Concessif

ensuite, et, puis, après que, en même temps…; Spatiaux : ici, là, en haut, devant, à gauche, plus loin… Adversatifs (introduisent une opposition) : or, mais, pourtant, en revanche, par contre, alors que, toutefois, bien que, d’un côté/d’un autre côté… Concessifs : toutefois, néanmoins, cependant Causatif/consécutifs/conclusifs : c’est pourquoi, donc, ainsi, en effet, aussi, en conséquence, par conséquent, alors... conclusifs indépendants : en tout cas, de toute façon, quoi qu’il en soit (introduisent une

française. A la fois représenté sur scène ou alors lu, il fait réagir ses spectateurs. C’est pour cela que nous allons répondre à la problématique suivante, quel rôle joue le théâtre sur le spectateur. Nous allons commencer par traiter dans un plan concessif la première grande partie intitulée, Le théâtre est certes parfois destiné à faire rire. En première sous partie les personnages et les situations, dans une deuxième partie Les procédés, et en dernière partie, C’est avant tout un divertissement.

autobiographie « je », repères temporels, repères géographiques, présent d’énonciation, personnages réels b-réquisitoire (=blâme) registre polémique volonté de rester neutre : renforce indignation raisonnement logique (« certes », « mais » : concessif ; « car », « enfin » : logique) fait ressortir l’accusation vocabulaire grave « je m’indigne » II-« Bal » a-Exaction (=action de violence contre quelqu’un) ironie assonance « p » et « b » (mitraillette) : tourne au son des coups vocabulaire

avec sa propre expérience (« Quand j’épousai », indices personnels de la 1re personne : « m’ », « me », « je »). • reprise méthodique des opinions de l’adversaire pour mieux les contredire (« Ils prétendent avoir aussi… mais », l. 41), mouvement concessif (« je sais bien que », l. 37). • appuie son argumentation sur des éléments variés : référence à Molière, exemples concrets (« je leur montrerai des reines qui valent bien des rois », « une princesse »), référence aux origines (« Certainement la nature

de procès. B. Commenter un essai Etape 1 : Identifier le thème la thèse les arguments et les exemples. Identifier précisément le thème du texte et le point de vue de l’auteur sur ce thème Identifier la nature du raisonnement déductif, inductif, concessif… Etape 2 Répéter la présence de l’auteur Les marques de la première personne du singulier (« je ») ou « nous on ». Plus elles sont nombreuses plus l’implication de l’énonciateur est perceptible. L’essai se caractérise par sa subjectivité rendue

textes argumentatifs, les pronoms « on » peut désigner des individus différents. Il semble appuyer l’opinion publique qu’il ne faut pas éduquer les filles (vers 16). Seulement à la ligne 28, il s’oppose à la thèse « mais ». C’est un raisonnement concessif avec la concession avec « il est vrai que » et l’opposition avec « mais ». Implicitement, il dit que l’éducation des filles n’est pas inutile. Dans son introduction, il pose directement le thème de l’éducation des filles, dans la première partie

figure de style de l'apostrophe « composons monsieur de La Fontaine » à la ligne 23. Il feint de s’adresser directement à l’auteur des fables alors que celui-ci est mort. Mais cela lui permet d'organiser son dernier paragraphe avec un raisonnement concessif : « Je promets quant à moi » à la ligne 23, « mais » à la ligne 25 qui lui permet de réaffirmer sa thèse tout en ayant l'air de faire une concession à La Fontaine. Sous axe 2 : Convaincre et persuader Rousseau s’exprime en son nom et utilise

essai c'est alors un texte argumentatif. La thèse « Par cette raison d'indépendance, l'amour de l'étude est de toutes les passions celle qui contribue le plus à notre bonheur.» ( l. 14-15) Cette thèse est défendue et appuyée par un raisonnement concessif. L'auteur commence par rappeler la thèse d'ensemble de son discours « il faut avoir des passions pour être heureux» (l.2) Cette thèse est représentative de l'esprit philosophique des Lumières et s'oppose à la morale classique et religieuse; thèse

donc faire un plan détaillé qui sera le support de la rédaction. Le raisonnement doit être cohérent et la progression « logique ». a) Les différents types de plans : - le plan dialectique : la réflexion prend la forme d'un raisonnement concessif. 1ère partie : - développer la thèse proposée par le sujet, il faut trouver des arguments pour étayer un point de vue avec lequel on est pas forcement d'accord. 2nde partie : - montrer les limites de cette thèse, on cherche des arguments

danger « éviter les périls », demande de protection « je ne craindrai pas…si… », « conduisez-moi ». Insistance sur les apparences « nulle marque de faiblesse », « en laisser paraitre », « je ne vous déplairai jamais par mes actions » avec l’adverbe concessif « du moins » - elle dissocie ses sentiments et ses actions… elle est innocente (encore…) en action, mais ses sentiments la trahissent et elle s’en méfie… L’aveu est sans retour : elle s’interdit tout retour en arrière qu’elle n’aurait pas le courage