Conception Cartésienne De La Liberté

{draw:frame} IL Commentaire ou critique du texte La conception bergsonienne de la conscience prolonge l'analyse du cogito cartésien : en effet, Descartes a montré que la conscience donnait naissance à un sujet capable de réfléchir sur lui-même et sur le monde (possibilité de se démarquer du monde et de se poser comme sujet distinct du reste des choses). Ainsi, par la conscience, le sujet est à l'origine de la connaissance (cf. Kant, «le je pense doit pouvoir accompagner toutes mes représentations

dynamique qui permet l’existence, au sens étymologique du terme : du latin existentia, s’élever de, hors de ; soit l’acte d’aller au-delà de soi-même. Bergson se pose dans une lignée qui défend la conscience en tant que condition nécessaire à la liberté. La liberté est entendue ici comme l’effort qui permet d’aller au-delà de soi, autrement dit de créer une rupture avec le quotidien établi. La conscience est conçue comme prise de conscience face à une situation inconnue : un élément perturbateur induit

On pense souvent que la vérité est une affaire individuelle. Chaque homme en effet se forge sa propre conception du vrai, sans que celle-ci ne soit de fait et de droit communicable ou critiquable. Dire ainsi que les goûts et les couleurs ne se discutent pas est une façon de clore toute discussion éventuelle et de revendiquer un principe de tolérance ; « à chacun sa vérité ». Mais toutes les opinions ont-elles vraiment la même valeur, comment peut-on à la fois avoir sa propre vérité et la partager

LA DOCTRINE CLASSIQUE (29.03.2012) Les règles générales de la doctrine classique La conception du poète parfait Par quoi se caractérise t-il? MOTS CLES: GENIE, SCIENCE, L’ART – l’objet de la poétique Comment le XVIIème siècle conçoit-il l’art? Les poètes ont reçus une mission sociale. On lui donne un rang d’éducateurs. Un rang des soldats. Un soutien de la monarchie pour remplir sa mission il doit obéir a la règle. Pour atteindre son but. Le besoin du règle se fait sentir de la XVI

j'existe »). Ce n'est qu'en 1644, dans les Principes de la philosophie, que la formule « cogito ergo sum » est publiée directement en latin par son auteur. Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur de la pensée cartésienne. Il est une certitude à partir de laquelle Descartes va tenter de refonder toute la connaissance. Il consiste en une intuition qui ne se résume pas à une déduction logique. L'expression est pensée comme "Je suis en tant je pense" sans "donc" car

réalité physique (atomes, molécules,...) La matière, que l'on croyait indépendante de l'esprit ; serait-elle, alors, une pure et simple construction de l'esprit ? Une modélisation de ce que l'esprit peut produire comme pensées ? Les différentes conceptions philosophiques : Le fait est que les philosophes ont défini diversement le concept de "matière." Pour Aristote, elle est ce qui peut recevoir une forme. La matière est alors opposée à la forme, c'est-à-dire à l'idée pour Aristote ; et elle se définit

communiquent : ils sont capables d’un certain degrés d’interprétation. LE LANGAGE N’EST-IL QU’UN INSTRUMENT DE COMMUNICATION ou : est-ce parce que nous avons quelque chose à dire que nous parlons? Je développe ici un examen critique de la conception cartésienne du langage telle qu’on peut la déduire de son propos dans la Lettre au Marquis de Newcastle du 23 novembre 1646. Pour Descartes le langage n’est en effet qu’un instrument de communication puisqu’il est une fonction dérivée de la faculté

Quelle est la liberté selon Descartes ?  Dans le système cartésien, l'être humain conserve sa liberté: il peut refuser ou accepter cette vérité offerte par Dieu.  L'homme est également libre de son comportement moral:  pour Descartes, les passions ne sont pas, en elles-mêmes, bonnes ou mauvaises.  C'est leur usage qui en fait des qualités ou des défauts.  Dès lors, l'expérience et la volonté jouent un rôle déterminant pour orienter, de façon positive, l'action humaine. Comment Descartes

doute, et donc que je suis une chose pensante. 1) Je suis ce sans quoi je n'aurais pas d'être; donc, je ne suis pas autre chose qu'une conscience de penser, conscience distincte du corps dont je puis toujours feindre de douter. C'est le dualisme cartésien. 2) L'âme est plus facile à connaître que le corps, puisque je ne puis douter ni qu'elle est (puisque c'est moi) ni de ce qu'elle est (pure pensée). Descartes érige donc la conscience, comme fondement de toute certitude. Elle est ce qu’il y a

écrire un roman ; ce qui est avantageux dans la pierre ou le stylo, ce n’est ni la pierre ni le stylo qui ne sont que des moyens mais la fin, en l’occurrence le produit qu’ils permettent de réaliser. Or [ objection annonçant la thèse 2 ] cette conception instrumentaliste de la technique ou de l’utilité qui domine dans les sociétés industrielles dites « de consommation » semble peu en accord avec les exigences et le cheminement d’une discipline dont le propre est le désintéressement (Les juges ne