Concessif

m'ont motivé à commencer, à continuer et à finir ce travail. J'espère qu'il sera à la hauteur de ce que je lui dois. ii LISTE DES ABREVIATIONS Abl: ablatif Acc: accusatif Acp: passé/aspect accompli Ass: assertif CLF: classificateur Conc: concessif Cit: citatif Dat: datif Etat: état/statif/progressif FP: particule finale Gen: génitif Hon: honorifique Loc: locatif Neg: négation Nom: nominatif Res: résultatif Th: thématique Pl: pluriel/collectif ? : interrogatif ! : contrastif

l’acheter). Le dialogue est la forme privilégiée pour délibérer. Un personnage peut aussi délibérer seul ; au théâtre, on parle de monologue délibératif. Si aucune solution n’est satisfaisante, on parle de dilemme. ❯ raisonnements concessifs, dialectiques ; ❯ phrases interrogatives ; ❯ modalisateurs d’incertitude. (exemple : Dois-je privilégier le confort ou la performance ? La puissance ou l’autonomie ? ) Remarque : Il est rare qu’une argumentation relève uniquement du « convaincre

passé le matin. La première fois madame en a été révoltée, à la seconde elle y a pris goût, parce qu'après tout les femmes sont curieuses […].», il prend ainsi l’exemple de la femme du magistrat pour généraliser à toutes les femmes. Le raisonnement concessif est, quant à lui, semble accepter la thèse adverse mais seulement pour la réfuter de plus belle. C’est ce raisonnement qu’utilise Rousseau pour démonter l’absurdité de la guerre dans Le Contrat social : « On dira que le despote assure à ses sujets

Le premier élément peut s’interpréter comme un pronom indéfini caractérisant un catégorie sémantique (animé, non animé , lieu) ; le second comme relatif assurant à la subordonnée une fonction de sens concessif. Introduite par « quelque ….que » ou « quel …que », exprimant toujours l’aspect concessif: Quelque fruits que tu consommes il faut toujours les laver. Quelle que soit ma patience, elle ne durera pas. Fonction de la proposition subordonnée relative. Quand le pronom relatif a un antécédent

uniquement les frères de la mère. - terme affectueux qu’on adresse à un homme de la même génération que les ascendants collatéraux. - une femme peut dire « oncle » à son époux . Voir : Tonton - Tante. Ex : « il est venu or qu’il est malade ». Sens : concessif / oppositif Rem : confusion avec « alors que » et « or » Ex : « vous voulez acheter du riz ou bien ? » « vous allez à Dakar ou bien ? » sens synonyme de : « ou autre chose », « ou ailleurs… » Rem : la deuxième partie de l’alternative est sousentendue

de faits et on en tire une conclusion d’ordre général. C’est le raisonnement utilisé dans les sciences expérimentales. Le raisonnement dialectique oppose des argumentations, pèse le pour et le contre pour trouver une solution. Le raisonnement concessif est un raisonnement en deux étapes : il s’agit d’abord de concéder (admettre) une partie de la thèse adverse, pour finalement la réfuter. Le raisonnement analogique fonctionne par comparaisons et permet d’expliquer quelque chose d’inconnu en passant

le premier § avec les élèves. (10 min.) ! Exercice beaucoup trop difficile pour les élèves ! -Demander seulement de trouver les deux thèses et éventuellement quelques arguments qui les soutiennent. L’objectif est de pouvoir discerner l’aspect concessif du texte. Le texte présente une organisation très rigoureuse. -§ 1  Ne pas lire est un droit.  Thèse. -§ 2  Les lecteurs s’octroient régulièrement le droit de ne pas lire.  Argument. -§ 3  Quantité de personnes respectables n’aiment

exemples concrets qui peuvent constituer une illustration des arguments déjà développés ou être des arguments à leur tour développement d’un raisonnement « canonique » : raisonnement déductif (l’argument suivant découle du précédent) ; raisonnement concessif (on accorde quelque crédit aux arguments de l’adversaire pour mieux l’attaquer ensuite : le « oui, certes, mais… ») ; le raisonnement par analogie (on met la réalité dont on parle en parallèle avec une autre réalité plus concrète ou plus connue)

(paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le rôle

(paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important4) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le