Conception De La Justice Selon Ulpien

est indifférent, ni bon ni mauvais et qui font du critère de la juridicité le respect des procédures. Ces deux façons d'aborder le droit s'articulent à des conceptions philosophiques divergentes. → voilà dans quelle tension se situe le droit que nous allons aborder. Ces approches abstraites ne sont pas dépourvues d'enjeux concrets. Ulpien définit le droit comme une volonté constante et perpétuelle de « rendre à chacun le sien », c'est à dire donner à chacun ce qui lui revient. → définition ius

découvert une stèle en diorite noir haute de 2m85, stèle se trouve au musée du Louvre, elle représente sur sa partie supérieure, un bas-relief qui représente un Dieu, le Dieu Shamash qui est qualifié de grand juge des cieux et de la Terre (dieu de la justice, du soleil, de l’oracle de la lune) Dieu qui inspire au roi la rectitude et l’équité, il y a un cercle qui représente le temps, il représente la pérennité des règles juridiques qui vont être inscrites à la suite. Ce Dieu Shamash est assis sur un trône

règle de conduite nécessaire à la vie du groupe humain et à l’harmonie des rapports sociaux de ses membres. Il s’agit là de l’une des deux conceptions du droit perçu au regard de sa vertu ordonnatrice mais qui peut être également considéré comme une contrainte du fait des sanctions dont il est assorti. Il faut envisagé le droit au regard de la première conception. (ordonnatrice). L’objet de ce cours d’Intro Historique au Droit sera de retracer le processus de formation et d’évolution du droit à travers

jouent un rôle dans les différents cultes et aident le roi à dire le droit. A côté du pouvoir religieux on retrouve le pouvoir militaire, roi qualifié de dux (duc), responsable du pouvoir militaire et protecteur de la cité. Enfin, on retrouve la justice avec le pouvoir judiciaire, désignant toute l’administration de la cité, ayant les liteurs pour symbole. Roi juge dans certains cas, pour réprimer les crimes les plus graves (comme haute trahison). Pour les autres crimes, les juges étaient les Pontifes

1382 du Code Civil (étudié en L2) sur la responsabilité du fait personnel : "Tout fait quelconque de l'Homme qui cause un dommage à autrui, oblige à celui qui l'a fait de le réparer". Le Code Civil a donc la vocation de régir des situations variées. Selon l'art. 1382, dès que l'on cause un dommage, on doit faire en sorte quelque soit le moyen de replacer la victime dans l'état d'avant la commission du dommage (cela peut être en dommages et intérêts = récupération par équivalence, en nature). Cet article

introduction historique au vocabulaire du droit privé Section 1, Les sources du droit § 1, la classification générale, § 2 les sources du droit à Rome Section 2, Le thème de la justice § 1, étude de la théorie de la justice, § 2, l’organisation de la justice c’est à dire le procès, § 3, puis les instruments de la justice. Section 3, les grandes catégories du droit privé romain. § 1, les personnes, § 2, les biens, § 3 les obligations. INTRODUCTION Qu’est-ce que peux apporté l’étude du vocabulaire

romaine « jus » → idée de justice. De nos jours, tous les historiens s'accordent à dire qu'il n'y a pas de véritable définition du droit. Cornu lie le droit à la règle, il peu désigner la droite conduite dictée par les règles → mais idée de règle ne suffit pas à elle seul pour faire le droit. Pour le romains, le droit est l'art du bon et du jus : « jus est ars boni et aequi ». Les grecs avaient distingué la loi positive (la règle édictée par l'autorité) et la justice. Si l'autorité est juste,

certaines conditions). Ainsi comme l'illustre l'exemple précédent, le droit est différent selon les pays. Le droit n'est pas immuable, il est évolutif. La Constitution française est différente de la Constitution coutumière du Royaume Uni. Questionnement : « De quel(s) héritage(s), le droit positif est-il porteur ? » Droit, la définition du droit varie en fonction des auteurs, de la doctrine. Pour Ulpien (auteur à Rome du début du IIIe siècle), le droit est « l'art du bon et de l'équitable »

naissance : né en justes noces, et père citoyen.
 Les concessions de citoyenneté : à tel ou tel peuple, différents degrés et conditions selon les peuples. Latins : avoir un domicile à Rome
. L’affranchissement des esclaves
 Enfin sous l’Empire, généralisation du droit de cité par 2 moyens

manière étroitement logique en détachant les règles du milieu | |social auquel elles appartiennent. S'il est vrai que la technique juridique a conservé en cette matière | |l'empreinte du droit romain, il ne faudrait pas croire que notre conception de l'obligation soit en tous points | |semblable aux principes romains. Ce qui reste vrai, c'est que certaines règles morales, certains besoins | |économiques, existent partout et à toute époque.