Concessif

| | |= 3 à 4 parties distinctes (une partie par problématique) | |Sujet qui invite à arbitrer, discuter, nuancer, confronter des points de vue|Plan concessif, appelé à tort "plan dialectique" (développer, nuancer ou | |d'auteurs, voire réfuter une définition ou nuancer l'opinion d'un auteur (en|réfuter) : | |fonction des contextes)

perspective plus large sur la problématique. Il s’efforce de reposer le problème d’une manière nouvelle. On voit bien que le plan dialectique s’organise comme un vaste schéma de concession en deux temps : « Certes, on peut admettre que… (mouvement concessif) Cependant (renversement argumentatif)… ». Un troisième mouvement permet de surmonter le paradoxe ou la contradiction. Étape 4 : construire le plan du développement La dissertation présente les arguments dans un développement structuré, construit

raisonnement déductif tire rune conclusion de deux propositions présentées comme varies. · Raisonnement par analogie  : il établit une comparaison · Raisonnement concessif  : on admet une partie de la thèse adverse pour la réfuter ensuite. · Raisonnement par l’absurde  : on admet momentanément

témoigne de la colère de la Marquise, et qui la pousse à ironiser. Interjections qui témoignent de son indignation - procédés littéraires questions rhétoriques l.3 « vous voulez m'enseigner » l.12 à 26 : mouvements concessifs l.26 à 31 : renversement argumentatif le raisonnement concessif est amené par la phrase « au vrai vicomte... » l.10 l.12 à 24 elle lui accorde des circonstances atténuantes. l.26 elle lui déclare la guerre à partir d'un renversement argumentatif elle s'offusque qu'il ait pu

apostrophes : « cher docteur » (l 8) ; « mon cher ami » (l 17) Alternance P1 et P5 qui montre une interaction. 2. Deux discours persuasifs Tous deux cherchent à atteindre l’autre dans ses sentiments. a. Discours de Rieux  * Raisonnement concessif : antithèse (l 2, 3) entre l’anaphore en « vous avez raison » et « vous avez tort » marquée par la rupture engendrée par le connecteur d’opposition « mais » Il admet la conception du bonheur de Rambert, mais en montre les points faibles * Hyperboles

; ironie, imitation burlesque Délibératif : Ouvrir un débat, discuter en vue de prendre une décision. Liens logiques ; raisonnement concessif ; interrogation Didactique : Instruire, transmettre un savoir. Lexique pédagogique ; tournure de l'ordre et conseil ; style clair

(paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important4) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le

(paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)…Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important4) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le

assemblée opposé à faiblesses du tyran seul, nécessité du paraître (fait penser aux conciles, assemblées de religieux) csq : imperméabilité aux séductions antithèse : graves / séductions poursuite de l'analyse de cette assemblée de tyran syst concessif avec corrélation / forme de syst hypothétique suggère que gpe de tyrans majoritairement injuste, parfois slt dur ne fait aucun cadeau (pas de « bons moments ») gpe évite tte possibilité de faiblesses pq nécessité de tenir son rang devant les autres

» (l. 21), « les hommes » (l. 38), « les nôtres » (l. 38). Elle recourt aussi à d’autres types de raisonnements : reprise méthodique des opinions de l’adversaire pour mieux les contredire (« Ils prétendent avoir aussi… mais », l. 41), mouvement concessif (« je sais bien que », l. 37). Elle appuie son argumentation sur des éléments variés : référence à Molière, exemples concrets (« je leur montrerai des reines qui valent bien des rois », « une princesse »), référence aux origines (« Certainement