Concept De Souveraineté étatique

existe depuis aproximativement le 16eme siecle, c'est un concept temporellement marqué, il peut ne plus exister et n'a pas toujours exister. L'Etat n'a jamais autant été contesté, il serait liberticide (:Léviathan de Hobbes). Néamoins, il est le modele d'organisation le plus effiace, et a le moopole de la violence légitime (Max Weber). Nous avons le constat de l'évolution Etatique (Angleterre et France), mais aussi la systematisation du concept avec Jean Baudin. Meme évolution avec l'avenement des

la construction et l'invention de l'État en Europe occidentale. L'État s'inspirera à la fois du droit romain et des valeurs du christianisme, de la hiérarchie et de la bureaucratisation du pouvoir politique, de l'élaboration d'une théorie de la souveraineté émanant d'une autorité centrale monopoliste, héritage des Romains. En outre l'État occidental se forme contre l'emprise ou la volonté hégémonique au plan spirituel, mais aussi temporel de l'Église. Ainsi en France tout particulièrement, l'invention

 « L'État c'est moi » Louis 14; par cette citation le roi y émane la notion de souveraineté, pallié de la constitution d'un État.  En effet, l'État est la forme institutionnalisée du pouvoir politique. Il a été, pour les sociétés qui s'en sont dotées à partir du 15e siècle, l'instrument d'affirmation de leur souveraineté. L'État est une réalité: il est présent dans la vie quotidienne des citoyens et encadre de nombreux domaines d'activité de la société. Mais il est aussi un abstraction: il est le

Dès l’avant-propos de son ouvrage, Dieckhoff s’oppose à la perception que le nationalisme soit un concept archaïque, un anachronisme tribaliste dans un monde moderne penchant inexorablement vers la mondialisation et l’universalisation. Il déclare plutôt que le nationalisme soit «une configuration centrale de la modernité, même s’il revêt parfois une forme odieuse.» En effet, Dieckhoff en réaffirme la préséance, même dans un contexte de mondialisation grandissante, en soulignant l’apparition récente

PARTIE I : Théorie générale du droit constitutionnel : les concepts fondamentaux Le premier concept fondamental : L’Etat Théorie de l’ETAT : L’Etat en tant que phénomène étatique est une création constante qui date dans sa conception moderne de la fin du 16eme et du début du 17ème siècle. Le nombre d’Etat qui compose la société internationale est toujours un mouvement car il y a des Etats qui disparaissent et d’autres qui apparaissent. Au début du 19eme il n’y avait que 5ou 6 Etats et aujourd’hui

Principes constitutifs des relations internationales. Relations internationales : Xch entre acteurs (physiques, moraux) 1648 : traité de Westphalie  Entité étatique.  Début Reconss des états nations sur la scène internationale.  Base du droit international.  Fin prédominance des empires sur les états. 1789 Jeremy Bentham  Concept « international » + définie Les RI= « relations entre les membres d’états différents. Droit international  Réguler les relations des indiv au sein des états

administratives, judiciaires exerçant leur autorité sur l’ensemble du territoire concerné. Le droit international exige une effectivité gouvernementale c'est à dire que l’autorité publique doit avoir les capacités réelles d’exercer des fonctions étatiques. En particulier le maintient de l’ordre public intérieur, la défense des frontières et l’exécution des engagements internationaux. Il y a 2 sortes d’hypothèses qui peuvent venir perturber ce troisième critère : - l’existence de pays qui n’ont

s'appliquent à une population permanente, et comme constitué d’institutions par lesquelles il exerce une autorité et un pouvoir effectif. La légitimité de cette autorité devant en principe reposer – au moins pour les États se disant démocratiques – sur la souveraineté du peuple ou de la nation. La nation quant à elle ne se confond pas non plus avec l’État sauf dans le modèle de l’État-nation. Si l'État se distingue du gouvernement car la notion inclut toute une dimension administrative et juridique, il arrive

22/09/10 Pour ce qui est de la souveraineté interne, l’Etat a la compétence de ses compétences. Il a le monopole de la contrainte à l’égard de ceux qui vivent sur son territoire. Lui seul peut utiliser la force publique, et les particuliers doivent passer par son intermédiaire pour obtenir la mise en œuvre des droits qu’ils ont les uns vis à vis des autres. Est-ce que l’Etat est soumis au droit ? Cette question contient des germes d’absolutisme poussés à l’extrême et indiquerait que l’Etat

réaliser corps : la création et le raffermissement d'un Etat mondial, d'un Gouvernement mondial qui fera échec aux souverainetés nationales. Mais, cette vision généreuse des rapports internationaux dans un monde post-moderne se heurte à une subite réaffirmation du droit à la souveraineté et à une identité au sein de la communauté 8 9 - Idem. Le «temps mondial» est un concept, forgé par Wolfram EBERHARD, qui désigne l'existence d'un climat international qui influence les choix politiques ou