime les huîtres, en Alsace la choucroute et le kouglof, à Lyon la charcuterie, en Bretagne les crêpes (galettes de sarrasin), à Marseille la bouillabaisse, à Toulouse le cassoulet, à Nice la ratatouille, en Bourgogne les escargots et les cuisses de grenouilles, à Bordeaux le foie gras, les truffes et l´entrecôte sur le gril. La tradition des menus très copieux demeure pour les repas de fête, elle se limite aujourd´hui aux réceptions

Moyen-âge. Les rois ont progressivement agrandi leur domaine puis leur royaume au détriment des puissances rivales (Empire des Habsbourg, Espagne) : aux XVIIe et XVIIIe siècles ils élargissent le territoire français vers l’Est (Alsace, Lorraine, Franche-Comté), le Nord (Artois) et le Sud (Roussillon, Corse). Les « frontières naturelles » se fixent alors sur les Pyrénées (avec l’Espagne), les Alpes (avec l’Italie) et le Rhin (avec l’Allemagne). - Aujourd’hui le territoire français est composé essentiellement